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Santé

Cette substance blanchâtre et fertile suscite de nombreuses curiosités… et quelques mythes franchement aberrants. Avec le Pr François Desgrandchamps, urologue à l'hôpital Saint-Louis (Paris), E-Santé revient sur 8 choses à ne plus croire sur le sperme.


Le sperme est un produit de beauté miracle
En masque, en crème ou en smoothie… Les préparations miracle à base de sperme, pullulent sur le web. Certaines blogueuses n'ont pas hésité à vanter les vertus beauté de la semence masculine contre l'acné, les rides ou encore les maladies.
Soyons clairs : quelle qu'en soit la présentation, le sperme n'a aucun effet sur notre peau ou notre santé. S'il est vrai qu'on y trouve protéines, sucres et oligo-éléments, ceux-ci sont destinés aux spermatozoïdes. Difficile, donc, d'en tirer des conclusions sur son effet externe.

Une équipe de l'université de Graz (Autriche) s'y est bien essayée, constatant que la spermidine se retrouvait aussi de nombreux aliments. Mais elle a limité ses recherches aux levures, aux drosophiles et au ver.

La pratique peut, en outre, être à risque : la peau est bien protégée contre les infections sexuellement transmissibles mais ce n'est pas le cas des muqueuses – comme la bouche, les narines ou encore les yeux.

Avaler du sperme peut transmettre le Sida
Pas de mystère sur un point : les liquides biologiques transmettent les bactéries et virus à l'origine des infections sexuellement transmissibles (IST). Et les muqueuses y sont particulièrement sensibles.

Mais comme le précise le portail VIH/sida du Québec, "la bouche est un environnement hostile pour le VIH. Les muqueuses de la bouche, si elles sont saines, constituent une barrière que le virus ne peut traverser." A moins d'avoir les gencives irritées ou de petites plaies, le risque est donc mineur.

Afin de limiter le danger autant que possible, il est recommandé d'éviter les rapports oraux dans l'heure qui précède ou qui suit le brossage des dents ou après avoir mangé des aliments susceptibles d'irriter les muqueuses.

Attention, en revanche, aux autres IST pour qui la bouche est une portée d'entrée comme les autres. C'est le cas de la gonorrhée, des infections à chlamydia, de la syphilis ou encore de l'herpès. Si certaines peuvent être traitées par antibiotiques, certaines sont chroniques ou d'autres résistent avec acharnement aux médicaments. Mieux vaut donc se protéger.

Le sperme fait grossir
Vous imaginez-vous prendre un "Macho Mojito" ou un dessert à base de sperme ? C'est ce que propose l'Américain Paul Photenhauer qui s'est montré pour le moins imaginatif en publiant deux livres de recette inspirés de la semence masculine.
Une question vient – presque naturellement – à l'esprit : avaler du sperme fait-il grossir ? Que les gourmets se rassurent, ça n'est pas le cas, tant qu'il ne s'accompagne d'aucun mets plus calorique. Il ne faut compter que 15 à 30 calories par éjaculat.
La spermatophagie a inspiré de nombreuses recettes, un chef américain a même publié 2 livres sur le sujet. Mais est-ce que cela fait grossir ? 15 à 30 calories par éjaculation, donc peu de risques de grossir.
La chaleur près des testicules rend infertile
Les testicules sont placés à l'extérieur du corps pour une bonne raison : la production des spermatozoïdes est plus efficace à une température légèrement inférieure que celle du corps (37 °C environ).

Mais cela ne signifie pas pour autant que surchauffer cette zone, rend infertile. "Effectivement, la chaleur n'est pas bonne mais ce n'est pas pour autant que c'est une forme de contraception", confirme le Pr Desgrandchamps.

Selon l'urologue, cette idée tire son origine des travaux du Dr Roger Mieusset, qui officie au CHU de Toulouse (Haute-Garonne). Il est l'un des rares médecins français à pratiquer la contraception hormonale. Mais cet andrologue s'est aussi distingué par une invention : le "slip chauffant".

"Il a théorisé qu'en plaçant les testicules au chaud, grâce à un slip très serré qui retient les testicules dans le bas-ventre, les spermatozoïdes perdent de leur qualité, sont moins mobiles et présentent plus d'anomalies", explique François Desgrandchamps.

Après une popularité de courte durée, la mode est retombée comme un soufflé hors du four. Il faut dire que la méthode manquait quelque peu d'efficacité. "Des études ont montré qu'en prenant un bain à 43 °C chaque jour, les spermatozoïdes sont moins vigoureux au bout de 10 jours, se souvient l'urologue. Mais cela n'est pas suffisamment fiable pour être utilisé comme un moyen de contraception."

Se masturber souvent diminue la qualité du sperme
A en croire certains, mieux vaut économiser sa semence si l'on souhaite concevoir. Une idée reçue aussi ridicule que celle affirmant que l'onanisme rend sourd. Sur son site Internet, la Mayo Clinic (Etats-Unis) souligne que les études menées sur le sujet, livrent des résultats inégaux.

Certains travaux suggèrent qu'une abstinence de trois jours est optimale; d'autres que la fréquence de masturbation n'a pas d'effet sur la qualité du sperme. "Si on éjacule tous les jours, la quantité de spermatozoïdes restera la même, souligne le Pr Desgrandchamps. Seul le liquide qui les accompagne diminue, parce que les vésicules séminales n'ont pas le temps d'en sécréter à nouveau."

Rappelons-le, la production de gamètes ne fonctionne pas de la même façon chez l'homme et la femme. Là où ces dames ont une réserve limitée d'ovocytes, ces messieurs ne sont pas soumis aux mêmes limitations. La spermatogenèse est un processus continu, avec une moyenne de 100 millions de spermatozoïdes produits par jour.

Les adeptes du plaisir solitaire pourront même se rassurer : plusieurs études ont montré qu'éjaculer souvent, est associé à un moindre risque de cancer de la prostate !

Moins il y a de sperme, moins on est fertile
"Beaucoup de fantasmes circulent sur le sperme, et notamment sur sa quantité", sourit François Desgranchamps. Le volume de semence émis serait une preuve de virilité. En réalité, les chiffres incitent à rester modeste. "Le volume normal de sperme se situe entre 4 et 6 ml par éjaculation", chiffre l'urologue.

Si ce litrage varie en fonction de la période d'abstinence, son potentiel fertile ne change pas. La répartition reste sensiblement la même : 70 % du liquide est émis par les vésicules séminales, 20 % par la prostate. La part de spermatozoïdes est donc stable. Un homme fécond produira ainsi 80 à 100 millions de gamètes par éjaculation. En dessous de 15 millions par millilitre, des troubles de la fertilité peuvent se manifester.

Certains aliments augmentent la quantité de sperme
"Une légende veut que la bière soit un spermagogue", s'amuse le Pr Desgrandchamps. La simple idée que la bière puisse favoriser la production de sperme arrache un rire à l'urologue. "C'est faux. Rien n'augmente la quantité de sperme, sauf l'abstinence – et encore !"

Si aucun aliment n'aide à éjaculer en plus grand volume, notre assiette peut toutefois aider à avoir un sperme de meilleure qualité. "En matière d'alimentation, les facteurs de risque sont les mêmes que pour d'autres paramètres de santé, confirme François Desgrandchamps. Les viandes rouges, le gras, les boissons sucrées ne sont pas très bons." Un seul conseil, donc : soignez votre assiette pour soigner vos gamètes.

Trop de sperme dilue les spermatozoïdes
L'hyperspermie correspond à une définition très précise : un volume de liquide séminal supérieur à 6 ml lors de l'éjaculation. Mais les mythes circulent sur les implications d'un tel diagnostic. "Les infections prostatiques ne donnent pas d'hyperspermie, ce serait plutôt le contraire", note le Pr Desgrandchamps.

De même, certains affirment que l'hyperspermie réduit la fertilité. "On peut lire par endroits que cela dilue les spermatozoïdes. Cette affirmation n'a aucun sens. Le liquide d'accompagnement ne pose pas de problème", dément l'urologue.



TopSante

Les 77 cas de rougeole Bordelais montre le retour en force de cette maladie qui devrait avoir disparu du territoire Français comme c’est le cas plus au nord. Malheureusement le « civisme » sanitaire souffre des polémiques incessantes sur la vaccination. Il faut le savoir et méditer cet épisode de contagion inhabituel pour réagir.


77 cas de rougeole à Bordeaux... Une épidémie inadmissible !

L’exemple de Bordeaux prouve hélas que nous ne sommes pas débarrassés de la rougeole. Pourtant, en Europe, un plan d’élimination de la rougeole a été mis en place entre 2005 et 2010. On parle d'élimination quand aucune épidémie – même minime -  n’a lieu pendant un an ou plus. C’était un plan plutôt ambitieux mais réaliste parce que nous disposons d’une vaccination efficace. Plus de dix ans plus tard, les résultats sont spectaculaires dans les pays au nord de la France, comme par exemple, aux Pays-Bas où la maladie a disparu.

Ce sont des pays qui traditionnellement, font preuve de beaucoup plus de « civisme » sanitaire que nous. Un autre exemple que la vaccination, celui de l’apprentissage des gestes d’urgence que seulement moins de 20% des français connaissent, alors que l’on atteint plus de 80% en Suède ou en Norvège.

En France, cela maladie avait dans un premier temps pratiquement disparu et  les cas se comptaient sur les doigts de la main.  Mais un pic en 2005, a changé la donne. Depuis le 1er janvier 2008, plus de 23 000 cas de rougeole ont été déclarés en France, dont près de 15000 cas notifiés en 2011. Le combat n’est pas gagné loin de là

La rougeole n’est plus une maladie du petit enfant. Un tiers des cas déclarés est âgé de plus de 15 ans, et sont potentiellement plus dangereux

L’agence Régionale de Santé de Bordeaux déclare que 77 cas y ont été recensés depuis novembre 2017, et qu’il y a eu  12 hospitalisations…

Pourtant, la rougeole, le plus souvent heureusement; n’est pas grave, mais depuis 2008, plus de 1000 cas ont présenté des complications et 10 sont décédés. C’est pourquoi, elle est redevenue une maladie à déclaration obligatoire.. Depuis presque 15 ans, la surveillance a permis de faire chuter le nombre de cas et de réduire les pics d’épidémie printaniers. Reste à s'assurer que l'attention ne se relâche pas.

Le vaccin est efficace mais cette histoire démontre que se vacciner, c’est certes se protéger mais aussi protéger les autres. On a les moyens de faire disparaître ces maladies. Dans son communiqué, l'ARS met en avant "une couverture vaccinale insuffisante", notamment en Nouvelle-Aquitaine et plus particulièrement en Gironde. 

Le « civisme » sanitaire premier rempart contre les épidémies.




pourquoidocteur.fr

5 habitudes alimentaires qui entraînent la prise de poids
Un régime alimentaire équilibré et des exercices physiques quotidiens sont la clé pour lutter contre la prise de poids et l’obésité. Ces deux facteurs stimulent grandement l’élimination de l’excès de graisse emmagasinée. Mais malgré les bonnes habitudes alimentaires et un rythme de vie sain, certaines personnes sont quand même soumises à une prise de poids régulière. Cela s’explique par quelques mauvaises habitudes qui influent négativement sur l’ensemble des efforts engagés. Voici donc cinq mauvaises habitudes qui font indubitablement grossir.

Sauter le petit-déjeuner
L’idée selon laquelle ne pas prendre de petit-déjeuner limite l’accumulation de calories, est complètement erronée. Comme vous le savez, le petit-déjeuner est le repas le plus important de la journée. Il est essentiel au bon fonctionnement du métabolisme. Le sauter ou le remplacer par un élément nutritif faible, joue énormément sur la prise de poids. Inutile donc de vous contenter d’un café et de quelques biscottes ou du pain le matin. Votre premier repas de la journée doit contenir des glucides, des fibres et des acides aminés, car l’apport calorique de ce repas essentiel représente tout de même 25% des besoins quotidiens du corps humains.

Ne pas respecter les horaires des repas
Respecter les heures de chaque repas est important pour une bonne hygiène alimentaire. Prenez régulièrement vos repas à la même heure chaque jour, afin que votre corps bénéficie de la source d’énergie dot il a besoin pour un fonctionnement optimal des organes vitaux. Ainsi, celui-ci bénéficie de réserves suffisantes pendant les périodes de repos. Par ailleurs, des horaires non respectés, surtout lorsqu’ils sont espacés, débouchent sur un estomac vide. Ce qui augmente la sécrétion des sucs acides et produit une réponse inflammatoire.

Consommer des produits industriels
Les en-cas industriels sont aujourd’hui légions sur le marché. Ils sont censés intervenir comme une collation saine qui calme instantanément la faim. Pourtant, ces produits, aussi alléchants soient-ils, sont une source véritable de graisses et de calories. Préférez, pour combler vos petits creux, des fruits des légumes ou du yaourt nature.

Dormir plus que de raison
La science a déjà établi qu’un sommeil régulier de plus de 10 heures, a tendance à augmenter la masse corporelle. Excéder les 7 à 8 heures de sommeil recommandées, rend le corps paresseux et donc moins efficace pour éliminer les graisses. Ces deux heures de sommeil supplémentaires peuvent être utilisées pour effectuer des exercices physiques.

S’hydrater faiblement
Boire peu ou pas d’eau ralentit le processus d’élimination des toxines et des graisses. Commencez votre journée en buvant un verre d’eau chaude, avec une tranche de citron. Après votre petit-déjeuner, essayez de boire trois à quatre verres d’eau. Dans la journée, buvez au moins un litre d’eau.





amina-mag.com

Ce n'est pas à 40 ans qu'il faut se négliger mesdames ! Au contraire, les premières maladies chroniques font leur apparition, les soucis gynécologiques aussi... Retour sur les maladies à surveiller et sur la manière de rester en bonne santé.


Diabète : un excès de sucre dans le sang
Si "40 ans n’est pas un âge où se déclarent le plus de pathologies", selon Evelyne Chartier, médecin généraliste membre du Syndicat des médecins libéraux, les femmes doivent tout de même adopter de nouvelles habitudes pour vieillir en bonne santé.

Car certaines maladies découlent de leur mode de vie : "Mauvaise alimentation et obésité conduiront au diabète vers 45 ans." Cette maladie est caractérisée par une hyperglycémie chronique, soit un excès de sucre dans le sang.
Il faut donc "faire attention aux apports sucrés dans les sodas et les boissons alcoolisées, arrêter le grignotage, augmenter l’apport en fibres."

BPCO : la maladie des fumeuses
Autre maladie qui peut toucher les femmes âgées d’une quarantaine d’années et qui résulte d’un mode de vie non sain : la Broncho-Pneumopathie-Chronique-Obstructive (BPCO). Cette maladie, qui provoque un essoufflement progressif au fil des années et se traduit par des bronchites à répétition, touche notamment les fumeuses. Pour éviter cette maladie, Evelyne Chartier préconise "d’envisager un sevrage tabagique."

Concernant le sevrage tabagique, les substituts nicotiniques diminueraient moins l’envie de cigarette chez les femmes que chez les hommes. Il y aurait aussi chez la femme une réponse moins efficace aux patchs à la nicotine comparé à l’homme, peut-être expliqué par un métabolisme de la nicotine (sa dégradation dans l’organisme) plus rapide chez la femme, en pré-ménopause du moins. Cependant, le bupropion (antidépresseurs) et la varénicline utilisés dans le sevrage tabagique seraient tout aussi efficaces quel que soit le sexe.

A noter : la BPCO peut aussi toucher les non-fumeuses victimes de tabagisme passif.

Colopathies fonctionnelles ou "intestin irritable" : attention au stress
Les colopathies fonctionnelles, mieux connues sous le nom de "syndrome de l'intestin irritable", touche environ 5% de la population française. Le diagnostic étant posé entre 30 et 40 ans.

Même si elles ne sont pas graves, "elles peuvent être gênantes au quotidien et témoignent d’un mal-être et d’un stress chronique", continue Evelyne Chartier. Elles se manifestent par la survenue chronique de symptômes digestifs, comme des douleurs abdominales, des ballonnements, une diarrhée ou une constipation.

Des traitements ? Il n’existe pas de traitement curatif pour cette maladie mais quelques mesures quotidiennes peuvent aider à mieux vivre.

- Par exemple, pratiquer une activité physique pour favoriser votre résistance à la fatigue, diminuer votre anxiété, vous relaxer, améliorer la qualité de votre sommeil et stimuler votre appétit et votre côlon "paresseux".

- Des conseils diététiques sont aussi reconnus comme : manger des fibres tout au long de la journée, réduire la consommation d'aliments gras, éviter les aliments responsables de flatulences, limiter les boissons contenant de la caféine et les aliments riches en fructose (miel, pommes, poires), en lactose (lait, yaourts) et les chewing-gum.

Des médicaments peuvent aussi atténuer les symptômes. Parlez-en à votre médecin.


Fibromes utérins : le début des maladies gynécologiques
Vers 40 ans, certaines maladies gynécologiques peuvent également se déclarer. "30% des femmes observent des débuts de fibromes utérins", soit des tumeurs bénignes et asymptomatiques sur la paroi de l’utérus.

Pour prévenir et soigner ces maladies, il faut consulter régulièrement un gynécologue. Toujours du côté gynécologique, s’il est encore possible d’avoir un enfant passé 40 ans, l’infertilité commence à se développer et il peut être plus difficile de débuter une grossesse.

Cancer : des risques plus élevés après 40 ans
Si "leur incidence commence plus vers 50 ans", il faut "être attentif pour éviter la survenue du cancer du sein, du colon, du rectum et du poumon" dès la quarantaine via des contrôles médicaux. Sans oublier la prévention des cancers de la peau (mélanomes et carcinomes) "de plus en plus nombreux", selon Evelyne Chartier.

Pour prévenir un maximum leur survenue, elle conseille "de ne pas utiliser de déodorants, de manger des fibres, de limiter les barbecues, de ne pas fumer et de ne pas s’exposer aux UV" et assure que "faire du sport 30 minutes par jour, est la première lutte contre les cancers, mais aussi l’arthrose, la dépression, l’hypertension artérielle et l’hypercholestérolémie". Sans oublier de "méditer" conclut-elle.





E-sante

J’ai de bonnes nouvelles. On le savait déjà, mais faire l’amour est (très) bon pour la santé. Ça déride et ça rend heureux, si, si, c’est vrai ! Mais plus concrètement, les rapports sexuels apportent de nombreux bienfaits insoupçonnés. On vous en dit plus :


Les cinq bienfaits du rapport sexuel sur la santé

1. Le sexe agit sur les douleurs

Faire l’amour permettrait de bloquer la nociception dans notre système nerveux central. En effet, les nocicepteurs sont des récepteurs de douleur qui nous mettent en mode « défense » lorsqu’on a mal quelque part. En clair, le sexe influencerait positivement notre humeur et permettrait donc de diminuer la sensation de certaines douleurs (ex : douleur musculaire).

2. Préviendrait le cancer de la prostate

L’Université Publique de Boston avait sorti une étude en 2016, qui indiquait qu’éjaculer régulièrement permettrait de faire baisser le risque de souffrir un jour d’un cancer de la prostate.

3. Bon pour le coeur de ces dames

Les maladies cardiovasculaires touchent beaucoup de femmes en France. Une moyenne de 200 orgasmes par an permettrait de voir son espérance de vie rallongée. D’ailleurs, avoir 8 rapports par mois en moyenne permettrait de faire baisser l’anxiété, le stress, l’agressivité et autres émotions négatives…

4. Vous êtes plus heureux !

Oui, faire l’amour permettrait de sécréter de l’endorphine, l’hormone responsable du bonheur. En clair, plus vous faites l’amour, plus vous vous sentez bien ! Même plus besoin de Xanax dites donc.

5. Solution contre la gueule de bois ?

Le sexe matinal permettrait apparemment de lutter naturellement contre la gueule de bois. De quoi se réveiller du bon pied. Alors pour sa santé mentale et physique, on oublie le café noir, et on retourne sous la couette 🙂

Même si elle est peu évoquée, la pneumonie est une maladie qui occasionne plus de décès que le VIH, le paludisme et la diarrhée combinés chez les enfants âgés de moins de cinq ans en Afrique. Pourtant, la lutte contre la pneumonie est non seulement moins médiatisée, mais reçoit un financement pour le moins modeste. Selon un rapport de l’UNICEF, pour chaque dollar dépensé pour la santé mondiale, seuls deux centimes sont consacrés à la lutte contre la pneumonie. Mais ce qui fait défaut dans ce drame, c’est surtout l’obtention du diagnostic, qui est parfois erroné. Une erreur de diagnostic fatale, qui entraîne au moins 500 000 décès chez les enfants de moins de cinq ans. C’est à cela qu’a voulu répondre Brian Turyabagye, un inventeur ougandais, en confectionnant une veste capable de donner un diagnostic précis.


Un Ougandais invente une veste qui diagnostique efficacement la pneumonie
C’est avec le concours d’Olivia Koburongo, une amie et partenaire en affaires, que Brian Turyabagye s’est lancé dans ce projet. C’est à la suite du décès de la grand-mère de cette dernière que les deux amis se sont posés des questions. La vieille dame aurait pu être sauvée de l’issue fatale de pneumonie, mais elle a reçu un traitement contre le paludisme, suite à une erreur de diagnostic.

Après une enquête auprès d’experts scientifiques, Brian Turyabagye et son équipe ont créé une veste intelligente biomédicale nommée Mama-Ope, qui signifie en Yoruba « l’espoir pour la mère ». Un nom en hommage des 27 000 enfants qui meurent chaque année en Ouganda. Cette veste augmente rapidement la précision et la vitesse du diagnostic de la pneumonie.

La veste est connectée à une application mobile via Blutooth. Elle mesure la température corporelle, la fréquence cardiaque et l’état pulmonaire, à l’instar d’un stéthoscope. Toutefois, elle a l’avantage de s’étendre sur l’ensemble de la poitrine, permettant ainsi l’examen de points spécifiques comme les poumons, dont le gonflement cause l’infection propre à la pneumonie. La veste analyse et enregistre les données médicales qui sont alors envoyées à un médecin, qui bénéficie ainsi de données capitales pour établir un diagnostic éclairé. Jusqu’ici la veste Mama-Ope, a détecté la pneumonie trois à quatre fois plus vite qu’un médecin.

Si la veste Mama-Opa en est encore au stade du prototype, elle a d’ores et déjà subi des tests majeurs. Une réussite sur le plan commercial pourrait être extrêmement bénéfique pour des millions de personnes touchées par la pneumonie. Mama-Ope a été sélectionnée pour le prix prestigieux de l’Académie royale d’ingénierie de l’Afrique en 2017.

5 à 7 % des femmes auront un kyste aux ovaires au cours de leur vie. Le point sur leurs causes avec les Drs. Sylvain Mimoun, gynécologue à Paris, et Patrice Lopes, gynécologue-obstétricien au CHU de Nantes (Loire-Atlantique).


Kystes aux ovaires: 3 causes à connaître
Les variations hormonales
Le kyste fonctionnel est le plus courant chez la femme. Il se forme à partir des follicules ou du corps jaune. "Les causes habituelles de ce kyste ovarien sont les variations hormonales au cours d’un cycle menstruel’’, explique le Dr Sylvain Mimoun. Le kyste grandit ou rétrécit en peu de temps. Certains traitements hormonaux peuvent donc influencer le risque de kyste ovarien. "La pilule peut entraîner des kystes en fonction de sa composition et de la réaction de la femme", illustre le Dr Mimoun. Un constat assez paradoxal, puisqu’elle peut aussi être utilisée comme traitement. Dans la mesure où le kyste fonctionnel se forme à partir des follicules, la stimulation ovarienne constitue un risque à ne pas négliger.

Une endométriose
Certaines maladies gynécologiques sont associées à une forme spécifique de kyste, formé de vieux sang menstruel. C’est le kyste endométriosique qui, comme son nom l’indique, a pour cause l’endométriose. Dans certains cas, il peut mesurer plusieurs dizaines de centimètres. Pendant les règles, le sang reflue vers le bas ventre, créant des lésions réactives aux hormones. Chaque mois, elles saignent et font mal au moment des règles. "Les kystes sont très fréquents chez les patientes, explique le Dr Patrice Lopes. Le foyer d'endométriose situé sur l’ovaire s’invagine (c’est-à-dire qu’il se retourne sur lui-même, ndlr) ou crée des adhérences. Le kyste se forme alors à partir de saignements."

Des anomalies génétiques
Les kystes organiques sont, à ce jour, les plus mystérieux. On les nomme selon la nature des cellules retrouvées : dermoïde, mucineux, séreux… "On ne sait pas vraiment d’où vient un kyste organique, admet Sylvain Mimoun. Dans certains cas, on retrouve des restes embryologiques, qui seraient restés dans l’ovaire." Patrice Lopes avance une autre piste : celle de la génétique. "Les kystes organiques sont probablement issus d’anomalies génétiques’’, estime-t-il.

Leurs cellules échappent au contrôle cellulaire habituel." Ces kystes se développent à partir du tissu ovarien ou des parois recouvrant les organes, l’épithélium ". Ceux dits "dermoïdes" continuent toutefois de mystifier les spécialistes. "Ils dépendent des cellules germinales et donnent lieu à différents tissus. Il est toujours surprenant de découvrir des dents, des poils, des cheveux, concède le Dr Lopes. Cela signifie que la cellule se met à différencier du tissu à l’intérieur même de l’ovaire." Pourquoi ? Mystère.




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La transpiration au niveau des zones intimes est un sujet tabou. Elle existe pourtant au même titre que l’hypersudation des aisselles, des mains ou encore du visage. Quelles en sont les causes ? Comment y remédier ?


Transpiration intime excessive : que faire ?
Transpiration intime excessive : les causes
La transpiration excessive au niveau des fesses, de l’aine ou encore de l’entrecuisse, peut se révéler gênante : outre les auréoles qu’elle peut créer sur les vêtements, les irritations dues aux frottements avec le tissu, elle s’accompagne parfois d’odeurs nauséabondes. Quelle est son origine ? Le facteur déclencheur principal est le stress. En effet, les glandes sudoripares sont très sensibles à l’état émotionnel de la personne. Autre facteur : la chaleur (externe ou engendrée par l’effort physique) associée au port de vêtements qui ne permet pas une bonne respiration de la peau.

Règles d’hygiène à observer pour lutter contre la transpiration excessive
Le stress étant le principal responsable de la sudation, la personne devra essayer de le réguler : méditation et yoga peuvent l’y aider. Sur le plan de l’hygiène, il convient de se doucher 1 à 2 fois par jour, avec un gel douche au pH ( potentiel hydrogène) neutre ou un savon au millepertuis (plante reconnue pour ses vertus anti-transpirantes).

En journée, il est possible d’utiliser des lingettes intimes, mais de façon discrétionnaire. Il convient de fuir les vêtements trop serrés, de même que les sous-vêtements synthétiques, lesquels ne laissent pas respirer la peau. On leur préférera le coton.





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L'arrêt cardiaque soudain est souvent associé à l'activité sexuelle chez les hommes. Une étude montre qu'en fait, le sexe déclenche très rarement ce type d'arrêt du cœur.


Un arrêt cardio-respiratoire se produit de façon soudaine lorsque le cœur fonctionne mal et cesse brusquement de battre. La personne perd connaissance, arrête de respirer et l'issue est souvent fatale s'il n'y a pas de défibrillateur alentour. Ce trouble cardiovasculaire est différent de l'infarctus, provoqué par l'arrêt du flux sanguin vers le cœur.

Alors que l'on sait que le sexe peut provoquer des infarctus, notamment chez les hommes, le lien n'était pas clairement établi en ce qui concerne l'arrêt cardiaque. Une nouvelle étude à laquelle ont notamment participé l'hôpital universitaire d'Helsinki en Finlande et le Cedars-Sinai Medical Center de Los Angeles, révèle qu'il est peu probable qu'un arrêt cardiaque se produise pendant un rapport sexuel.

Seulement 34 arrêts cardiaques liés à l’activité sexuelle en 13 ans

Pour cette étude, les chercheurs ont examiné les dossiers médicaux d'une communauté d'un million de personnes du nord-ouest des États-Unis qu'ils ont suivies de 2002 à 2015. Au total, 4557 cas d'arrêt cardiaque ont été identifiés. Et sur ce nombre de cas, seulement 34 (soit 0,7 %) ont été considérés par les médecins comme "liés à l'activité sexuelle", dont 18 cas survenus pendant les rapports sexuels et 15 cas immédiatement après. Plus surprenant, ces cas d'arrêt cardiaque ont touché des hommes plus jeunes qu'attendus : âgés de 60 ans en moyenne.

Au vu de ces chiffres, les chercheurs ont conclu que le risque global d'arrêt cardio-respiratoire déclenché par l'activité sexuelle, est faible.




Top Santé
L’huile de coco:  Comment en consommer pour brûler la graisse
L'huile de coco est connue pour ses nombreux bienfaits en santé, en beauté mais aussi pour perdre du poids grâce aux acides gras à chaine moyenne qu'elle contient.

Cette huile aide à absorber le maximum d'antioxydants et nutriments dans les aliments. L'huile de coco accélère le métabolisme de votre corps, transforme la graisse en énergie dans le foie et en plus, elle n'est pas stockée dans le corps sous forme de graisse.
L'une des particularités de cette huile, elle peut se cuire à haute température sans la dénaturer. Elle brûle plus de calories que les autres aliments sources de graisses.

Vous pouvez remplacer une autre graisse saturée par de l’huile de coco comme le beurre, excellent aussi pour faire sauter vos aliments... Il faut consommer 2 cuillères à soupe d'huile de coco par jour, pour de meilleurs résultats.





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