« Ils nous ont surpris avec des armes avant de nous ligoter. Ils nous ensuite demandé de leur indiquer le bureau du rectorat. On leur a dit qu’on ne se savait pas où se trouve le bureau, ils nous ont alors traîné de force, à la recherche du local », a-t-il déclaré.
« Une fois dans le bureau, 6 d’entre eux s’affairaient à casser la porte où se trouvait le coffre-fort, alors que 5 autres nous tenaient en respect. Ils nous ont ensuite traîné hors du campus avec eux. Mais quand ils ont ouvert le coffre-fort et qu’ils n’ont trouvé que de papiers, ils ont commencé à se chamailler. L’un d’entre eux a proposé de retourner prendre le petit coffre-fort qu’ils avaient laissé dans le bureau, alors qu’un autre proposait de nous égorger. Finalement, ils nous ont laissé la vie sauve. On revient de loin », se réjouit-il.
« Une fois dans le bureau, 6 d’entre eux s’affairaient à casser la porte où se trouvait le coffre-fort, alors que 5 autres nous tenaient en respect. Ils nous ont ensuite traîné hors du campus avec eux. Mais quand ils ont ouvert le coffre-fort et qu’ils n’ont trouvé que de papiers, ils ont commencé à se chamailler. L’un d’entre eux a proposé de retourner prendre le petit coffre-fort qu’ils avaient laissé dans le bureau, alors qu’un autre proposait de nous égorger. Finalement, ils nous ont laissé la vie sauve. On revient de loin », se réjouit-il.