«Dieu m’a fait deux grands cadeaux dans ma courte existence : être payée en vivant ma passion, le journalisme et avoir rencontré l’homme de ma vie El Hadj Alioune Barr. Pour Le remercier, je n’ai trouvé qu’une chose : vivre dans l’honnêteté, la sincérité, la loyauté et l’amour de mon prochain. Somme toute, des vertus chéres au Prophéte Mohamet PSL.
Dans sa vie, El hadj Alioune Barr a commis un seul crime : celui d’avoir épousé une seconde femme pour enfin fonder une famille étant entendu que sa premiére épouse Christine Bernardette Cons une française qui ayant déjà eu deux enfants d’un premier mariage ne peut plus en avoir.
Dans sa vie, El hadj Alioune Barr a eu une seule «malchance», épouser Aissatou Diop Fall, une femme publique. Depuis le retour de mon mari au bercail en 2006, lui et sa première femme Bernardette Christine Cons ont des problémes liés à la jalousie maladive de la française.
J’ai rencontré Barr en 2008 et nous nous nous sommes mariés en 2009, et cela a mis le feu aux poudres de leurs relations déjà dégradées.
Donc, c’est une banale scène de ménage, une affaire strictement privée qui a atteri au tribunal.
Dans le but de nuire et de détruire, mon nom est hurlé à tous les vents pour ajouter du piment à une sauce fade. Et pourtant, il n’avait rien à y faire. Mon mari est ma Vie. Mon oxygène. Un Saint. Il n’a ni tué, ni volé, encore moins, escroqué qui que ce soit. Il est juste tombé amoureux. Si c’est un crime, nous serons deux à aller en prison. Notre amour est un don de Dieu et rien ni personne, même pas les articles de presse au vitriol, ne pourront le ternir.
Je remercie du fond du coeur les nombreux sénégalais et sénégalaises de tout bord qui me soutiennent dans cette dure épreuve. Ceux qui m’apportent aide et assistance en toute bonne foi, car «alhamdoulilah», je n’ai pas que des ennemis. Quant à ceux qui souhaitent à El hadj Alioune Barr et Aissatou Diop Fall de brûler en enfer, qu’ils nous souhaitent d’y aller ensemble, le même jour et la même seconde. Mon mari et moi souhaitons partager le même tombeau. Je respecte la justice de mon pays, mais je défendrai mon mari avant la justice. Cette épreuve, à coup sûr, sera le ciment de mon couple. Alhamdoulilah».
Mme BARR AISSATOU DIOP FALL, Journaliste
Dans sa vie, El hadj Alioune Barr a commis un seul crime : celui d’avoir épousé une seconde femme pour enfin fonder une famille étant entendu que sa premiére épouse Christine Bernardette Cons une française qui ayant déjà eu deux enfants d’un premier mariage ne peut plus en avoir.
Dans sa vie, El hadj Alioune Barr a eu une seule «malchance», épouser Aissatou Diop Fall, une femme publique. Depuis le retour de mon mari au bercail en 2006, lui et sa première femme Bernardette Christine Cons ont des problémes liés à la jalousie maladive de la française.
J’ai rencontré Barr en 2008 et nous nous nous sommes mariés en 2009, et cela a mis le feu aux poudres de leurs relations déjà dégradées.
Donc, c’est une banale scène de ménage, une affaire strictement privée qui a atteri au tribunal.
Dans le but de nuire et de détruire, mon nom est hurlé à tous les vents pour ajouter du piment à une sauce fade. Et pourtant, il n’avait rien à y faire. Mon mari est ma Vie. Mon oxygène. Un Saint. Il n’a ni tué, ni volé, encore moins, escroqué qui que ce soit. Il est juste tombé amoureux. Si c’est un crime, nous serons deux à aller en prison. Notre amour est un don de Dieu et rien ni personne, même pas les articles de presse au vitriol, ne pourront le ternir.
Je remercie du fond du coeur les nombreux sénégalais et sénégalaises de tout bord qui me soutiennent dans cette dure épreuve. Ceux qui m’apportent aide et assistance en toute bonne foi, car «alhamdoulilah», je n’ai pas que des ennemis. Quant à ceux qui souhaitent à El hadj Alioune Barr et Aissatou Diop Fall de brûler en enfer, qu’ils nous souhaitent d’y aller ensemble, le même jour et la même seconde. Mon mari et moi souhaitons partager le même tombeau. Je respecte la justice de mon pays, mais je défendrai mon mari avant la justice. Cette épreuve, à coup sûr, sera le ciment de mon couple. Alhamdoulilah».
Mme BARR AISSATOU DIOP FALL, Journaliste