Ce lancement est normalement prévu dans la première semaine du mois de novembre, sauf incident majeur ou retouche stratégique.
Annoncé depuis janvier 2008, ce lancement a été plusieurs fois reporté sans explication, ce qui a d’une certaine manière rendu de plus en plus virtuelle l’existence même de cette nouvelle entrante qui est censée redynamiser un secteur dominé par l’opérateur historique qu’est Sonatel. Ce « retard » est plus stratégique qu’organisationnel. En effet, il découle du choix fait par Expresso Sénégal sur le type de lancement. Un opérateur entrant dans un secteur où il y a déjà deux acteurs a le choix entre desservir d’abord les grandes capitales régionales et déployer progressivement le réseau en suivant un calendrier bien défini dans un cahier des charges. L’autre alternative est de faire l’effort de couvrir la majeure partie du territoire national, même si cela prend du temps, ce qui octroie au moment du lancement un effet « disponible partout ». Expresso Sénégal a choisi cette deuxième option ce qui explique le retard accusé dans la fourniture du service.
Les zones les plus reculées
Pendant toute cette période, les équipes techniques de l’équipementier chinois Huawei ont sillonné le Sénégal d’est en ouest et du nord au sud pour l’installation des stations de base CDMA et 3G, les dernières versions de ces technologies sans fil, offrant également une solution fixe. Un fait divers ces mois derniers nous a édifiés sur le niveau de déploiement du réseau d’Expresso Sénégal, ce fut un de leurs véhicules attaqué et confisqué par des éléments présumés appartenir au MFDC au fin fond de la Casamance. Comme quoi, les zones les plus reculées sont déjà couvertes.
Expresso Sénégal, ne voulant surtout pas dépendre de quelque manières que ce soit de Sonatel ou de Tigo, a donc préféré se doter d’un réseau d’une capillarité importante avant tout lancement, sans doute pour tenir compte de l’adage qui dit : « Rien ne sert de courir, il faut partir à point. »
Expresso Sénégal, ne voulant surtout pas dépendre de quelque manière que ce soit de Sonatel ou de Tigo, a donc préféré se doter d’un réseau d’une capillarité importante avant tout lancement.
Actuellement, rien n’empêcherait le second opérateur global de lancer ses activités, vu que leur réseau est déjà visible à plusieurs endroits du pays en faisant un scan des réseaux disponibles, sa référence est 608 03, là où Orange a le 608 01 et Tigo le 608 02.
Nos sources nous précisent même que les préfixes (BPQ) ont déjà été attribués, et que les fixes Expresso seront de la forme 221 30XXXXXXX et les mobiles de la forme 221 70XXXXXXX.
Tout semble donc fin prêt pour un lancement à partir de la première semaine du mois de novembre. En espérant que ce nouvel entrant saura apporter la dynamique tant attendu
Annoncé depuis janvier 2008, ce lancement a été plusieurs fois reporté sans explication, ce qui a d’une certaine manière rendu de plus en plus virtuelle l’existence même de cette nouvelle entrante qui est censée redynamiser un secteur dominé par l’opérateur historique qu’est Sonatel. Ce « retard » est plus stratégique qu’organisationnel. En effet, il découle du choix fait par Expresso Sénégal sur le type de lancement. Un opérateur entrant dans un secteur où il y a déjà deux acteurs a le choix entre desservir d’abord les grandes capitales régionales et déployer progressivement le réseau en suivant un calendrier bien défini dans un cahier des charges. L’autre alternative est de faire l’effort de couvrir la majeure partie du territoire national, même si cela prend du temps, ce qui octroie au moment du lancement un effet « disponible partout ». Expresso Sénégal a choisi cette deuxième option ce qui explique le retard accusé dans la fourniture du service.
Les zones les plus reculées
Pendant toute cette période, les équipes techniques de l’équipementier chinois Huawei ont sillonné le Sénégal d’est en ouest et du nord au sud pour l’installation des stations de base CDMA et 3G, les dernières versions de ces technologies sans fil, offrant également une solution fixe. Un fait divers ces mois derniers nous a édifiés sur le niveau de déploiement du réseau d’Expresso Sénégal, ce fut un de leurs véhicules attaqué et confisqué par des éléments présumés appartenir au MFDC au fin fond de la Casamance. Comme quoi, les zones les plus reculées sont déjà couvertes.
Expresso Sénégal, ne voulant surtout pas dépendre de quelque manières que ce soit de Sonatel ou de Tigo, a donc préféré se doter d’un réseau d’une capillarité importante avant tout lancement, sans doute pour tenir compte de l’adage qui dit : « Rien ne sert de courir, il faut partir à point. »
Expresso Sénégal, ne voulant surtout pas dépendre de quelque manière que ce soit de Sonatel ou de Tigo, a donc préféré se doter d’un réseau d’une capillarité importante avant tout lancement.
Actuellement, rien n’empêcherait le second opérateur global de lancer ses activités, vu que leur réseau est déjà visible à plusieurs endroits du pays en faisant un scan des réseaux disponibles, sa référence est 608 03, là où Orange a le 608 01 et Tigo le 608 02.
Nos sources nous précisent même que les préfixes (BPQ) ont déjà été attribués, et que les fixes Expresso seront de la forme 221 30XXXXXXX et les mobiles de la forme 221 70XXXXXXX.
Tout semble donc fin prêt pour un lancement à partir de la première semaine du mois de novembre. En espérant que ce nouvel entrant saura apporter la dynamique tant attendu