
Mais, les rencontres risquent d’échouer si le chef de l’Etat confirme l’idée qu’on lui prête d’envoyer des plénipotentiaires aux alliés. Le Président Sall est obligé de jouer de ruse pour ne pas se prendre dans son propre piège. A son propre jeu…politique. De fait, le patron de la coalition BBY, qui a fait de son fameux slogan, la patrie avant le parti, une réalité, en nommant et faisant élire des alliés à presque tous les postes stratégiques est aujourd’hui contraint de négocier avec les leaders de sa majorité hétéroclites.