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Santé
La Direction générale de la Santé pointe ce jeudi soir une hausse du nombre de cas de coronavirus : plus de 1000 en 24h. Santé publique France pointe un "relâchement de l'application des gestes barrières".



Source : https://www.bfmtv.com/sante/coronavirus-plus-de-10...
Les égouts pourraient bien devenir un allié dans la lutte contre le coronavirus. Depuis le début de l’épidémie, des traces de la Covid-19 ont été retrouvées dans les eaux usées et des spécialistes ont établis un lien entre la progression du virus et sa présence dans les égouts. Aujourd’hui on s’aperçoit d’ailleurs grâce à ces analyses que le virus circule de nouveau.



Source : https://www.bfmtv.com/sante/analyser-des-eaux-usee...
À l’heure où le virus circule de nouveau, les aéroports sont parfois pointés du doigt pour leur laxisme dans les contrôles des passagers qui arrivent sur le territoire. L’aéroport de Nice a décidé, en lien avec l’ARS et un laboratoire privé, de mettre en place un centre de dépistage ouvert 7/7 pour tous les passagers qui atterrissent. 



Source : https://www.bfmtv.com/sante/covid-19-des-tests-gra...

C’est une histoire tellement ahurissante que les médias s’y sont intéressés de près. Invité à Sex Clinic, une émission traitant de sexualité, il a choqué le médecin et les téléspectateurs. Et pour cause, l’homme ne s’est jamais lavé le pénis en 24 ans. Ce témoignage déroutant, nous est relayé par nos confrères du site britannique "The Mirror".


Cet homme qui n’a pas nettoyé son penis depuis 24 ans, se demande pourquoi il a des odeurs
Ce cas médical est vite devenu viral à la télévision. La raison ? Un homme a révélé au monde entier qu’il ne s’est jamais lavé le sexe pendant plus de deux décennies. L’homme s’était plaint d’une odeur désagréable et le médecin était ahuri par ce manque d’hygiène impressionnant.

Un cas grave de smegma

Si l’homme s’était plaint d’une odeur désagréable, c’est parce que le médecin star de l’émission a diagnostiqué un cas de smegma. Cette affection est un dépôt blanchâtre et pâteux issu de la desquamation des cellules mortes.

L’accumulation de sébum peut donc provoquer ce phénomène invalidant. Zach, un jeune homme de 24 ans est venu à la Sex Clinic pour lui confier ce problème. Le docteur a ensuite découvert qu’il ne s’était pas lavé le pénis depuis longtemps. Une négligence qui lui a valu de lui causer ce problème handicapant pour une sexualité épanouie.

« J’ai également attrapé la gonorrhée d’une jeune fille »

Les confessions de Zach ont véritablement choqué la toile. Les téléspectateurs ont exprimé leur dégoût sur Twitter, en raison des déclarations du jeune homme. Pis encore, il avoue spontanément avoir « aussi attrapé la gonorrhée d’une jeune fille ». Une confession choc qui montre la désinvolture d’un homme face à une infection sexuellement transmissible grave.

Cette dernière provoque un écoulement purulent dans l’urètre et des difficultés à uriner chez l’homme. Une maladie aggravée par un manque de soin mais également un manque d’hygiène sévère. Il en souffrait depuis neuf mois et était incapable de décalotter son prépuce.

« Je n’ai jamais nettoyé mon prépuce »

Examiné par le docteur Naomi, l’homme lui a avoué sans fards qu’il n’ « avait jamais nettoyé son prépuce ». Cela lui a valu des douleurs au pénis et rendait cet organe vulnérable aux maladies sexuellement transmissibles (MST). Le médecin lui a conseillé de gommer ses cellules mortes après avoir soigné les infections graves qu’il a contractées à cause de son imprudence. Sur le réseau à l’oiseau bleu, les internautes s’emballent.

Un d’entre eux écrit : « Si vous ne pouvez même pas laver votre sexe, vous avez cherché ce genre de problèmes ». Sur un autre commentaire, nous pouvons lire : « Je suis vraiment choqué de voir à quel point ces gens savent peu de choses sur la santé sexuelle! » « On a conseillé à ce pauvre garçon de laver son pénis » s’amuse un autre internaute. Heureusement pour lui, le Dr Naomi est venue à la rescousse pour le défendre.

Un docteur plein d’empathie

Suite à la salve de commentaires désobligeants à l’égard de Zach, le médecin chargé de le soigner, a tapé du poing. Elle publie une expertise médicale sur les réseaux sociaux. « Il n’est pas rare de diagnostiquer du smegma, il n’est pas le seul à rencontrer ce problème » assure-t-elle en ajoutant un hashtag #stopstigma [ndlr : stop à la stigmatisation. L’émission dans laquelle elle intervient est justement diffusée pour briser les tabous sur le sexe et la sexualité. Un programme nécessaire pour sensibiliser les jeunes, face aux risques liés aux rapports non protégés.

L’hygiène intime : un geste capital

Comme pour Zach, un manque d’hygiène déplorable peut causer des symptômes invalidants pour une sexualité épanouie qui impactent l’estime de soi. Se laver régulièrement est une habitude indispensable pour prévenir des affections comme les mycoses, les infections urinaires ou la contraction de bactéries telles que le candida albicans ou l’escherichia coli. Pour ce faire, pas besoin de se laver avec un savon, un nettoyage à l’eau claire et une solution au Ph neutre peut aider à éliminer les bactéries en respectant la fragilité des muqueuses.

Il est également important de se sécher avec une serviette pour éviter l’humidité, un phénomène qui participe à la prolifération des germes. L’usage des préservatifs est vital pour se protéger des IST mais également du VIH, une maladie mortelle qui détruit le système immunitaire. En cas de troubles sexuels, consultez un spécialiste.
Vaccin contre la COVID-19: la Russie annonce avoir achevé les essais sur l’homme et révèle les résultats
Menés par le ministère russe de la Défense et le Centre de recherches en épidémiologie et microbiologie Nikolaï Gamaleïa, la Russie a annoncé ce mercredi avoir achevé de premiers essais cliniques d’un vaccin contre la Covid-19 testé sur des humains, et qui doivent être totalement complétés d’ici fin juillet.

Ces essais ont débuté à la mi-juin dans un prestigieux hôpital militaire à Moscou sur un groupe de volontaires comprenant essentiellement des militaires russes, mais aussi des civils.

Le premier a été développé par le Centre national de recherche en épidémiologie et en microbiologie de Gamaleya et réalisé à l’hôpital militaire de Burdenko, tandis que le second a été donné pour tester des patients à la première université médicale d’État de Moscou Sechenov.

Selon des rapports russes, 20 personnes se sont portées volontaires pour les essais et après leur injection, on leur a demandé de se mettre en quarantaine à l’hôpital pendant 28 jours .

Les tests effectués sur les volontaires en Russie auraient montré qu’ils développaient une immunité contre la COVID-19, mais le nom du médicament n’a pas encore été révélé.

Le pays n’a pas divulgué d’informations sur le moment où le vaccin entrerait dans la production ou la distribution commerciale.

« La recherche est terminée et elle a prouvé que le vaccin est sûr. Les volontaires seront libérés les 15 et 20 juillet », a déclaré Elena Smolyarchuk, chercheuse en chef du Centre russe de recherche clinique sur les médicaments de l’Université de Sechenov, à TASS Newswire le lundi 13 juillet.

La Russie a signalé 719 449 cas de coronavirus, dont 11 188 décès liés à la maladie.

Mais une une tâche ardue reste à faire… persuader les Noirs qui ont une profonde méfiance à l’égard des médicaments expérimentaux et des institutions médicales de participer à des essais cliniques pour aider à trouver un vaccin contre le coronavirus.

C’est dans ce sens que les experts ont révélé que le vaccin contre le coronavirus ne sera efficace que si les Noirs participent aux essais…

En attendant d'y revenir avec une ébauche de détails, dakarposte a appris qu'une grosse légume de la classe politique sénégalaise est, au moment où ces lignes sont écrites, "discrètement hospitalisée". Il présenterait des signes de troubles mentaux, nous apprend-on.


Un célèbre responsable politique sénégalais, interné pour...troubles mentaux
Des informations glanées d'une source médicale, au parfum de ce cas à la fois inédit et insolite, il ressort que cette pièce maîtresse d'une formation politique, qui s'est tristement illustrée tout récemment, " a été consulté, loin des indiscrets dans une clinique de la place".

"Le médecin traitant en a déduit que le gars traine, sans en avoir l'air, un trouble mental ou comportemental, qui se caractérise par une perturbation de la réflexion, de l'humeur ou du comportement ."

"En fait, renchérit la source, les troubles mentaux entraînent des symptômes dont s'aperçoivent ceux qui en souffrent ou leurs proches. On peut observer des symptômes physiques (céphalées, troubles du sommeil par ex.), des symptômes émotionnels (tristesse, peur, angoisse par ex.); des symptômes cognitifs (difficulté à raisonner normalement, croyances anormales, troubles de la mémoire par ex.); des symptômes comportementaux (comportement agressif, incapacité à exécuter les activités de la vie courante, usage abusif de substances, par ex.)
des troubles de la perception (perception visuelle ou auditive de choses que les autres ne voient ou n'entendent pas par ex.). Les signes précoces spécifiques varient en fonction du trouble. Les personnes présentant un ou plusieurs des symptômes énumérés ci-dessus devraient aller consulter un professionnel s'ils persistent, provoquent des souffrances importantes ou interfèrent avec les tâches de la vie quotidienne.
"


Affaire à suivre...

La Bceao est touchée par le coronavirus. Selon Guestuinfo et repris par Ma Revue de Presse, un cadre de BCEAO (agence nationale) est décédé, ce samedi 4 Juillet 2029, après avoir été contaminé à la Covid-19.


Covid -19 / Ravages à la BCEAO: Mort d'un cadre, un autre en réanimation et des cas contacts
Le défunt dont Guestuinfo tait le nom, fait donc, partie des quatre (4) décès qui ont été annoncés dimanche par le Ministère de la Santé. En plus de ce décès, un autre agent de la Bceao- nationale infecté, est admis en réanimation et d’autres cas contacts ont été contraints de rester chez eux en confinement.

Mais au niveau de la Direction générale de la banque sous-régionale, on tente de « gérer l’information à l’interne » pour, probablement, sauvegarder l’image de l’institution. Ce qui n’est pas du goût de certains agents, qui demandent aux responsables de la banque de prendre leurs responsabilités. « Il fallait procéder au dépistage massif du personnel dès l’apparition du premier cas. Mais la direction n’a pas assumé ses responsabilités. Nous sommes tous inquiets », se désolent nos sources.

D’ailleurs, Guestuinfo a appris aussi que la BCEAO agence n’a pas fonctionné, ce lundi, puisque la Direction a demandé au personnel de rester chez lui.

 

Près de 2000 malades du coeur attendent dans les coulisses pour se faire opérer, faute de place et de matériel.


A cause de la Covid -19, 1500 malades du coeur attendent d'être opérés
Les hôpitaux censés les recevoir sont pleins à cause de la pandémie de la Covid-19 qui sévit dans le monde. Pour le Docteur Massamba Thiam, c'est une affaire tronquée d'autant que "l'activité qui devait servir d'opérer les malades a été détournée".

Un autre collègue, le Professeur Maboury Diao, l'autre raison de la non opération est que "les malades fuient les hôpitaux, par peur de choper d'autres maladies".

Et pour les principaux concernés, ils sont unanimes à dire que leur maladie est de loin plus grave que la pandémie et "en l'état, celui qui n'a pas de moyens suffisants, peut en mourir, faute d'assistance".

Le poste de santé de Baba Garage est désormais largement sous-fréquenté. Et par ricochet, les accouchements à domicile ont augmenté, renseigne "Enquête".


Poste de santé de Baba Garage: La Covid -19 fait accoucher à domicile
La structure sanitaire de Baba Garage, dans le département de Bambey, ne fait quasiment plus recette. Les femmes arrivées à terme ont peur de fréquenter les structures de santé. La conséquence, c’est que les accouchements à domicile augmentent dans cette localité. Depuis trois mois, il est noté une courbe exponentielle de cette pratique. “Ces accouchements sont de l’ordre de 10 par mois." De nombreuses femmes sont ainsi obligées, faute de moyens de déplacement, d’accoucher à domicile. Des drames proviennent de ces accouchements à domicile.

Il est arrivé que des enfants meurent ou se retrouvent avec des lésions. Des femmes accouchent à domicile et se font ensuite examiner. Mais d’autres ne viennent pas. Il y en a qui ne font pas de consultations prénatales et souffrent après, d’hémorragies, d’anémies et d’infections. Des facteurs culturels expliquent les accouchements à domicile. Les belles-mères prennent presque toutes les décisions, en milieu rural. Elles disent à leurs belles-filles qu’une brave femme accouche à la maison.

"L'accouchement à domicile demeure aussi une cause majeure de décès maternel et néonatal au Sénégal’’, a fait savoir Nafissatou Sagna, sage-femme.

il y a de fortes chances que le paludisme soit beaucoup plus mortel que la Covid-19. Le coordonnateur du PNLP tire la sonnette d’alarme dans "Enquête". Surtout que l'hivernage sera précoce et les patients, en cette période de pandémie, fuient les hôpitaux comme la peste.


Hivernage et patients qui désertent les hôpitaux: Et si le paludisme tuait plus que la Covid - 19?
Avec un hivernage précoce, le pays va apprendre à vivre avec deux (2) maladies, la covid-19 et le paludisme. La situation est d’autant plus grave que les deux pathologies ont pratiquement les mêmes symptômes. Ce qui fait dire au coordonnateur du Programme national de lutte contre le paludisme (PNLP), Docteur Doudou Sène, qu’ils ont un double défi à relever. C’est-à-dire garantir la mise en œuvre des programmes et barrer la route à la Covid-19.

Plus de morts du paludisme lors des pandémies

On s’est rendu compte, en 2014, lors d’Ebola en Guinée et en Sierra Leone, qu’il y a eu plus de 14 mille morts supplémentaires liées au paludisme. Ce sont les mêmes impacts, actuellement. Parce la population a commencé à fuir les structures de santé, le personnel de santé aussi avait peur. Donc, toutes ces leçons sont tirées par notre système de santé’’, a argumenté Dr. Sène.

Que les populations se rendent à l'hôpital

"On leur fait le test de diagnostic rapide (TDR). Si c’est le paludisme, on traite, si c’est la Covid, on vous prend en charge’, précise-t-il. La guerre, c’est toutes ses composantes. Il faudra garantir ce combat pour que les gens soient dans une bonne santé. Covid, paludisme et toutes les autres maladies qu’il y a, nos pays n’ont pas les moyens de supporter autant de catastrophes sanitaires de cette ampleur. Il commence déjà à pleuvoir dans certaines zones. Si on nemaintient pas les activités, il y a des fortes chances que le paludisme soit beaucoup plus mortel que la Covid elle-même’’, prévient le Dr. Sène.

Le danger qui guette les femmes enceintes

Pour le coordonnateur du PNLP, il urge de faire le plaidoyer afin que les populations continuent d’utiliser les moustiquaires imprégnées. Car, révèle-t-il, le paludisme devient très grave dans des zones où il y a une disparition progressive de cette maladie.
Parce qu’il y a une baisse de l’immunité des populations. Donc, quand on a un paludisme, rapidement, on développe la forme grave qui peut être mortelle, plus mortelle que la Covid-19. Les femmes enceintes doivent assurer le traitement préventif intermittent. Ce traitement les protège et protège le fœtus’’, conseille le médecin.

Le paludisme a connu une baisse de plus de la moitié des cas en 2019 au Sénégal. Le pays était à 530 745 cas en 2018. En 2019, il s’est retrouvé avec 354 000 cas confirmés. Soit une réduction d’environ 28 % sur l’ensemble du territoire national. Le nombre de décès a également chuté. Il était de 550 en 2018, contre 260 décès pour 2019, une réduction de plus de 51 %.

Ces résultats ont été obtenus grâce aux actions menées en 2018, notamment la grande campagne de distribution de Milda. “Neuf millions de moustiquaires ont été distribuées. Mais c’est également grâce à la prise en charge précoce des cas, avec la stratégie de Pcadom (prise en charge à domicile des cas). Celle-ci permet de recenser rapidement les cas
suspects et de les tester
", a-t-il conclu.
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