« Idrissa Seck demande à Wade de retirer sa candidature (pour la présidentielle de 2012) », écrit « Walfadjri ».
Selon « Walfadjri », « le chef de l’Etat, Me Abdoulaye Wade, ne doit plus compter sur son ancien Premier ministre Idrissa Seck pour défendre la recevabilité de sa candidature pour un troisième mandat à la magistrature suprême du Sénégal. « Mara » qui, il y a quelques semaines, suggérait la prorogation du mandat de Me Wade jusqu’en 2014, s’est rétracté après avoir constaté, suite aux explications de juristes chevronnés, que la candidature de son « père » était anticonstitutionnelle et irrecevable ».
« Le Quotidien » ajoute que « cette fois-ci c’est clair, sans nuance : Idrissa Seck, membre du Comité directeur du Parti démocratique sénégalais (Pds), disqualifie la candidature de Me Wade à un 3e mandat. Dans une lettre qu’il lui a adressée le 4 novembre 2010, il déclare avoir recueilli l’avis « des plus grands experts » dont Guy Carcassonne, professeur des Universités, agrégé de la Faculté de droit, après l’opinion déjà exprimée par d’éminents juristes, Pape Demba Sy, Mounir Sy et Ababacar Guèye, la consultation avec le professeur Serigne Diop. Tous ces experts, relève Idrissa Seck, sont formels : la candidature de Wade pour un 3e mandat est anticonstitutionnelle, donc irrecevable. Et qui plus est, dans sa lettre, M. Seck lui signifie que « le terme de (son) mandat est 2012 et ne peut être prorogé ».
« Le Populaire » publie in extenso la lettre qu’Idrissa Seck a envoyé au président Wade et dans laquelle il lui dit : « votre candidature est irrecevable », écrit « Le Populaire ».
« L’Observateur » pense qu’après qu’Idy a constaté l’irrecevabilité de la candidature de Wade en 2012, on s’achemine tout droit « vers la rupture » entre les deux hommes.
« Walfadjri » pense que la sortie d’Idrissa Seck est « le dernier avertissement avant le clash ».
« Entre Idrissa Seck et Wade, il n’y a plus de lueurs d’espoir pour une réconciliation. Les deux ont atteint un point de non-retour, même si dans cette guerre chacun utilise un fleuret moucheté. Personne ne voulant paraître comme ayant violé les règle de gentlemen agreement qui avait renoué les contact entre le « père » et le fils depuis le 4 novembre 2009 à Thiès lors de l’inauguration de l’usine Senbus », commente « Walfadjri ».
Selon « Walfadjri », « le chef de l’Etat, Me Abdoulaye Wade, ne doit plus compter sur son ancien Premier ministre Idrissa Seck pour défendre la recevabilité de sa candidature pour un troisième mandat à la magistrature suprême du Sénégal. « Mara » qui, il y a quelques semaines, suggérait la prorogation du mandat de Me Wade jusqu’en 2014, s’est rétracté après avoir constaté, suite aux explications de juristes chevronnés, que la candidature de son « père » était anticonstitutionnelle et irrecevable ».
« Le Quotidien » ajoute que « cette fois-ci c’est clair, sans nuance : Idrissa Seck, membre du Comité directeur du Parti démocratique sénégalais (Pds), disqualifie la candidature de Me Wade à un 3e mandat. Dans une lettre qu’il lui a adressée le 4 novembre 2010, il déclare avoir recueilli l’avis « des plus grands experts » dont Guy Carcassonne, professeur des Universités, agrégé de la Faculté de droit, après l’opinion déjà exprimée par d’éminents juristes, Pape Demba Sy, Mounir Sy et Ababacar Guèye, la consultation avec le professeur Serigne Diop. Tous ces experts, relève Idrissa Seck, sont formels : la candidature de Wade pour un 3e mandat est anticonstitutionnelle, donc irrecevable. Et qui plus est, dans sa lettre, M. Seck lui signifie que « le terme de (son) mandat est 2012 et ne peut être prorogé ».
« Le Populaire » publie in extenso la lettre qu’Idrissa Seck a envoyé au président Wade et dans laquelle il lui dit : « votre candidature est irrecevable », écrit « Le Populaire ».
« L’Observateur » pense qu’après qu’Idy a constaté l’irrecevabilité de la candidature de Wade en 2012, on s’achemine tout droit « vers la rupture » entre les deux hommes.
« Walfadjri » pense que la sortie d’Idrissa Seck est « le dernier avertissement avant le clash ».
« Entre Idrissa Seck et Wade, il n’y a plus de lueurs d’espoir pour une réconciliation. Les deux ont atteint un point de non-retour, même si dans cette guerre chacun utilise un fleuret moucheté. Personne ne voulant paraître comme ayant violé les règle de gentlemen agreement qui avait renoué les contact entre le « père » et le fils depuis le 4 novembre 2009 à Thiès lors de l’inauguration de l’usine Senbus », commente « Walfadjri ».