Santé
Appréciée pour ses vertus aussi bien beauté que santé, l'aloe vera connaît un regain de popularité. Et s'invite en cuisine. Pour autant avant d'en consommer, il faut prendre toutes ses précautions. Dans les rayons des supermarchés, dans certains médicaments, dans des produits de beauté et même dans des recettes de cuisine : l'aloé vera est partout ! Possédant de nombreuses vertus pour notre santé, la plante gagne à être consommée. Mais pas n'importe comment ! Si on prend peu de risque avec les cosmétiques à base d'aloe vera, l'usage de la plante fraîche, nécessite plus de précautions. Pourquoi l'aloé vera est dangereuse ? La Direction générale de la Santé et la répression des fraudes (DGCCRF) a tiré la sonnette d'alarme. La partie externe des feuilles sécrète un liquide jaunâtre, le latex. Son tort ? Un effet laxatif très puissant à l’origine de « multiples effets indésirables largement documentés ». Et ce n'est pas tout, l’Agence européenne de sécurité des aliments (AESA) indique que certains composants du latex sont également susceptibles d’endommager l’ADN et d’être cancérigènes. Comment consommer l'aloé vera ? En attendant que l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (ANSES) évalue les risques associés à un usage alimentaire de feuilles fraîches d’aloé vera ,on peut tout de même consommer la plante. A condition d'être méticuleux. Par principe de sécurité, on recommande de ne consommer que le gel situé au centre des feuilles (et d’éliminer la partie externe et toute présence de latex). Pour les enfants, les femmes enceintes ou allaitantes et les personnes fragiles, la DGCCRF est encore plus stricte et conseille de bannir totalement l'aloé vera de sa consommation. magazine-avantages.fr
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L'activité physique contribue à booster l'humeur et l'énergie des personnes atteintes de troubles bipolaires selon une étude américaine.
Bouger est bon pour la santé physique et mentale. Pratiquer une activité physique serait particulièrement efficace pour redonner de l'énergie et améliorer l'humeur des personnes bipolaires. C'est ce que suggèrent les travaux d'une équipe de chercheurs de l'école de santé publique John Hopkins Bloomberg aux Etats-Unis, parus le 12 décembre dans la revue JAMA Psychiatry. L'étude s'est basée sur 242 participants (150 femmes et 92 hommes) âgés de 15 à 84 ans, dont 54 atteints de trouble bipolaire. Leur activité physique a été enregistrée pendant deux semaines à l'aide de capteurs connectés portés aux poignets. Sur cette courte période, les volontaires ont également été invités à évaluer leur bonheur et leur énergie sur deux échelles numériques distinctes. Les résultats ont mis en avant un cercle vertueux entre exercice physique, énergie et moral. L'augmentation de l'activité physique à un moment de la journée a été corrélée à une amélioration de l'humeur et de l'énergie à un autre moment. Lorsqu'un participant avait plus d'énergie à un instant T, il faisait plus d'exercice physique plus tard. Cette dynamique positive entre le sport, l'humeur et l'énergie était encore plus prégnante chez les personnes atteintes de bipolarité, ont constaté les chercheurs. UN ÉVENTUEL LIEN ENTRE SPORT, SOMMEIL ET STRESS À ÉTUDIERCeux-ci espèrent appliquer ces résultats à de futures recherches sur la prévention des épisodes dépressifs et bipolaires. "Cette étude illustre le potentiel de l'utilisation combinée de capteurs d'activité physique et d'agendas électroniques pour mieux comprendre les inter-relations dynamiques complexes entre plusieurs systèmes dans un contexte réel", explique le Dr Zipunnikov, professeur adjoint au département de biostatistique de la Bloomberg School. Lui et son équipe ne comptent pas s'arrêter là. Ils comptent à présent se pencher plus particulièrement sur le lien entre activité physique et sommeil, douleur, consommation d'alcool et stress chez les personnes bipolaires.
La prévention du surpoids et de l'obésité de l'enfant commence dès la naissance et passe par l'acquisition de "bonnes habitudes de vie" qui concernent aussi bien l'enfant que sa famille. Voici quelques conseils pour éviter que votre enfant ne présente un surpoids : -
Allaitez, si possible, votre nourrisson. Outre les qualités nutritionnelles du lait maternel (le lait maternel est riche en graisses et contient une faible proportion de protéines), l'allaitement maternel réduirait le risque d'excès de poids futur chez l'enfant - Donnez uniquement du lait jusqu'à six mois (allaitement maternel ou lait premier âge) - Jusqu'à l'âge de 2 ans, l'enfant a besoin d'une quantité suffisante de lipides (ou graisses) pour répondre à ses besoins en énergie et en croissance. Les lipides (ou graisses) ne doivent pas être restreints avant l'âge de 2 ans. En particulier, les laitages allégés qui comportent peu de lipides et une proportion élevée de protéines ne sont pas indiqués avant l’âge de 2-3 ans. Une restriction des lipides peut programmer le métabolisme du nourrisson pour faire face au déficit, mais cette adaptation le rendra plus susceptible de développer plus tard, un surpoids lorsque les apports lipidiques augmenteront - Diversifiez l'alimentation, de préférence à partir de six mois, et peu à peu, en stimulant le goût de votre enfant avec des aliments variés. Avant l'âge de deux ans, l'enfant est curieux de nouvelles saveurs et les accepte facilement : profitez-en pour lui faire découvrir une palette de goûts différents - Proposez à votre enfant une alimentation équilibrée - Donnez-lui l'habitude d'une activité physique régulière - Limitez ses activités sédentaires afriquefemme.com
Bébé respire mal, vous réveille la nuit, est grognon toute la journée ? Vous n'en pouvez plus de tous ces rhumes qui se succèdent sans répit depuis le début de l'automne. Et pourtant, votre meilleure alliée, c'est la patience. Le Dr Pierre Popowski, pédiatre, répond à vos questions.
Un rhume est-il inquiétant ? Le rhume n'est pas une maladie, c'est seulement le signe que votre petit vient de rencontrer un nouvel agresseur (virus) qu'il est en train de combattre. C'est ce qui lui permet peu à peu de fabriquer ses propres défenses. Certains enfants ont ainsi besoin de faire une centaine de rhinopharyngites pour s'immuniser contre les germes habituels. Jusqu'à ce que leur système immunitaire arrive à maturité, vers l'âge de 7 ou 8 ans. Vous pouvez attendre 2 à 3 jours avant de consulter le médecin, même si votre enfant a 39,5°C de fièvre. A condition qu'il n'y ait aucun autre signe inquiétant. Souvent la fièvre retombe toute seule et le rhume est déjà en voie de guérison. Découvrez-le pour faire baisser sa température, laissez-le par exemple en body ou même en couche, allongez-le au calme, dans une pièce chauffée à 20°C maximum et donnez-lui souvent de l'eau à boire pour éviter qu'il ne se déshydrate.En revanche, consultez un médecin si votre bébé de moins de 3 mois est fiévreux, si votre enfant a un comportement inhabituel (geignard ou abattu) ou d'autres symptômes associés (vomissements, diarrhée, éruption?). Car le rhume peut se surinfecter et provoquer otite, bronchite ou bronchiolite. Les causes du rhume Chez les tout-petits, les poussées dentaires sont le plus souvent à l'origine des rhumes que les virus. Le nez coule, l'enfant bave, les fesses sont irritées : un tableau malheureusement banal durant la première année d'un bébé. Si votre enfant a plus d'un rhume par mois tout au long de l'année, le médecin va rechercher une cause médicale : une allergie respiratoire ou un reflux gastro-oesophagien (remontées acides de l'estomac), notamment. Dans le premier cas, des tests de sensibilisation aux acariens ou aux pollens peuvent être réalisés par un allergologue à partir de l'âge de 2 ans. Dans le second, une fibroscopie oesophagienne ou une mesure de l'acidité gastrique (pH-métrie) permettront de confirmer le diagnostic et de prescrire un traitement médicamenteux. Comment puis-je soulager mon enfant de son rhume ? Donnez-lui du paracétamol s'il a beaucoup de fièvre. Pour un tout petit, la meilleure façon de l'aider à respirer est de procéder à un lavage de nez. Il faut maintenir la tête de bébé sur le côté, de profil, et placer l'embout du pulvérisateur ou de la pipette de façon perpendiculaire au visage, dans la narine supérieure. Si son nez n'est pas bouché, n'en faites pas un geste d'hygiène quotidienne sinon ces solutions salées risquent d'irriter les muqueuses et d'envoyer les glaires dans l'arrière-gorge, répandant ainsi l'infection jusque dans les bronches. Tant qu'il ne sait pas se moucher seul, vous pouvez aussi aspirer les mucosités avec un mouche-bébé. Mais vous n'aspirerez pas le mucus en profondeur. Lorsque l'enfant est plus grand, apprenez-lui à se moucher en soufflant une narine après l'autre. Placez à sa disposition des mouchoirs en papier qu'il jettera après chaque utilisation et expliquez-lui aussi qu'il doit toujours se laver les mains. Tant qu'il ne sait pas se moucher seul, aspirez les mucosités avec un mouche-bébé. L'homéopathie est-elle recommandée? Il semble bien que les granules rendent l'organisme plus résistant, limitent la fréquence des rhinos et par là même diminuent le risque de surinfection. Les principaux remèdes sont Thuya, Calcareacarbonica, Chamomilla ou Nuxvomica, selon les symptômes et le « terrain » de votre enfant. L'alimentation joue-t-elle un rôle en matière de prévention du rhume ? Une carence en fer rend plus fragile et donc plus sujet aux infections, ORL notamment. Elles sont plus fréquentes chez les enfants végétariens et les bébés nourris au sein, car le lait maternel est très pauvre en fer. Une simple prise de sang pour doser la ferritine permet de confirmer le diagnostic. Dans ce cas, du lait infantile, systématiquement enrichi en fer, ou 30 g de viande rouge deux à trois fois par semaine suffisent souvent comme traitement. Sinon, le médecin peut prescrire une supplémentation en fer sous forme de sirop. Faut-il lui faire retirer les amygdales et les végétations en cas de rhume ? L'ablation des amygdales (amygdalectomie) peut être utile et efficace chez les enfants qui ont plus de 6 angines par an, ou encore lorsque ces affections à répétition provoquent des pauses respiratoires ou un ralentissement de la croissance. Quant à l'ablation des végétations (adénoïdectomie), elle est recommandée pour traiter les enfants qui ont le nez bouché en permanence, des végétations énormes ou qui font des otites à répétition. afriquefemme.com
Tu viens d’accoucher, et tu as sûrement remarqué ce léger petit détail: un bébé n’est pas livré avec son mode d’emploi. C’est nul, mais c’est comme ça. Ton nourrisson hurle, alors qu’il est propre, nourri et suffisamment reposé ? Cherche pas, c’est probablement des coliques. Ce mal de bide horrible pour eux, peut se soulager avec quelques astuces, qui marchent en fonction des bébés (sinon c’est trop facile).
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