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Santé

L'idée de faire l'amour alors que vous attendez un enfant, peut sembler quelque peu intimidante, voire effrayante.


Faire l'amour quand on est enceinte, est-il sans danger ?

Quand vous êtes enceinte, le sexe n'est peut-être pas votre préoccupation principale – encore que cela dépende de l'effet de vos hormones sur votre désir sexuel. Avec tous ces bouleversements qui se produisent dans votre corps et toutes les émotions par lesquelles vous passez, vous vous demandez peut-être si faire l'amour est judicieux ou si c'est sans danger pour le ou les bébés qui grandissent en vous.

Nous avons parlé à deux spécialistes américains pour en savoir plus : la Dr Mary Jane Minkin, gynécologue-obstétricienne et professeure de clinique en obstétrique, gynécologie et sciences reproductives à la faculté de médecine de Yale et la Dr Christine Proudfit , spécialiste en médecine maternelle et fœtale dans le service de gynécologie-obstétrique au centre Langone Health de l'université de New York.
Tout d'abord, faire l'amour est sans danger pour la plupart des femmes, à tout moment de leur grossesse.
 

«Il est hautement improbable que des relations sexuelles pendant la grossesse entraînent une fausse couche – dans la plupart des cas, faire l'amour n'aura aucune conséquence sur la grossesse d'un point de vue sanitaire, explique la Dr Minikin à BuzzFeed Health. Si vous voulez faire l'amour et si vous avez le feu vert de votre médecin, ne vous gênez pas ! Cela peut être un excellent moyen de rapprocher les partenaires d'un couple et de conserver une certaine intimité en attendant l'arrivée du bébé», poursuit-elle.

«Cela ne pose en général pas de problème non plus d'avoir des relations sexuelles au cours d'une grossesse gémellaire ou multiple, à moins qu'il n'y ait des complications ou que votre médecin ne vous conseille d'éviter d'en avoir», développe la Dr Proudfit. Et si vous avez le moindre symptôme inédit, une douleur, par exemple, des sécrétions anormales, des saignements ou des contractions après l'amour, vous devez toujours en parler à votre médecin. Il vaut mieux être prudent.

 

Et non, vous ne risquez pas de heurter la tête du bébé ou de le traumatiser lors de vos va-et-vient.

« Il n'y a aucun risque que vous touchiez le bébé ni que vous heurtiez sa tête – il est possible que vous touchiez le col de l'utérus, mais ça ne pose pas de problème s'il n'est pas trop court ou dilaté », ajoute le Dr Minkin. Lorsque le col de l'utérus est épais et en bonne santé, il fait office de barrière de protection de l'utérus et empêche tout élément de s'approcher du bébé. Il est scellé par le bouchon muqueux qui empêche les microbes et autres particules de pénétrer. Outre le col de l'utérus, le sac amniotique entoure le bébé tel un «coussin d'eau», le protégeant ainsi de tout danger, précise la Dr Minkin.OK, mais le bébé sent-il quelque chose ? Sera-t-il en mesure de sentir les va-et-vient et cela peut-il constituer un traumatisme ? «Le bébé est dans l'eau et flotte comme dans une petit bassin, il va donc rebondir ici et là confortablement – sans se préoccuper de rien», poursuit la Dr Minkin. «La taille du pénis n'a également aucune importance, affirme la Dr Proudfit, même si celui de votre partenaire et plus grand que la moyenne. Il en va de même pour les godemichés et autres jouets intimes (pour peu qu'ils ne soient pas surdimensionnés), dans la mesure où, pour de nombreux couples, pénétration ne va pas de pair avec pénis.»
 
Tim Hale / Getty Images / Via gettyimages.com

« Il n'y a aucun risque que vous touchiez le bébé ni que vous heurtiez sa tête – il est possibleque vous touchiez le col de l'utérus, mais ça ne pose pas de problème s'il n'est pas trop court ou dilaté », ajoute le Dr Minkin. Lorsque le col de l'utérus est épais et en bonne santé, il fait office de barrière de protection de l'utérus et empêche tout élément de s'approcher du bébé. Il est scellé par le bouchon muqueux qui empêche les microbes et autres particules de pénétrer. Outre le col de l'utérus, le sac amniotique entoure le bébé tel un «coussin d'eau», le protégeant ainsi de tout danger, précise la Dr Minkin.

OK, mais le bébé sent-il quelque chose ? Sera-t-il en mesure de sentir les va-et-vient et cela peut-il constituer un traumatisme ? «Le bébé est dans l'eau et flotte comme dans une petit bassin, il va donc rebondir ici et là confortablement – sans se préoccuper de rien», poursuit la Dr Minkin. «La taille du pénis n'a également aucune importance, affirme la Dr Proudfit, même si celui de votre partenaire et plus grand que la moyenne. Il en va de même pour les godemichés et autres jouets intimes (pour peu qu'ils ne soient pas surdimensionnés), dans la mesure où, pour de nombreux couples, pénétration ne va pas de pair avec pénis.»

 

Certaines pathologies rendent cependant le sexe dangereux pendant la grossesse.

Si vous souffrez de l'une des pathologies suivantes ou si vous en avez souffert par le passé, il se peut que votre médecin vous demande d'éviter de faire l'amour, pour votre sécurité et celle de votre bébé.*Le placenta prævia : «Dans ce cas-là, le placenta est trop bas et se retrouve au-dessus du col de l'utérus au lieu de se situer à l'arrière du bébé, dans la partie supérieure de l'utérus», déclare la Dr Minkin. Il peut recouvrir le col de l'utérus de façon totale ou marginale et est souvent la cause de saignements. «Il faut éviter la pénétration parce que si vous heurtez le col de l'utérus trop fort, cela peut endommager le placenta et entraîner des saignements plus abondants», poursuit la Dr Minkin. Les médecins surveillent ces patientes au moyen d'ultrasons afin de déterminer si le placenta est remonté (ce qui arrive souvent) et s'il est de nouveau sans danger d'avoir des relations sexuelles. *La béance du col de l'utérus : Cela signifie que le col a déjà commencé à se dilater ou qu'il s'est raccourci trop tôt. «Dans ce cas-là, il faut éviter de faire l'amour car cela peut aggraver l'étirement ou l'ouverture du col de l'utérus et constituer un risque d'accouchement prématuré», explique la Dr Minkin. D'après la Dr Proudfit, la pénétration peut entraîner un traumatisme ou favoriser une infection, elle peut aussi faire remonter des bactéries dans le liquide entourant le bébé via le col de l'utérus.*Vasa prævia : « Il s'agit d'une pathologie rare au cours de laquelle des vaisseaux sanguins fœtaux traversent le col de l'utérus – s'ils sont heurtés lors de l'acte sexuel ou s'ils éclatent, le corps peut se vider de son sang en quelques minutes», prévient la Dr Proudfit. Il se peut que les femmes qui souffrent de cette pathologie doivent rester allongées et observer un repos complet, ou qu'elles doivent séjourner à l'hôpital jusqu'à l'accouchement.*Le risque élevé d'accouchement prématuré : Il se peut que vous deviez éviter de faire l'amour en cas de contractions à un stade peu avancé de votre grossesse ou si vous avez des antécédents en matière d'accouchement prématuré. «Dans ces cas-là, du fait de la pénétration, le col de l'utérus peut se retrouver heurté ou stimulé et il faut éviter tout ce qui est susceptible d'augmenter le risque de contractions», précise la Dr Minkin. Les femmes dont le risque d'accouchement prématuré est élevé doivent se montrer encore plus prudentes. *La perte de liquide amniotique : Si la poche des eaux commence à se rompre trop tôt, il faut absolument éviter toute relation sexuelle car cela peut favoriser la prolifération de microbes ou entraîner une infection chez le bébé dans la mesure où le sac amniotique n'est plus étanche, relève la Dr Proudfit. Une autre pathologie qui est susceptible de nécessiter l'hospitalisation de la femme enceinte ou le déclenchement de son accouchement si sa grossesse est suffisamment avancée.
 
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Si vous souffrez de l'une des pathologies suivantes ou si vous en avez souffert par le passé, il se peut que votre médecin vous demande d'éviter de faire l'amour, pour votre sécurité et celle de votre bébé.

*Le placenta prævia : «Dans ce cas-là, le placenta est trop bas et se retrouve au-dessus du col de l'utérus au lieu de se situer à l'arrière du bébé, dans la partie supérieure de l'utérus», déclare la Dr Minkin. Il peut recouvrir le col de l'utérus de façon totale ou marginale et est souvent la cause de saignements. «Il faut éviter la pénétration parce que si vous heurtez le col de l'utérus trop fort, cela peut endommager le placenta et entraîner des saignements plus abondants», poursuit la Dr Minkin. Les médecins surveillent ces patientes au moyen d'ultrasons afin de déterminer si le placenta est remonté (ce qui arrive souvent) et s'il est de nouveau sans danger d'avoir des relations sexuelles.

*La béance du col de l'utérus : Cela signifie que le col a déjà commencé à se dilater ou qu'il s'est raccourci trop tôt. «Dans ce cas-là, il faut éviter de faire l'amour car cela peut aggraver l'étirement ou l'ouverture du col de l'utérus et constituer un risque d'accouchement prématuré», explique la Dr Minkin. D'après la Dr Proudfit, la pénétration peut entraîner un traumatisme ou favoriser une infection, elle peut aussi faire remonter des bactéries dans le liquide entourant le bébé via le col de l'utérus.

*Vasa prævia : « Il s'agit d'une pathologie rare au cours de laquelle des vaisseaux sanguins fœtaux traversent le col de l'utérus – s'ils sont heurtés lors de l'acte sexuel ou s'ils éclatent, le corps peut se vider de son sang en quelques minutes», prévient la Dr Proudfit. Il se peut que les femmes qui souffrent de cette pathologie doivent rester allongées et observer un repos complet, ou qu'elles doivent séjourner à l'hôpital jusqu'à l'accouchement.

*Le risque élevé d'accouchement prématuré : Il se peut que vous deviez éviter de faire l'amour en cas de contractions à un stade peu avancé de votre grossesse ou si vous avez des antécédents en matière d'accouchement prématuré. «Dans ces cas-là, du fait de la pénétration, le col de l'utérus peut se retrouver heurté ou stimulé et il faut éviter tout ce qui est susceptible d'augmenter le risque de contractions», précise la Dr Minkin. Les femmes dont le risque d'accouchement prématuré est élevé doivent se montrer encore plus prudentes.

*La perte de liquide amniotique : Si la poche des eaux commence à se rompre trop tôt, il faut absolument éviter toute relation sexuelle car cela peut favoriser la prolifération de microbes ou entraîner une infection chez le bébé dans la mesure où le sac amniotique n'est plus étanche, relève la Dr Proudfit. Une autre pathologie qui est susceptible de nécessiter l'hospitalisation de la femme enceinte ou le déclenchement de son accouchement si sa grossesse est suffisamment avancée.

 

Dans ces cas-là, il se peut que les médecins recommandent le «repos pelvien», c'est-à-dire l'absence absolue de pénétration vaginale.

«Lorsqu'on parle d'abstinence sexuelle ou de repos pelvien, cela signifie que le vagin ne doit absolument pas être pénétré par quoi que ce soit – donc, pas de pénis, ni de vibromasseur, ni de sex-toy, parce que le risque est trop grand, détaille la Dr Proudfit. Une stimulation clitoridienne externe est parfois autorisée, poursuit-elle, mais cela dépend de la raison pour laquelle on vous mise en repos pelvien ou de la gravité de la pathologie sous-jacente. Parlez-en donc toujours à votre médecin au préalable.» Pour certains types de grossesses à risque, il se peut que la femme doive rester allongée à l'hôpital sous surveillance, aussi la pénétration est-elle évidemment absolument proscrite dans de tels cas.
 
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«Lorsqu'on parle d'abstinence sexuelle ou de repos pelvien, cela signifie que le vagin ne doit absolument pas être pénétré par quoi que ce soit – donc, pas de pénis, ni de vibromasseur, ni de sex-toy, parce que le risque est trop grand, détaille la Dr Proudfit. Une stimulation clitoridienne externe est parfois autorisée, poursuit-elle, mais cela dépend de la raison pour laquelle on vous mise en repos pelvien ou de la gravité de la pathologie sous-jacente. Parlez-en donc toujours à votre médecin au préalable.» Pour certains types de grossesses à risque, il se peut que la femme doive rester allongée à l'hôpital sous surveillance, aussi la pénétration est-elle évidemment absolument proscrite dans de tels cas.

 

Il n'y a aucune preuve tangible indiquant qu'un orgasme est susceptible de provoquer un accouchement prématuré (ou de déclencher le travail pour un accouchement normal).

«Les orgasmes peuvent faire se contracter l'utérus, mais il ne s'agit pas là de contractions continues comme celles durant l'accouchement, et elles disparaîtront. Ce n'est pas un problème pour la plupart des femmes», explique la Dr Minkin. Les orgasmes sont donc sans danger, même si cela vous fait ressentir des trucs bizarres à l'utérus. Les chercheurs pensaient auparavant que les accouchements précoces pouvaient être déclenchés par les contractions provoquées par les prostaglandines du sperme ou les prostaglandines endogènes relâchées par la stimulation du col de l'utérus, explique la Dr Proudfit, mais il n'y a pas de données suffisantes pour établir que les rapports sexuels peuvent entraîner un accouchement précoce.

Cela dit, votre médecin vous dira peut-être d'éviter les orgasmes si vous avez un risque élevé d'accouchement précoce, en raison du risque théorique , déclare-t-elle. «Nous ne comprenons pas complètement comment se déclenchent les accouchements précoces, mais les femmes ayant un risque élevé ne devraient rien faire qui puisse y contribuer», ajoute-t-elle. «Il n'y a pas non plus de preuve du fait qu'un rapport sexuel peu de temps avant le terme pourrait déclencher le travail, mais il n'est pas dangereux d'essayer s'il n'y a pas de risques», explique la Dr. Minkin.

 

La plupart des positions sexuelles sont sans danger, il s'agit donc davantage d'une question de confort.

Techniquement, il n'existe pas de positions qui soient moins sures pour vous ou le bébé, mais certaines sont plus désagréables que d'autres. «Les positions que vous appréciez habituellement peuvent ne pas être agréables durant la grossesse, car votre ventre peut vous gêner, et l'on sait que la fréquence des rapports sexuels baisse au cours du troisième trimestre à cause de difficultés logistiques», explique la Dr Minkin.

Le missionnaire a tendance à être la position la plus difficile pour les couples qui attendent un bébé, déclare la Dr Proudfit, et les positions où la pénétration vient de derrière sont généralement plus faciles. «Une position sur le côté ou en levrette peut être mieux indiquée, car votre ventre ne gênera pas», déclare la Dr Minkin. Les experts suggèrent également d'utiliser des oreillers pour maintenir le pelvis ou soutenir le ventre, pour que le rapport sexuel soit plus sympa. N'ayez pas peur d'être créatifs !

 

Et un rapport oral ou anal est possible, mais il faut faire un peu plus attention que d'habitude.

«Réaliser un rapport oral ne pose pas de problème, et recevoir un rapport oral est sans danger dès lors qu'il n'y a pas de risque élevé d'accouchement précoce et que votre docteur ne vous a pas conseillé d'éviter les orgasmes», explique la Dr Minkin. Cependant, si la femme enceinte reçoit un rapport sexuel oral, son ou sa partenaire doit éviter de souffler de l'air directement dans le vagin. Cela pourrait provoquer une complication rare mais potentiellement mortelle, l'embolie veineuse gazeuse .

Pour ce qui est de la sodomie, l'important, c'est vraiment le confort. «De nombreuses femmes enceintes ont des hémorroïdes, et un rapport anal pourrait donc provoquer des douleurs ou des saignements», explique la Dr Minkin. Et, si vous souhaitez pratiquer la sodomie, évitez de repasser ensuite directement à une pénétration vaginale. «Il faut éviter d'introduire des bactéries du rectum au vagin, car les conséquences d'une infection sont pires pour une femme enceinte», explique la Dr Minkin. Si vous avez l'un des problèmes mentionnés plus haut, demandez d'abord conseil à votre médecin à propos de la sodomie, qui est parfois trop risquée.

 

Qu'en est-il des préservatifs ? Eh bien, vous en aurez encore besoin dans certaines situations.

«Si la relation n'est pas mutuellement monogame (donc si la femme enceinte ou son/sa partenaire a des rapports avec d'autres partenaires), vous devez mettre un préservatif pour vous protéger contre les IST», explique la Dr Minkin. Les infections sexuellement transmissibles (IST) peuvent non seulement affecter la santé de la femme enceinte, mais également contaminer le bébé, et provoquer des problèmes. «Si vous êtes enceinte, vous devriez toujours utiliser des préservatifs si votre partenaire est séropositif et vous non, ou si votre partenaire à une poussée d'herpès et pas vous (ou que vous n'êtes pas certaine de votre statut)», explique la Dr Proudfit.Vous devez également utiliser un préservatif si votre partenaire est un homme (ou si vous avez un rapport sexuel avec un homme) qui a voyagé dans une zone touchée par le virus Zika. Cela est dû au fait que le Zika est sexuellement transmissible et qu'une infection durant la grosse peut provoquer des anomalies congénitales telles que la microcéphalie. «Le virus Zika peut subsister dans le sperme jusqu'à six mois. Si votre partenaire a séjourné dans une zone où sévit Zika, nous conseillons généralement de mettre un préservatif jusqu'à la fin de la grossesse», ajoute-t-elle.
 
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«Si la relation n'est pas mutuellement monogame (donc si la femme enceinte ou son/sa partenaire a des rapports avec d'autres partenaires), vous devez mettre un préservatif pour vous protéger contre les IST», explique la Dr Minkin. Les infections sexuellement transmissibles (IST) peuvent non seulement affecter la santé de la femme enceinte, mais également contaminer le bébé, et provoquer des problèmes. «Si vous êtes enceinte, vous devriez toujours utiliser des préservatifs si votre partenaire est séropositif et vous non, ou si votre partenaire à une poussée d'herpès et pas vous (ou que vous n'êtes pas certaine de votre statut)», explique la Dr Proudfit.

Vous devez également utiliser un préservatif si votre partenaire est un homme (ou si vous avez un rapport sexuel avec un homme) qui a voyagé dans une zone touchée par le virus Zika. Cela est dû au fait que le Zika est sexuellement transmissible  et qu'une infection durant la grosse peut provoquer des anomalies congénitales telles que la microcéphalie. «Le virus Zika peut subsister dans le sperme jusqu'à six mois. Si votre partenaire a séjourné dans une zone où sévit Zika, nous conseillons généralement de mettre un préservatif jusqu'à la fin de la grossesse», ajoute-t-elle.

 

Ceci dit, si vous ne voulez pas avoir de rapports sexuels ou que cela vous stresse, ce n'est pas un problème du tout.

«Si vous n'avez pas envie de rapports sexuels ou que cela vous gêne trop, n'en ayez pas. De nombreuses personnes ressentent cela lorsqu'elles sont enceintes», explique la Dr Minkin. Le sexe peut détendre énormément, mais il peut aussi faire le contraire.»

«Si vous avez tendance à paniquer ou que vous êtes inquiète après un rapport sexuel parce que vous avez peur d'avoir fait du mal à votre futur enfant (même si c'est généralement sans danger), peut-être que vous devriez arrêter pour éviter le stress», conseille le Dr. Proudfit.

Vous pouvez aussi tout simplement ne pas avoir envie de rapports sexuels pour une raison ou une autre ! «La grossesse peut provoquer toute une variété de changements dans les envies sexuelles, certaines personnes veulent le faire tout le temps, d'autres plus du tout, cela varie vraiment d'un individu à l'autre», ajoute-t-elle. Faites donc simplement ce qui vous semble bien pour vous et votre corps.

 

Enfin, si vous avez des doutes ou des questions, parlez-en toujours au ou à la professionnel-le de santé qui suit votre grossesse. Le sujet peut être un peu dérangeant, mais les médecins et sages-femmes sont là pour vous aider.

Vous devez vous assurer, si vous avez des rapports sexuels pendant la grossesse, que ces rapports sont sûrs, et que vous êtes aussi à l'aise et heureuse que possible, votre médecin peut beaucoup vous aider pour cela. «Certaines personnes ont tendance à hésiter et à être embarrassées pour parler de leur vie sexuelle à leur docteur-e, mais nous pouvons vous promettre que nous avons déjà tout entendu, et que nous sommes là pour vous aider», déclare la Dr Proudfit. Si vous avez un doute, demandez simplement à votre médecin ou sage-femme !
 
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Vous devez vous assurer, si vous avez des rapports sexuels pendant la grossesse, que ces rapports sont sûrs, et que vous êtes aussi à l'aise et heureuse que possible, votre médecin peut beaucoup vous aider pour cela. «Certaines personnes ont tendance à hésiter et à être embarrassées pour parler de leur vie sexuelle à leur docteur-e, mais nous pouvons vous promettre que nous avons déjà tout entendu, et que nous sommes là pour vous aider», déclare la Dr Proudfit. Si vous avez un doute, demandez simplement à votre médecin ou sage-femme !

Sexe et cannabis feraient bon ménage selon STANFORD

Les personnes ayant régulièrement fumé du cannabis feraient l’amour beaucoup plus fréquemment que ceux qui n’en consomment pas. Cette conclusion est issue d’une étude nationale menée par la prestigieuse Stanford University School of Medicine. Les informations recueillies auprès de 28.176 Américaines et 22 943 Américains ont démontré l’existence d’une corrélation entre la fréquence de consommation de cannabis et celle des actes sexuels.

L’issue de l’expérience est restée la même pour tous les participants, quelle que soit la catégorie (sexe, origine, âge, statut matrimonial) à laquelle ils appartiennent. Des facteurs comme le niveau d’étude, l’appartenance religieuse et le groupe social ont même été considérés pour aboutir à un résultat concluant.

Etude Cannabix

L’étude a été initiée par le professeur Michael Eisenberg. Il a été constaté que la moyenne des relations sexuelles chez les individus ayant consommé de la marijuana est de 20% supérieure à celle calculée chez les non-consommateurs.

Des effets sur la région associée à l’excitation sexuelle

La moyenne d’âge était de 29,9 ans chez les femmes et de 29,5 ans chez les hommes. Les responsables de l’étude ont interrogé chaque candidat sur le nombre de rapports sexuels qu’ils ont eu au cours de chaque mois passé, durant les douze mois précédents. Durant la même période, les participants ont été tenus de leur confier toute éventuelle prise de cannabis.

Les douze mois écoulés, la fréquence de rapports sexuels pour le dernier mois chez les femmes non-fumeurs était de 6. Celle des consommatrices est de 7,1. Pour les hommes ayant consommé de la marijuana, la moyenne était de 6,9 contre 5,6 chez les non-consommateurs.

Par ailleurs, d’autres recherches similaires ont été menées sur des humains et des animaux. Celles-ci ont démontré que la prise de drogue a des effets stimulants dans certaines régions cérébrales assignées à la vie et à l’excitation sexuelles.

Une baisse qualitative du sperme

Toutefois, des études antérieures ont rapporté que les hommes qui consomment du cannabis pouvaient connaître une baisse qualitative de leur sperme. Des problèmes d’érection auraient également été constatés chez les consommateurs réguliers.

Toutefois, le professeur a affirmé que «la prise fréquente de cannabis ne semble pas réduire la motivation ni la performance sexuelle. » Au contraire, elle irait de pair avec une « fréquence accrue de coïts ».

Force est de constater que la cause exacte qui explique le lien entre la consommation de cannabis et la fréquence des rapports sexuels n’a pas encore été identifiée.

Carence en vitamines : 5 symptômes visibles sur votre visage

Les yeux enflés, des fissures au coin de la bouche, la peau pâle – ce sont les signes d’une carence en vitamines qui peuvent apparaître sur votre visage. Une carence est généralement causée par une mauvaise alimentation ou le fait de ne pas suivre une alimentation équilibrée.

Cela dit, certaines personnes sont plus sujettes à tomber malade ou à développer une déficience que d’autres, c’est pourquoi il est possible que ces sept symptômes aient une cause différente.

1-Gencives sensibles

Si, récemment, vos gencives ont saigné ou que vous sentez que vos dents se déchaussent, vous pourriez souffrir d’une carence en vitamine C. En plus de ces symptômes, il y a un risque accru d’infection et de mauvaise cicatrisation.

 

2- Peau pâle

Si vous n’avez pas la peau naturellement pâle, cela peut être le signe que vous n’obtenez pas assez de vitamine B12. Selon la gravité de votre cas, cela peut entraîner des symptômes graves tels que la démence, la paralysie ou des dommages au système nerveux. Si vous souffrez d’épuisement, d’infections ou de sautes d’humeur lorsque votre peau est pâle, il est plus que probable qu’un manque de vitamines en soit la cause.

3- Les cheveux secs

Sécher, lisser et teindre régulièrement vos cheveux peut les dessécher. Si vous évitez cela et que vous faites régulièrement des traitements avec les bons produits, le problème devrait rapidement disparaître. Les ongles cassants sont un autre signe de cette carence.

4-Fissures aux coins de la bouche

Eh bien si ce symptôme se présente, vous souffrez probablement d’une carence en fer.

 

5-Paupières gonflées

Il n’est pas inhabituel d’avoir les paupières enflées de temps en temps. C’est le cas si vous venez de pleurer, par exemple. Néanmoins, si vous trouvez qu’elles sont enflées en permanence, vous pourriez souffrir d’une carence en iode.

Votre visage en dit long sur ce qui manque à votre corps. Mais avant de prendre un quelconque complément alimentaire, n’oubliez pas de consulter votre médecin.

Emeraude ASSAH

Coût de l'hospitalisation, allocations, vaccins, tabac et taxe soda... On fait le point sur les changements prévus dans le cadre du projet de loi de financement de la Sécurité sociale pour 2018.


France: Hospitalisation, vaccins, tabac... Qu'est-ce qui change en 2018 ?

Afin de réduire le déficit de 3 milliards d'euros, les députés ont examiné la semaine dernière le projet de loi de financement de la Sécurité sociale pour 2018, dont le texte avait été présenté fin septembre par la ministre des Solidarités et de la Santé, Agnès Buzyn. Certaines mesures devraient toutefois encore évoluer puisque plus de 1130 amendements ont été déposés. En attendant d'avoir un bilan définitif, voici les changements apportés dans le domaine de la santé.

 

L'allocation aux adultes handicapés revalorisée. Plus de 900 000 personnes seraient concernées par cette hausse d'un montant mensuel de 49 euros, qui atteindra ensuite 90 euros. Il faudra néanmoins attendre un an avant la première augmentation en novembre 2018, tandis que la seconde sera effectuée en novembre 2019. L'objectif étant d'atteindre les 900 euros promis pendant la campagne électorale d'Emmanuel Macron. 

 

L'augmentation du coût de l'hospitalisation . Chaque année en France, près de 12 millions de personnes sont hospitalisées. En 2018, le forfait hospitalier devrait augmenter de deux euros par jour. Excepté pour les femmes en fin de grossesse, les accidents de travail et autres cas particuliers, les frais passeront ainsi de 18 à 20 euros. Cette hausse sera prise en charge par les complémentaires santé, mais 3 millions de personnes ne possèdent pas de mutuelle.

11 vaccins obligatoires pour les enfants. Les bébés nés à partir de janvier 2018 n'auront plus trois vaccins obligatoires comme c'était le cas jusqu'à présent avec la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite. La ministre de la Santé Agnès Buzyn a annoncé que 11 vaccins seraient désormais obligatoires .

Il s'agit des vaccins contre l'haemophilius influenzae B, la coqueluche, l'hépatite B, la rougeole, les orei
llons, la rubéole, le méningocoque C et le pneumocoque. Les injections seront intégralement remboursées par la Sécurité sociale. Par ailleurs, même si les parents qui refusent de soumettre leur enfant aux vaccins ne seront pas sanctionnés, ils se verront néanmoins refuser l'inscription dans les collectivités. 

Le paquet de cigarettes à 10 euros. L'augmentation du tabac est bien au programme du projet de loi de financement de la Sécurité sociale. Le prix du paquet de cigarettes devrait augmenter progressivement pour passer de 7 euros à 10 euros (en 2020). Par conséquent, le prix sera en hausse de un euro dès mars 2018, puis de 50 centimes au mois d'avril et de novembre 2019, et enfin, de 40 centimes supplémentaire en novembre 2020. 

La taxe soda modulée en fonction des boissons. Instaurée en 2013, la taxe soda a pour objectif de lutter contre l'obésité. Elle sera différente selon le taux de sucre présent dans les boissons. Par conséquent, aucune taxe ne sera appliquée pour les boissons contenant moins de 5 g de sucre pour 100g. Elle s'élèvera en revanche à 2,48 centimes par canette contenant jusqu'à 8 g de sucre, à 4,96 centimes entre 8 et 10 g, et à 7,44 centimes au-delà de 10 g. 

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Actuellement, la restauration rapide et les produits alimentaires industrialisés se font la part belle sur le marché. Pourtant, ils sont particulièrement néfastes pour la santé. En effet, certains aliments naturels offrent une longévité à toute épreuve et méritent davantage de succès durant nos repas.


Cet homme de 113 ans révèle le secret de sa vie sans maladie : 5 aliments à manger tous les jours

 

C’est ce que Bernardo LaPallo, un homme âgé de 113 ans, originaire du Brésil prouve par son âge avancé et son mode de vie. Grâce à son père qui était médecin et herboriste, Bernardo a découvert le secret d’une vie sans maladie par la nutrition . Aujourd’hui, cet homme, ayant étudié les arts culinaires à l’Université de la Sorbonne à Paris, révèle les 5 aliments à manger chaque jour pour avoir une santé de fer, découvrez-les !

Les 5 super-aliments à consommer pour être en bonne santé    

  1. Le miel

Reconnu pour ses bienfaits, le miel est un aliment de la nature riche en antioxydants permettant de lutter contre l’apparition des radicaux libres et de ralentir le vieillissement cutané. De plus, son pouvoir sucrant permet de limiter les fringales en offrant un sentiment de satiété durable. Mais c’est aussi un allié beauté que l’on peut utiliser en soin pour les cheveux et pour le visage grâce à ses vertus nourrissantes. 
   
Le miel permet également de réguler le cholestérol. En effet, lors d’une étude menée à Dubai, les scientifiques ont fait boire à un groupe de personnes 250 ml d’eau dans laquelle ils ont ajouté 75 ml de miel naturel et ce pendant deux semaines. Les résultats ont prouvé que le taux du bon cholestérol avait augmenté alors que celui du mauvais cholestérol avait baissé. 

  1. La cannelle 
 

La cannelle est l’une des épices les plus saines pour la santé car elle est riche en antioxydants luttant contre diverses maladies et en fibres alimentaires bénéfiques au transit intestinal. Elle permet aussi de réguler la glycémie, le cholestérol et traite les inflammations et les infections. Toutefois, la cannelle est contre-indiquée pour les femmes enceintes et les jeunes enfants. Un surdosage peut également provoquer des effets secondaires, c’est pourquoi il est recommandé de prendre seulement 2 cuillères à café par jour. 

  1. L’ail

Célèbre pour ses vertus médicinales, l’ail  a une forte teneur en allicine. Cette substance est à l’origine de l’odeur désagréable de l’ail. Pourtant, cet aliment est utilisé depuis des siècles pour réduire la tension artérielle et le cholestérol. C’est un anti-cancéreux, antifongique et antibactérien efficace. De plus, il prévient les maladies cardiaques et l’artériosclérose.  

 
  1. Le chocolat  

Lorsqu’il est consommé avec modération, le chocolat noir à 70% de cacao est bénéfique pour la santé. Source d’antioxydants, de fibres, et de magnésium, le chocolat noir améliore l’humeur, favorise la digestion et le transit intestinal. De plus, il diminue le cholestérol, la tension artérielle, réduit le stress et prévient des maladies comme le cancer. 

  1. L’huile d’olive
 L’huile de l’olive est un produit particulièrement utilisé au niveau culinaire pour sa saveur mais c’est aussi un allié santé. Contenant de l’oléocanthal et des graisses saines mono-insaturées, l’huile d’olive agit comme un anti-inflammatoire, favorise la perte de poids, réduit le risque de maladies cardiaques et prévient des maladies comme Alzheimer  et le cancer.




Santé Plus

Gros ventre, seins douloureux, aménorrhée ou nausées... Quand tous les signes d'une grossesse sont là. Sauf le bébé.


Les grossesses «fantômes», un mystère médical aussi fascinant que méconnu

C'est l'un des plus grands mystères médicaux. Rare mais bien réelle, la «grossesse fantôme» (plus scientifiquement appelée pseudocyesis), est une étrange affection qui pousse certaines femmes à être convaincues qu'elles sont enceintes. À tort.

Et pourtant, ces dernières présentent tous les symptômes cliniques d'une grossesse: absence de règles, ventre gonflé, seins douloureux, nausées matinales ou encore prise de poids. À l’exception de la présence d’un fœtus.

Convaincue d'être enceinte... malgré son absence d'utérus


Pour tenter de cerner ce phénomène peu connu, Tonic  a interviewé Paul Paulman , physicien spécialisé en médecine reproductive.

Il y a maintenant plus de 25 ans, cet universitaire américain a lui-même été témoin d'un de ces cas extraordinaires de «grossesse fantôme». En 1990, une femme de 30 ans se présente dans son service, enceinte jusqu'au cou et visiblement prête à accoucher. Jusque-là, rien d'anormal. Mais c'est en procédant à une échographie de routine que le praticien tombe des nues: la patiente n'a pas d'utérus.

Cette dernière a précédemment subi une ablation de l'utérus ce qui, par définition, rend toute grossesse impossible. Consciente de cela, la jeune femme est malgré tout persuadée qu'elle attend un bébé et qu'elle est sur le point de donner naissance. 

En 2010, une américaine se présente aux urgences  d'un hôpital de Caroline du Nord, accompagnée de son mari. Sur le point d'accoucher, elle demande une césarienne. Les médecins tentent d'abord de provoquer un accouchement par voie naturelle, en vain. Ce n'est qu'une fois sur la table d'opération, au moment d'effectuer la césarienne, qu'ils découvrent avec stupéfaction qu'il n'y a aucun bébé...et qu'il n'y en a jamais eu. 

Un phénomène vieux comme le monde? 


Les cas de pseudocyesis sont rares. Il n'y en aurait eu seulement que près de  80 entre 2000 et 2014 .

Preuve qu'elle n'est pas nouvelle, cette pathologie a été théorisée en 1923 par John Mason Good: le terme découle du grec pseudēs (faux) et kúēsis (conception). Des cas de «fausses grossesses» ont même été mentionnés dans des écrits datant dès l'Antiquité... Et Hippocrate aurait lui-même, répertorié une douzaine de cas de femmes présentant ces symptômes.

Observé également chez les animaux 


Plus étonnant encore, les grossesses nerveuses sont également observables chez certains mammifères, notamment chez les chiens, les chats ou les rongeurs.

Le pseudocyesis n'est donc pas uniquement psychologique, mais bel et bien hormonal. Il est déclenché par une modification du système endocrinien, qui déclenche une sécrétion d'hormones induisant tous ces changements physiologiques. 

Des symptômes bien réels et cliniquement reconnus
 

Selon l'Encyclopedia of Mental Disorders, 50% à 75% des femmes atteintes de grossesse nerveuse ressentent même les mouvements du foetus. Certaines ont des douleurs et contractions comparables à celles d'un accouchement, et connaissent un élargissement de l'utérus.  

En 2016, les grossesses «fantômes» étaient répertoriées dans la catégorie des troubles mentaux , bien que leur origine n'ait pas encore été complètement élucidée.

Le pseudocyesis serait une équation complexe entre facteurs psychologiques (désir conscient ou non de maternité, notamment) et bouleversements hormonaux. Sans que l'on sache, pour l'instant, si le premier cause le second.

Santé: les six meilleurs sports pour prévenir les risques d’infarctus

On ne le dira jamais assez: le sport est essentiel pour maintenir notre corps en bonne santé. Un coeur sain est un bon moteur pour le corps tout entier. Voici donc six disciplines sportives pour prévenir les risques d’infarctus.

Le tennis

Santé: les six meilleurs sports pour prévenir les risques d'infarctus

Il est inclus aussi les disciplines comme le paddle, le squash, le badminton et le tennis de table. En clair les sports qui nécessitent l’utilisation d’une raquette.

L’avantage: Ces disciplines sont liées à un moindre risque de souffrir de maladies cardiovasculaires car elles réduisent la tension artérielle et améliorent la fonction du cœur. Elles sont aussi conseillées pour les personnes diabétiques et les obèses.

La randonnée

Santé: les six meilleurs sports pour prévenir les risques d'infarctus

C’est un exercice à intensité modérée qui, est conseillé chez les patients qui ont déjà souffert d’un infarctus.

Parce que la randonnée améliore la réponse du cœur et augmente les cavités de cet organe ainsi que l’arrivée de sang à chaque battement.

La natation

Santé: les six meilleurs sports pour prévenir les risques d'infarctus

C’est  l’un des sports les plus complets qui existe et qui aide énormément à améliorer la santé cardiaque. En effet, nager développe une bonne partie de la musculature et développe la coordination neuro-musculaire. Concernant les bienfaits pour le cœur, il faut souligner le contrôle de la pression artérielle. De plus, la natation augmente les dépenses énergétiques, améliore le niveau de graisses dans le sang (réduit le cholestérol).

Le ski

Santé: les six meilleurs sports pour prévenir les risques d'infarctus

Le ski de fond offre plusieurs bienfaits car il requiert de fortes dépenses énergétiques du type aérobic. La taille du cœur, la fréquence cardiaque, la tension artérielle, le flux et le volume sanguin s’améliorent notablement lorsqu’on skie.

Le cyclisme

Santé: les six meilleurs sports pour prévenir les risques d'infarctus

Pratiqué régulièrement et intensément, le cyclisme permet de mobiliser les muscles des jambes, des fesses et des hanches. De plus, il diminue aussi le risque d’une crise cardiaque, car il équilibre la pression artérielle, réduit le cholestérol et le risque de souffrir de thrombose.

L’aérobic

Santé: les six meilleurs sports pour prévenir les risques d'infarctus

La danse ou l’aérobic permettent de garder un poids sain (on peut perdre jusqu’à 260 calories en une demi-heure d’activité modérée). De plus, ce type de discipline a un aspect ludique plus qu’important et pour finir, est capable de réduire les effets nocifs du stress

 
 

Deux sœurs siamoises nées dimanche dans la bande de Gaza, doivent quitter ce territoire sous blocus israélien et égyptien pour une opération de séparation cruciale à leur survie.


MÉDECINE: Les deux sœurs doivent quitter Gaza pour survivre

«Une femme a donné naissance ce (dimanche) matin, à deux fillettes collées par le ventre et le bassin», a annoncé Allam Abou Hamda de l'hôpital Al-Chifa de Gaza. M. Abou Hamda a indiqué que les deux fillettes, qui ont des poumons et des cœurs séparés mais une seule jambe pour deux, «ne peuvent être soignées dans la bande de Gaza» et a appelé à «leur transfert à l'étranger pour être séparées». Leur état de santé est stable, selon le médecin.

Un de leurs oncles, qui a souhaité garder l'anonymat, a souhaité que les sœurs siamoises soient autorisées à quitter l'enclave palestinienne «afin de faire ce qui est nécessaire dans cette situation rare». Deux autres siamoises nées à Gaza en novembre 2016, n'avaient pas survécu.

Blocus depuis dix ans

Les deux millions d'habitants de la bande de Gaza sont soumis depuis dix ans à un rigoureux blocus d'Israël, qui justifie cette mesure par le fait d'empêcher ainsi le mouvement islamiste Hamas, au pouvoir dans l'enclave palestinienne et que l'Etat hébreu considère comme «terroriste», de mener des attaques contre le territoire israélien.

Ce blocus se double d'une fermeture d'une fermeture quasi permanente depuis 2013 par l'Egypte, de sa frontière avec la bande de Gaza. Le Caire accuse le Hamas de soutenir l'insurrection jihadiste qui ensanglante la région du Sinaï, contiguë à Gaza. Le Hamas s'est toutefois engagé à rétrocéder d'ici au 1er décembre, toutes les responsabilités dans la bande de Gaza à l'Autorité palestinienne, entité internationalement reconnue et censée préfigurer un État palestinien indépendant. Le mouvement islamiste avait évincé l'Autorité palestinienne de de Gaza en 2007, au prix d'une quasi guerre civile.

 

(L'essentiel/AFP)

Même après une batterie de tests, les médecins ne savent toujours pas ce qui a causé cet endormissement profond. Le jeune garçon est aujourd’hui totalement rétabli.


Illustration. Un enfant dormant. Shutterstock.com
Illustration. Un enfant dormant. Shutterstock.com

Les médecins peinent encore à expliquer ce qui est arrivé au jeune Wyatt. Ce petit américain de 11 ans est en effet resté endormi pendant 11 jours sans pouvoir être réveillé. Après de longs moments d’angoisses pour ses parents, le jeune homme a finalement rouvert les yeux et vit désormais comme si rien ne s’était passé.

« C’était terrifiant »

Cette incroyable histoire qui interpelle encore le corps médical a été relayée par le quotidien américain USA Today . Tout commence il y a quelques semaines lorsque Wyatt indique à ses parents qu’il ne se sent pas très bien. Ces derniers pensent que le jeune garçon subit le contrecoup du mariage auquel la famille était invitée deux jours plus tôt.

Le petit garçon est donc autorisé à retourner se coucher, mais, après s’être endormi, il devient impossible à réveiller. Sa mère raconte ces moments terriblement angoissants : « Je répétais son nom pour le réveiller, mais il se rendormait tout le temps. Quand il ouvrait les yeux, il avait l’air absent. C’était terrifiant » a-t-elle indiqué à nos confrères. Après 48 heures sans pouvoir faire émerger son fils, elle se rend donc au Norton Children’s hôpital de Louisville pour découvrir le mal qui ronge son enfant.

 
 
 

La médecine sèche

Sur place, Wyatt subira une batterie de tests pour tenter de comprendre ce qui lui arrive. Même après trois ponctions lombaires, trois IRM, cinq électroencéphalographies, des prises de sang et une angiographie, les médecins ne trouveront pas les causes de cet endormissement profond.

Après 11 jours, le corps médical décide de tester un médicament destiné aux épileptiques sur le jeune garçon. Ce dernier ouvrira les yeux et même s’il n’arrive pas à bouger ni à communiquer dans un premier temps, il finira par retrouver toutes ses capacités après 3 semaines de rééducation. Si tout semble s’être bien terminé, les médecins n’ont à ce jour aucune explication sur ce qui a bien pu se passer.

Santé: Le Kiwi, un fruit qui fait ses preuves dans la lutte contre le cancer

Le Kiwi est un fruit extrait de plusieurs lianes de type Actinidia de la famille des Actinidiaceae. Il est originaire de la Chine.

Description

La pulpe du kiwi est généralement verte, sucrée et acidulée. Elle est entourée d’une peau brune et duveteuse (poilue). A l’intérieur du fruit, on retrouve de minuscules graines noires comestibles.

Nutriments

Le kiwi contient beaucoup plus de vitamine C que l’orange. Il contient aussi de la vitamine E dans ses graines. Par ailleurs, il est riche en Provitamine A, en vitamines B1, B2, B3, B5 et B6. Sur le plan énergétique, le kiwi fournit 61 kilocalories (255 kilojoules) pour 100 grammes. Enfin, au niveau des sels minéraux, ce fruit est riche en potassium, en magnésium, en fer, en cuivre, en zincet en phosphore.

Bienfaits

Les bienfaits du kiwi se présentent à quatre niveaux qui ne sont pas négligeables du tout. Le Kiwi aide à :

 
  • Lutter contre la constipation

Pour sa richesse en fibres alimentaires, ce fruit s’avère efficace pour soulager les patients ayant des troubles de constipation.

  • Eviter les maladies cardiovasculaires

Des chercheurs ont pu observer que la consommation de 2 ou 3 kiwis par jour pendant environ 1 mois, produisait une diminution des triglycérides sanguins associés aux maladies cardiovasculaires. Aussi, le kiwi contribuerait à améliorer le profil lipidique, en équilibrant le ratio bon et mauvais cholestérol. La présence de vitamines C et E jouerait un grand rôle dans cette fonction.

 
  • Prévenir et guérir le cancer

Des études ont démontré que la consommation de kiwi permettait de réduire les risques de cancer mais encore de combattre les cellules cancéreuses.  Pour tous les nutriments qu’il contient, le kiwi fait partie des fruits ayant l’activité antioxydante la plus élevée.

  • Cicatriser très rapidement

Une étude a encore démontré que le kiwi serait très utile pour la cicatrisation des plaies. Ces propriétés antibactériennes et sa capacité à moduler l’angiogenèse, en sont la cause. Aussi, serait-il efficace dans le traitement des ulcères chroniques, à moindre coût.

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