Les enseignants menacent de durcir le ton si …
A Kaolack, les enseignants, après avoir fait un tour dans les institutions financières locales, improvisent une marche de protestation avant d’aller siéger le siège du Trésor public de la ville.
C’est le gouverneur de Kaolack, Amadou Sy, qui a finalement calmé leur ardeur en les recevant dans son bureau et joindre la tutelle par téléphone. Il donne une bonne nouvelle : les salaires seront payés demain, jeudi. Un responsable syndical, en l’occurrence Massamba Top a, toutefois, averti que « si demain les salaires ne sont pas payés, les enseignants vont passer à une vitesse supérieure ».
Une assemblée générale à Tivaouane
La même situation prévaut dans le département de Tivaouane. Les enseignants réclament eux aussi leur salaire. Une assemblée générale est, d’ailleurs, convoquée jeudi à l’IDEN de Tivaouane. Selon Abdoulaye Dembélé, un autre responsable syndical, il ne s’agit pas de l’affaire des enseignants des corps émergents, seulement, mais de tous les enseignants du département de Tivaouane pour dénoncer ensemble cette attitude du gouvernement. « Le salaire, c’est la survie, c’est la dignité pour tout travailleur de surcroit pour un père ou une mère de famille », dit-il dans une colère acide.
A Saint-Louis, les enseignants réclament la tête de Kalidou Diallo
Les enseignants des corps émergents de Saint-Louis, eux, tiennent comme seul responsable de cette situation le ministre de l’Education, Kalidou Diallo. « L’éducation dans un pays qui veut se développer, doit être respectée. Kalidou Diallo qui est à la fois un enseignant et un syndicaliste ne semble pas comprendre cela, parce qu’il ne se soucie pas de la cause des enseignants. Pour cette raison, nous demandons au président de la République de le démettre afin de laisser la place à un autre capable de travailler et prendre en charge les préoccupations des syndicats », soutient Alassane Bâ. Ils ont décidé de se rencontrer dans la capitale du Nord pour exiger le paiement de leur salaire.
Ferloo.com
A Kaolack, les enseignants, après avoir fait un tour dans les institutions financières locales, improvisent une marche de protestation avant d’aller siéger le siège du Trésor public de la ville.
C’est le gouverneur de Kaolack, Amadou Sy, qui a finalement calmé leur ardeur en les recevant dans son bureau et joindre la tutelle par téléphone. Il donne une bonne nouvelle : les salaires seront payés demain, jeudi. Un responsable syndical, en l’occurrence Massamba Top a, toutefois, averti que « si demain les salaires ne sont pas payés, les enseignants vont passer à une vitesse supérieure ».
Une assemblée générale à Tivaouane
La même situation prévaut dans le département de Tivaouane. Les enseignants réclament eux aussi leur salaire. Une assemblée générale est, d’ailleurs, convoquée jeudi à l’IDEN de Tivaouane. Selon Abdoulaye Dembélé, un autre responsable syndical, il ne s’agit pas de l’affaire des enseignants des corps émergents, seulement, mais de tous les enseignants du département de Tivaouane pour dénoncer ensemble cette attitude du gouvernement. « Le salaire, c’est la survie, c’est la dignité pour tout travailleur de surcroit pour un père ou une mère de famille », dit-il dans une colère acide.
A Saint-Louis, les enseignants réclament la tête de Kalidou Diallo
Les enseignants des corps émergents de Saint-Louis, eux, tiennent comme seul responsable de cette situation le ministre de l’Education, Kalidou Diallo. « L’éducation dans un pays qui veut se développer, doit être respectée. Kalidou Diallo qui est à la fois un enseignant et un syndicaliste ne semble pas comprendre cela, parce qu’il ne se soucie pas de la cause des enseignants. Pour cette raison, nous demandons au président de la République de le démettre afin de laisser la place à un autre capable de travailler et prendre en charge les préoccupations des syndicats », soutient Alassane Bâ. Ils ont décidé de se rencontrer dans la capitale du Nord pour exiger le paiement de leur salaire.
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