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Santé

Les papillomavirus sont une cause nécessaire mais non suffisante de ce cancer. D'autres conditions peuvent intervenir comme le tabagisme, la multiplication des partenaires sexuels... Découvrez tous les facteurs de risque avec Doctissimo.


Les facteurs de risque du cancer du col de l'utérus
Facteurs risques cancer uterus Certains facteurs de risque peuvent accroître le risque qu'une femme soit atteinte d'un cancer du col de l'utérus. Parmi ces derniers, on peut citer :
Les principaux facteurs de risque
Une infection par certains types de papillomavirus humain (HPV)
• Aujourd'hui, on estime que la quasi-totalité des cancers du col de l'utérus est liée aux papillomavirus. Les papillomavirus (HPV) sont une cause nécessaire mais non suffisante du cancer du col utérin. S'ils sont éliminés chez la plupart des femmes, ils persistent chez d'autres et participent au développement d'un cancer du col de l'utérus. Les souches les plus virulentes sont les HPV 16 et 18 ;
Le fait de ne pas être régulièrement suivi par frottis
• Le cancer du col de l'utérus évolue très lentement à partir de lésions précancéreuses. Pris en charge et traité à un stade précoce d'anomalie, il n'évolue pas jusqu'au stade cancéreux. Un dépistage régulier par frottis (pour toutes les femmes de 25 à 65 ans tous les 3 ans après deux frottis normaux à un an d'intervalle) permet une bonne protection. Pour en savoir plus, lire notre dossier "Le frottis face au cancer du col de l'utérus".
Les autres facteurs de risque
• Le fait de devenir active sexuellement à un jeune âge et d'avoir de nombreux partenaires sexuels multiplient les risques d'infections par les papillomavirus les plus virulents et augmente donc le risque de cancer du col de l'utérus ;
• Le tabagisme actif (>15 cigarettes par jour) ou passif et l'utilisation sur le long terme de contraceptifs oraux (>5 ans) ;
• Certains infections sexuellement transmissibles notamment à Chlamydia trachomatis ou Herpès simplex virus de type 2 (herpès génital) ;
• Un système immunitaire affaibli à cause de médicaments qui inhibent le système immunitaire ou de la présence d'une infection au virus de l'immunodéficience humaine (VIH).
• Le fait d'être la fille d'une femme qui a pris du diéthylstilbestrol (DES), un médicament, lors de sa grossesse. Pour en savoir plus, lire notre article " Distilbène : combien de femmes en danger ?"
• Le fait d'avoir eu des grossesses multiples à terme (multiparité) ;
• Certains facteurs alimentaires ont été suspectés, notamment les carences en vitamine B6, B12 et en folates. A contrario, un régime riche en fruits et légumes diminuerait le risque.
doctissimo.fr

Une étude publiée aujourd'hui dans la revue «The Lancet» propose trois scénarios pour la santé mondiale en 2040. Et pointe le rôle de facteurs non médicaux dans l'augmentation de l'espérance de vie.


Quelle espérance de vie en 2040 ?
A quoi ressemblera l’espérance de vie mondiale en 2040 ? C’est la question posée par une étude de l’Institute for Health Metrics and Evaluation (IHME), publiée aujourd’hui dans la revue The Lancet.

Les chercheurs ont modélisé des centaines de données provenant de l’Organisation mondiale de la santé pour y répondre, en construisant trois scénarios, qui intègrent 250 causes de mort. Selon le plus optimiste, près de 50 pays, la majorité en développement, pourraient gagner dix ans d’espérance de vie. Dans le pire des cas, l’espérance de vie reculerait dans près de la moitié des pays du globe. Si les trajectoires actuelles se poursuivent, l’espérance de vie mondiale augmenterait de 4,4 ans. Dans le scénario le plus optimiste, elle gagnerait plus de 7 ans, alors qu’elle stagnerait dans le pessimiste.

Une différence de taille qui s’explique par la prise en compte de nombreux facteurs, dont certains ont des conséquences sur la santé sans être directement médicaux (comme le niveau d’éducation, le taux de fertilité ou le revenu par tête), tout en étant très dépendants de l’orientation des politiques publiques. «Il existe un fort potentiel pour infléchir la trajectoire descendante en matière de santé, en concentrant les efforts sur les facteurs clés de risque, les niveaux d’éducation et le revenu par habitant», précise le rapport.

Recul américain, l’Espagne en tête
Selon le scénario moyen de référence, l’Espagne connaîtrait la plus forte espérance de vie, avec 85,8 ans, devant le Japon. La France resterait au huitième rang des espérances de vie moyennes, avec 84,3 ans, soit un gain de deux ans par rapport à 2016.

Les Etats-Unis, confrontés depuis deux ans à un recul de leur espérance de vie, connaîtraient eux la plus forte baisse des pays à hauts revenus, en passant de la 43e à la 64e place, avec un gain d’à peine un an d’ici à 2040. La plus forte hausse au classement devrait venir de la Chine qui, «si les tendances actuelles en matière de santé perduraient», gagnerait 5,6 ans d’espérance de vie, pour atteindre presque 82 ans.

Mais ce rattrapage est loin de se profiler partout, l’étude laissant au contraire présager la persistance des inégalités existantes. L’Afrique subsaharienne resterait une zone de faible espérance de vie, avec un plus bas qui pourrait atteindre 45,3 ans au Lesotho, selon les projections les plus alarmistes. Si de nouvelles politiques publiques ne viennent pas améliorer les tendances actuelles, la Somalie, la Centrafrique, le Lesotho et le Zimbabwe garderaient une espérance de vie inférieure à 65 ans en 2040.

Diabète et VIH
Quel que soit le scénario envisagé, les facteurs de mortalité prématurés seront les mêmes. En 2040, on mourra essentiellement de maladies non contagieuses (comme le diabète) liées à nos modes de vie et à six facteurs de risques principaux, que sont l’hypertension artérielle, le poids, l’hyperglycémie, le tabagisme, l’alcoolisme et la pollution. Agir sur ces facteurs de risque, par des politiques souvent plus éducatives que médicales, serait un des moyens les plus efficaces d’améliorer la santé globale.

Par ailleurs, si la mortalité due aux maladies contagieuses devrait globalement chuter, elle resterait tout de même plus élevée en Afrique subsaharienne. Elle pourrait faire face à une double morbidité, liée à la persistance de maladies infectieuses et au développement d’affections non transmissibles découlant d’un changement de mode de vie et d’alimentation. L’étude s’inquiète notamment d’un risque de recrudescence du VIH, qui pourrait y annuler des gains récents d’espérance de vie.

Quant à savoir si la santé mondiale va suivre le scénario pessimiste ou optimiste, tout dépendra des politiques de santé mises en place aujourd’hui et dans les quelques années à venir. Pour le directeur de l’IHME, Chris Murray, «le scénario du meilleur et du pire doivent permettre aux acteurs d’examiner les changements à mettre en œuvre pour améliorer les systèmes de santé», en faisant ressortir les mesures les plus efficaces à long terme. Reste aux Etats à s’en emparer.








liberation.fr
Dengue à Fatick : 3 nouveaux cas découverts
La dengue n’est pas totalement éradiquée à Fatick. Le médecin-chef de la région, Mamadou Sarr, a signalé ce jeudi, l’apparition de trois nouveaux cas positifs de dengue dans les communes de Diarrère et Diakhao, des localités situées en dehors de la capitale régionale où était jusque-là circonscrite la maladie depuis son apparition, le 19 septembre dernier.

Deux de ces trois nouveaux cas positifs ont été diagnostiqués dans la commune de Diarrère et le troisième dans la commune de Diakhao. « Ces trois nouveaux cas portent, à ce jour, à 29 le nombre total de cas de dengue confirmés et traités dans la région, avec 26 cas rien que dans la commune de Fatick. Ces cas correspondent à 1 500 prélèvements sanguins effectués chez des sujets suspects », a-t-il ajouté.





IGFM
Réchauffement climatique: Une hausse de 2°C affecterait gravement notre santé mentale
Le réchauffement climatique pourrait avoir des effets néfastes sur notre santé mentale. C’est la conclusion inquiétante d’une étude publiée lundi dans la revue Proceedings of the National Academy of Sciences et relayée par Numerama.

En étudiant les effets du réchauffement climatique, les scientifiques américains ont découvert que la fréquence des troubles mentaux augmentait avec la hausse des températures.

Des symptômes corrélés à la chaleur
Les chercheurs ont analysé des données recueillies entre 2002 et 2012 auprès de 2 millions d’Américains lors d’une enquête de santé. Ils ont mis ces données en relation avec des informations météorologiques et ont découvert que l’augmentation de la température était corrélée à une hausse de la fréquence des troubles mentaux.

« Le passage de températures mensuelles comprises entre 25 °C et 30 °C à plus de 30 °C augmente la probabilité de développer des problèmes de santé mentale à 0,5 % », indiquent les auteurs de l'étude. « Un degré Celsius de réchauffement sur 5 années est associé à une hausse de 2 % dans la fréquence des problèmes de santé mentale. »

L’impact des catastrophes
Une exposition de courte durée à des températures élevées ou à des cyclones tropicaux pourrait suffire. Les chercheurs affirment que « l’exposition à l’ouragan Katrina a été associée à une augmentation de 4 % » de la fréquence des troubles mentaux.

« Si nous ne pouvons pas contrôler la hausse de la température mondiale à plus de 2°C, les impacts sur le bien-être humain et sur la santé mentale pourraient être catastrophiques », a déclaré l’un des auteurs au site Inverse. Les chercheurs restent néanmoins prudents et insistent sur la nécessité de confirmer ces conclusions par de nouvelles études.






20minutes.fr

Elles ont décidé de dire "stop" aux protections hygiéniques. Sur les forums, en vidéo ou sur leur blog, de nombreuses femmes affirment pratiquer le flux instinctif libre, une technique qui permet de contrôler son flux menstruel afin de se passer de tampons, serviettes, cups, etc. Une liberté qu'elles ne sont pas prêtes de sacrifier.


Flux instinctif libre : mais comment font les femmes qui choisissent de vivre leurs règles sans protection hygiénique ?
Elles sont de plus en plus à expérimenter le "free flow". Il ne s’agit pas d’un nouveau style musical mais d’un terme anglophone qui signifie "flux instinctif libre". Autrement dit, les règles sans protection.

A cette évocation, vous repensez peut-être avec une pointe de dégoût à cette sportive qui avait couru en 2015 le marathon de Londres avec un legging taché de son sang menstruel - elle voulait ainsi briser un "tabou" -. En réalité, il ne s’agit pas du tout de laisser libre cours à ses règles, mais au contraire de les contrôler instinctivement et, in fine, ne plus avoir besoin de porter de protection.

Sur la Toile, de nombreuses femmes font ainsi part de leurs expériences sur des blogs ou au travers de vidéos. "Je n’osais pas vraiment me lancer parce que j’avais peur que ne pas y arriver ou que ce soit les chutes du Niagara version gore", se souvient Claire, qui tient un site et une chaîne YouTube consacrés au bien-être.

Aujourd’hui pourtant, cette jeune femme pratique cette méthode depuis plus de huit mois. Après quelques ratés, elle dit avoir appris à prendre conscience de ce qu'il se passe en elle afin que tout se déroule au mieux. "J’ai juste à écouter mon corps et quand il me dit ‘va aux toilettes’, je vais aux toilettes et il n’y a pas de souci".

A force de pratiquer, les passages aux toilettes seraient de moins en moins fréquents puisque beaucoup d'entre eux seraient en fait dus à la peur de manquer le coche. "Plusieurs cycles sont quand même nécessaires pour bien interpréter les signaux de ton corps. La première fois, j’allais aux toilettes toutes les cinq minutes parce que j’avais l’impression que ça coulait toutes les cinq minutes. Alors que non, pas du tout", explique Claire.

Il est tout de même important de préciser que cette adepte du flux instinctif travaille chez elle, ce qui permet de se rendre aux toilettes à l’envie, sans devoir affronter le regard perplexe des collègues devant des allers-retours récurrents. "Quand je sais que je vais m’absenter plus d’une heure et que je n’aurai pas forcément accès aux toilettes, je ressors ma cup menstruelle ou une petite serviette lavable. Parce que je sais qu’au bout d’une heure il y aura potentiellement des fuites", précise-t-elle.

Un contrôle grâce au périnée

Au-delà de cette conscience de leur corps que peuvent acquérir ces femmes, tout est aussi question, selon elles, de périnée. Lætitia, une autre youtubeuse, explique ainsi avoir la sensation de s'être habituée à retenir son flux menstruel. "Au début je devais faire un petit effort pour retenir mon sang et maintenant mon périnée arrive à le contenir tout seul jusqu’à ce que j’aille aux toilettes", se satisfait-elle.

Des capacités similaires sont décrites par la blogueuse Natasha. "Quand je ne peux pas aller aux toilettes dans la minute où j’en ressens le besoin, je peux simplement retenir le sang, de la même manière qu’on peut retenir son urine. Cela me permet de tenir quelques minutes supplémentaires, voire bien plus. Il m’est arrivé d’avoir besoin d’aller aux toilettes alors que j’étais en train de faire des courses par exemple et j’ai alors pu me retenir plus d’une demi-heure sans difficulté", raconte-t-elle, en précisant cependant que le but du free flow n'est absolument pas "de retenir son sang le plus longtemps possible".

Une pratique accessible à toutes ?

Si la pratique du flux instinctif libre donne à réfléchir sur notre dépendance aux protections périodiques classiques, accusées d'être toxique pour l'organisme en plus d'être polluantes, et que beaucoup de ses adeptes affirment que cela a changé leur vie, elle n'est cependant pas accessible à toutes.

Les premiers essais demandent tout d'abord du temps et nécessitent de rester chez soi pour éviter les petits (ou gros) accidents de débutante. Ensuite, même si certaines femmes parviennent à se "retenir" quelques minutes, la technique semble peu adaptée aux déplacements en transports en commun ou encore aux femmes qui n'ont pas la possibilité de se rendre aussi souvent qu'elles le souhaitent aux toilettes sur leur lieu de travail.




afriquefemme.com

L'incompatibilité rhésus c'est lorsque la différence de rhésus entre l'homme et la femme empêche la survenue ou la poursuite d'une grossesse.


L'incompatibilité rhésus : source d'infertilité

Petits rappels physiologiques: 


Il existe 8 groupes sanguins:


- 
4 groupes positif: A+, B+, AB+ et O+


- 4 groupes négatifs: A-, B-, AB- et O

-.
Il faut noter qu'il existe en réalité une dizaine de sous-groupes qui ne sont recherchés que dans le cadre d'une suspicion d'incompatibilité rhésus.


2. Le positif ou le négatif dépend d'un facteur situé à la surface des globules rouge appelé: facteur rhésus.


3. Être rhésus positif signifie que ce facteur est présent à la surface des globules rouges.


4. Être rhésus négatif signifie donc que l'on a pas de facteur rhésus à la surface des globules rouges.


5. Le sang de la mère et le sang du fœtus ne se mélangent pas: les échanges se font au niveau du placenta.


6. Les anticorps maternels, sortes de policiers du corps, passent chez le bébé à travers le placenta.


Comment se produit une immunisation rhésus?


Lorsqu'une femme est de rhésus négatif ( A-, B-, AB- ou O-) et que son conjoint est du rhésus positif, en cas de grossesse, son enfant peut être du rhésus positif comme son père.
Dans ce cas, au moment de l'accouchement, avec le détachement du placenta ( qui contient le sang du bébé), le sang de l'enfant peut toucher celui de la maman.
 Ainsi, ce sang rhésus positif, sera considéré par le sang maternel comme un intrus car le sang maternel ne reconnaît pas le facteur rhésus. Le sang de la mère va ainsi créer des anticorps anti-rhésus.
 Ces anticorps vont rester dans le sang maternel, et lors de la prochaine grossesse, si le fœtus est du rhésus positif, vont l'attaquer très tôt ce qui peut créer un avortement, avortement qui peut se répéter.
 On appelle cela l'immunisation rhésus.
 Cela ne de produit que si la femme est de rhésus négatif et son conjoint du rhésus positif.
Si la femme est rhésus positif et son conjoint rhésus négatif, il n'y a pas de risque. 
Si les deux sont du rhésus négatif ou si tous les deux sont du rhésus positif, il n'y pas de risque non plus.
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Comment éviter l'immunisation rhésus?


Pour toute femme rhésus négatif, après l'accouchement, il faut analyser le sang du bébé pour déterminer le groupe sanguin-rhésus. Si le bébé est du rhésus positif, la maman doit recevoir, dans les 72 h de préférence, une piqûre appelée sérum anti-D qui permet de détruire d'éventuels anticorps qu'elle aurait créée.
 S'il s'agit d'un avortement, puisque on ne peut pas savoir qu'elle aurait été le rhésus du bébé qui allait naître, l'administration du sérum anti-D doit être systématique.
 Il existe aussi un test simple appelé RAI (recherche d'agglutines irrégulières) qui permet de savoir si la femme a développé des anticorps anti-rhésus.
La méconnaissance du groupe sanguin-rhésus peut être la cause d'avortement à répétition alors que cette analyse fait partie du minimum indispensable du bilan de grossesse.





afriquefemme.com
Montée de lait douloureuse : comment faire ?
Avoir une montée de lait douloureuse est courant, bien que la gêne soit assez minime chez certaines mamans. La durée de la montée de lait varie d’une femme à l’autre. Il est possible de soulager la douleur grâce à quelques astuces.

Montée de lait douloureuse : allaitez souvent bébé
La montée de lait se manifeste généralement 2 à 5 jours après l’accouchement. Ce phénomène physiologique normal permet de débuter l’allaitement maternel. Problème : cette production intense de lait entraîne souvent, des symptômes désagréables. Les seins sont lourds, tendus, chauds et très sensibles. Face à cette montée de lait douloureuse, le plus simple est de donner le sein à bébé aussitôt et aussi souvent que possible. L’allaitement maternel va désengorger les seins et réguler naturellement la production de lait.

Autres astuces contre la montée de lait douloureuse
Bien souvent, la durée de la montée de lait douloureuse est de 48 à 72 heures. Mais, il arrive que les symptômes durent une semaine, voire un peu plus. Si vous ne pouvez pas allaiter bébé ou si l’allaitement ne suffit pas à soulager la douleur, n’hésitez pas à tirer un peu de votre lait pour vous soulager.

Vous pouvez utiliser un tire-lait, mais masser doucement vos seins sous une douche chaude peut suffire à éjecter l’excédent de lait. Pour calmer la douleur, vous pouvez aussi, appliquer des compresses d’eau chaude ou du froid (exemple : glaçons enveloppés dans un linge) sur votre poitrine. Enfin, face à une montée de lait très douloureuse, votre médecin peut vous prescrire des anti-inflammatoires.

afriquefemme.com

La pollution de l’air est mauvaise pour la santé, elle affecte nos poumons, notre gorge et notre cœur. Voici qu’une nouvelle étude, publiée lundi 27 août et menée en Chine sur 20 000 individus, démontre qu’elle serait également nocive pour notre cerveau.


La pollution réduit le niveau d’intelligence mondial, selon une nouvelle étude
On pourrait dire que la pollution rend bête selon cette étude, publiée lundi 27 Août sur la revue américaine Proceedings of the National Academy of Sciences. Menée en Chine sur 20 000 individus, entre 2010 et 2014 par des chercheurs américains et chinois, elle rapporte que la pollution de l’air entraînerait une « réduction considérable de l’intelligence ».

Selon les scientifiques la pollution provoquerait du stress oxydatif, des inflammations du cerveau et une dégénérescence des neurones. L’un des chercheurs chinois à l’origine de l’étude assure au passage que l’air pollué que l’on respire ne serait pas simplement un élément parmi d’autres pour expliquer la baisse de l’intelligence, mais bien la cause principale.

D’autres études avaient déjà lié la pollution à la baisse de l’intelligence

Ce n’est pas la première étude à faire ce lien. En 2015, des chercheurs américains de l’Université Columbia étaient parvenus aux mêmes conclusions. Leur étude, portant sur des enfants et des femmes enceintes, assurait que l’exposition à la pollution entraînait une modification de la structure cérébrale et des problèmes cognitifs et comportementaux.

Lors de sa parution, cette étude n’avait eu qu’un très faible écho en Chine. Mais cette étude-ci, est menée conjointement par la Chine et les États-Unis.

Pékin veut s’attaquer à la pollution, mais n’a pas commenté l’étude

La Chine prend donc davantage conscience du danger. Cela reste un pays très pollué, mais Pékin veut changer les choses. Il y a cinq ans, le gouvernement a lancé ce qu’il appelle « une guerre contre la pollution » et de mesures fortes ont été mises en place pour améliorer la qualité de l’air dans le pays pendant l’hiver dernier. Par exemple, 28 grandes villes du nord de la Chine ont reçu l’interdiction de brûler du charbon, des usines polluantes ont également été fermées et des chantiers autour de la capitale ont été mis à l’arrêt. Des mesures qui se sont montrées efficaces : dans le nord de la Chine, le taux de particules fines dans l’air a diminué cet hiver.

Les autorités chinoises n’ont absolument pas relayé les conclusions de cette étude pour l’instant. Aucune ligne dans la presse chinoise et très peu de commentaires sur les réseaux sociaux. Les rares internautes qui sont au courant de ce rapport n’y croient pas du tout et l’un d’eux écrit même « Au moins en Chine, les personnes stupides auront désormais une excuse pour justifier leur bêtise ! »

rfi.fr
Beaucoup d’entre nous ont de la difficulté à dormir, qu’il s’agisse de difficultés à s’endormir ou de se réveiller au milieu de la nuit. Plus vous souffrez d’un ou plusieurs de ces symptômes, plus vous commencez à définir une nouvelle “norme” pour vous-même et oubliez à quoi ressemble un sommeil sain. Du moins, c’est ce que j’ai vécu.

Même si je n’ai pas de difficulté à m’endormir, de temps en temps, je me réveille au milieu de la nuit à la même heure, et je n’ai pas de problème à me rendormir. À ma grande surprise, il y a une explication parfaitement logique pour expliquer pourquoi cela se produit et comment je peux surmonter ce problème.

La solution se trouve au niveau de votre “horloge biologique”. C’est déjà arrivé à tous. L’insomnie qui réveille au milieu de la nuit et puis impossible de se rendormir. Pourtant, le sommeil est un processus fondamental pour le corps humain. C’est durant la nuit que les cellules se régénèrent.

En effet, nous dormons environ 1/3 de notre vie. Le manque de sommeil est donc un vrai problème car en plus de nous rendre irritable, cela peu engendrer des problèmes de santé. Il se trouve qu’une théorie explique que l’heure de l’insomnie correspond à un signal de notre corps. Si l’on se réveille entre 21h et 23h, c’est sûrement lié à un problème à la thyroïde. Car dans les premiers temps du sommeil, le système endocrinien relâche des hormones. Entre 23h et 1h du matin, cela correspond à un problème au niveau de la vésicule biliaire qui est irritée.

Entre 1h et 3h du matin, le foie peut être en cause. A ce moment, le foie se régénère et élimine les toxines. Entre 3h et 5h du matin, les poumons sont en pleine activité car ils envoient une grande quantité d’oxygène pour alimenter le muscle. Entre 5h et 7h du matin, le gros intestin est en cause puisqu’il entre dans sa fonction de nettoyage du corps. Maintenant, vous savez qu’en fonction de l’heure de votre insomnie, cela a peut-être quelque chose à voir avec un dysfonctionnement de votre corps.

Pour bien dormir, il faut aussi avoir les conditions nécessaires : chambre dans l’obscurité, un bon matelas, une chambre pas surchauffée. Bien entendu, si vous vous réveillez une fois à ces heures-ci, cela ne veut pas forcément dire quelque chose mais si cela se répète trop souvent, pensez à aller consulter un médecin car votre corps est certainement en train de vous envoyer des signaux !




BuzzSénégal

Dès qu’il commence à faire chaud, le premier réflexe, que nous avons, c’est de boire de l’eau sortie d’un réfrigérateur, ou contenant des glaçons. Cette habitude peut avoir des effets néfastes sur notre état de santé. Voici quelques raisons pour limiter la consommation de l’eau réfrigérée.


Santé: voici pourquoi boire de l’eau glacée est dangereux

1-Elle ralentit la digestion
Boire de l’eau glacée entrave le processus de digestion des aliments, car elle provoque le rétrécissement de vos vaisseaux sanguins. Cela peut ralentir le processus de digestion, et quand la nourriture n’est pas digérée correctement, les nutriments sont perdus, ou non absorbés par le corps. Cela peut causer de nombreux ennuis de santé.

2-Elle peut causer des maux de gorge
Boire de l’eau glacée peut causer l’agression de la muqueuse respiratoire, qui est une couche protectrice des voies respiratoires. Lorsque cette couche est alourdie, les voies respiratoires sont exposées, et deviennent fragiles à diverses infections. Ainsi, les risques d’attraper des maux de gorge sont plus élevées.

3-Elle cause la pénurie de nutriments
Boire de l’eau glacée peut perturber le fonctionnement du système immunitaire (correspond à l’ensemble des mécanismes de défenses de l’organisme), et rendre l’organisme plus sensible à des maladies comme la grippe, le rhume, et autres infections.

4-Après le sport
Dans le cas d’une personne qui revient du sport, et dont l’organisme a besoin de réhydratation imminente, il serait inadéquat de boire de l’eau glacée. Ce serait imposer un travail supplémentaire à son organisme. Certes, le corps manifeste un besoin en eau, mais il s’agit de l’eau plate. Le bien être que vous ressentez en buvant de l’eau réfrigérée, n’est, en fait, qu’une apparence.

Il est également conseillé de ne pas prendre de médicaments avec de l'eau glacée. 




Dakar92.com

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