Santé
Des chercheurs mettent au point un pansement à électrodes qui génère des stimulations électriques sur les blessures, leur permettant de guérir plus vite. La première phase de l’expérience est un succès, avec la cicatrisation d’une plaie qui peut prendre trois jours au lieu de 14 dans certains cas.Nous savions déjà que les stimulations électriques favorisaient la guérison des blessures et une cicatrisation plus rapide, des chercheurs ont mis ce savoir en pratique en mettant au point des pansements générant d’eux-mêmes de l’électricité. Appliqués sur une plaie, ils permettent ainsi une régénération plus rapide des tissus. Pas de quoi devenir des Wolverine en puissance, mais de raccourcir très efficacement la période de rétablissement (de 14 jours à 3 jours pour un certain cas). L’équipe de scientifiques, composée d’Américains et de Chinois, a mené avec succès des tests sur des souris rapporte l’étude, publiée par ACS Nano. La prochaine étape est désormais de réaliser des expériences sur les porcs. Si elles s’avèrent concluantes, on pourra alors passer aux expérimentations sur l’humain. Les composants nécessaires à ces pansements d’un genre nouveau laissent la possibilité d’une production et d’une commercialisation de masse à terme. On pourrait donc bien en trouver dans les hôpitaux et les pharmacies d’ici quelques années. Les petites électrodes présentes sur le pansement créent une faible intensité électrique qui stimulent les cellules de la peau. Celles-ci s’activent alors et sont deviennent bien plus rapides qu’en temps normal. Pour l’instant, la nécessité d’un nano-générateur qui déclenchent l’action des électrodes rend le système encore peu pratique pour les particuliers, mais une solution pour alléger le procédé est aussi en cours d’étude.
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Une récente étude réalisée par l'université de Berkeley en Californie prouve qu'il existe un lien entre les composants chimiques de nos cosmétiques et la puberté précoce des jeunes filles.
C'est prouvé, les produits chimiques présents dans nos cosmétiques ont une mauvaise influence sur notre corps. Selon une récente étude américaine menée par l'université de Berkeley en Californie et publiée dans Human Reproduction, les composants chimiques tels que les phtalates, les parabens ou les phénols auraient un impact négatif sur le développement hormonal des jeunes filles et seraient donc responsables de leur puberté précoce. Pour en arriver à de telles conclusions, les chercheurs ont effectué des tests d’urine sur plusieurs femmes enceintes afin d'étudier le taux de phtalate, de parabène et de phénol, trois substances chimiques que l’on retrouve dans un grand nombre de cosmétiques et dans de nombreux produits d’entretien. Si les phtalates sont utilisés pour créer nos parfums et nos déodorants, le parabène et le phénol se retrouvent dans la quasi-totalité de nos produits de soin et de maquillage. Un constat alarmant qui justifie notamment ce regain d'attention des femmes pour les cosmétiques d'origine naturelle. Des règles et des poils pubiens qui apparaissent plus tôt Ces composants chimiques peuvent tous être à l’origine d'une puberté précoce et ce dès le plus jeune âge, puisque les plus graves conséquences se formeraient dès les premiers mois de grossesse de la mère. D'après les chercheurs, à chaque fois que la dose de phtalate était doublée, le développement des poils pubiens chez une jeune fille arrivait un mois et trois semaines plus tôt que l'âge moyen. Quand la base de triclosan (type de phénol) était doublée, en comparaison à un indicateur de base, les menstruations arrivaient un mois plus tôt que la moyenne. Résultat : les recherches ont permis de découvrir que les jeunes filles exposées à ces trois produits chimiques étaient plus susceptibles d'avoir une puberté précoce. Ce sont notamment les filles dont les mères avaient le plus fort taux de phtalate, de diéthyle et de parabens, qui présentaient le plus gros risque d'une puberté avancée. Mesdames, un grand tri dans vos salles de bain s'impose ! afriquefemme.com
Une étude, menée sur plus de 15 000 volontaires par des chercheurs espagnols de l'université de Las Palmas pendant 10 ans, démontre qu’une alimentation riche en fruit et légumes et noix parviendrait à protéger contre la dépression. Par contre, l’étude révèle également que les végétariens seraient plus sujets à faire des dépressions.
Un lien entre alimentation et dépression Les consommateurs s’en doutaient, les scientifiques l’ont confirmé. Verdict, les participants qui durant cette expérience ont suivi un régime méditerranéen (beaucoup de légumes, de fruits, d’huile d’olive, de poisson et peu de viande) ont consommé moins d’antidépresseur que les autres. Selon celle-ci, les amateurs de poissons et de crustacés voient le risque de faire une dépression baissée de 17 % par rapport à ceux qui n’en mangent jamais. Un constat qui semble être confirmé par une autre étude américaine cette fois. Selon celle-ci, les amateurs de poissons et de crustacés voient le risque de faire une dépression baissée de 17 % par rapport à ceux qui n’en mangent jamais. Reste deux inconnus, quelle est la quantité optimale à consommer et quel est le type de poissons à privilégier, les scientifiques n’ont pas fini de scruter nos assiettes. afriquefemme.com
Péridurale ou accouchement dans la douleur ? Césarienne ou voie basse ? Episiotomie ? Forceps ? Forum Santé fait le point sur toutes ces questions qui empêchent les futures mamans de dormir et de faire de l'accouchement le plus beau jour de leur vie.
Accouchement par voie basse ou naturelle C’est la méthode traditionnelle. L’accouchement par voie basse ou par voie naturelle, c'est l'expulsion du bébé à travers les voies génitales, à la fois par les contractions utérines et de puissantes contractions abdominales (le fait de "pousser"). C'est ce que souhaite la plupart des mamans mais ce n'est pas toujours possible. Pour préserver la maman d'un accouchement difficile et douloureux pour elle et son bébé, il arrive qu'on procède par des méthodes moins naturelles. Ce n'est pas pour autant qu'il faut angoisser. Ces autres types d'accouchement ont souvent pleins de côté positifs et parfois, quand on y réfléchit, on en viendrait presque à redouter un accouchement naturel. Accouchement par césarienne L’accouchement par césarienne est généralement pratiqué en urgence. Elle peut être également programmée en fonction de vos convenances, de la taille de votre bébé et de vos antécédents en matière de grossesse. Si elle est planifiée, votre accouchement par césarienne se déroule beaucoup plus rapidement qu'un accouchement naturel. Vous pouvez vous organiser pour en faire profiter toute votre famille également. En moins d'une heure, vous retrouvez votre enfant sans avoir vécu la douleur, les contractions qui n'en finissent pas et l'épisiotomie. Autres avantages : l’incontinence urinaire et fécale est fortement réduite, les fonctions sexuelles sont moins affectées au cours des trois premiers mois et au bout de deux mois, tous les signes de l’opération disparaissent. Accouchement au forceps, ventouse, spatule L’accouchement au forceps est fait grâce à des instruments dits d'extraction utilisés lors d'un accouchement, pour dégager plus facilement la tête de l'enfant et accélérer l'expulsion. La ventouse facilite l’expulsion en améliorant la flexion et la rotation de la tête du bébé et les spatules permettent de guider le bébé vers la sortie. Rassurez-vous, la bosse créée au moment de l’aspiration se résorbe très vite d'elle-même et votre enfant n’a pas mal du tout. Quant à vous, n'ayez aucune crainte, vous ne souffrirez pas de l’utilisation de ces outils tout simplement parce que leur usage se fait sous péridurale. Ce type d'accouchement est fait de façon exceptionnelle. Accouchement avec ou sans péridurale ? L’idée qu’une femme n’a pas d’autre alternative que d’enfanter dans la douleur a non seulement fait son temps, mais est aussi fausse. L’accouchement sous péridurale, donne le droit aux femmes de moins souffrir. La péridurale a le même effet qu’une anesthésie locale. Grâce à une injection qui se fait via l’espace péridural, les douleurs de l’enfantement sont atténuées. L’allègement des douleurs permet de diminuer la fatigue maternelle. Vu que l’injection n’agit que sur une partie précise du corps, la future maman reste consciente ressent toutes les contractions sans avoir mal. La péridurale peut se pratiquer aussi bien pour un accouchement par voie basse que pour une césarienne. Accouchement par épisiotomie Parfois, pour permettre le passage du bébé, la sage-femme est obligée de pratiquer une incision du périnée. On parle alors d’accouchement par épisiotomie. Très fréquent lors d’un premier accouchement, cela ne signifie en rien que vous en aurez une pour un deuxième ou un troisième enfant. Accouchement sous hypnose Si vous voulez contrôler les douleurs lors de l'accouchement sans prendre la péridurale, il vous reste un choix : celui de l'accouchement sous hypnose. De plus en plus d'hôpitaux proposent aux futures mamans, d'accoucher sous hypnose. L'objectif : loin des clichés que l'on se fait de l'hypnose, aider la maman à atteindre la transe hypnotique afin de supporter sereinement les douleurs liées aux contractions. Tout en restant consciente, les mamans distinguent leur esprit de leur corps et accouchent plus paisiblement. forumsante.com
En cette journée mondiale des reins 2015, nous revenons pour vous sur les fonctionnalités de cet organe et sur le traitement des maladies des reins.
Comment fonctionne le rein ? Le rein est un immense filtre qui purifie la totalité du sang. À chaque fois que le cœur éjecte le sang, il passe par les reins, et le rein est débarrassé de ses déchets, via l'urine, pour ne garder que les substances importantes. Le rein a d'autres fonctions, notamment, maintenir un équilibre intérieur (équilibre acide-base). Le rein est donc en permanence en train de réguler l'acidité du sang. C'est aussi une glande qui secrète un certain nombre de substances dont la rénine. La rénine permet de réguler la tension artérielle et la maintient dans les limites de la normale, c'est-à-dire autour de 13/8. Le rein secrète également des hormones appelées érythropoïétines qui servent à synthétiser les globules rouges qui captent l'oxygène. Plus on en a, plus on a d'oxygènes. Les maladies des reins Les maladies des reins sont innombrables. Toutes les pathologies qu'on a dans l'organisme peuvent se retrouver dans le rein. La plus grave est l'insuffisance rénale chronique. Les reins peuvent également être touchés par des inflammations ou des infections. Les maladies cardiovasculaires déteignent également sur l'activité du rein. Quand on souffre de pathologie au niveau cardiovasculaire, une artère irrigue le rein et en diminue l'infiltration. Traitement de la maladie des reins En cas d'insuffisance rénale, on peut vivre avec un seul rein. Ce rein bien portant, va contre balancer la perte de fonctionnalité de l'autre, mais il est impossible de vivre sans rein, parce que très rapidement, on se retrouve avec des toxines dans le corps qui ne sont pas éliminées. Quand on souffre d'insuffisance rénale aigue, le recours à la dialyse s'avère indispensable. La dialyse permet d'épurer le sang à intervalle de temps régulier. On ne peut cependant pas vivre très longtemps sous dialyse, il y a un moment où on est obligé de passer à la greffe du rein. forumsante.com
Une étude américaine de grande ampleur met en lumière les effets des écrans sur le cerveau des enfants. Les conclusions sont inquiétantes : les écrans modifient le cerveau des enfants.
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