Santé
Qu’est-ce que le cholestérol?Le cholestérol est un type de gras produit par le foie. Une partie du cholestérol provient de votre alimentation. Certains aliments d’origine animale, comme les œufs, la viande et les produits laitiers, contiennent du cholestérol. Les aliments d’origine végétale ne contiennent pas de cholestérol. Toutefois, le cholestérol contenu dans les aliments n’est pas le seul qui compte. Les aliments riches en gras saturés [le gras végétal hydrogéné, les huiles tropicales (huile de coco et huile de palme) et les graisses de source animale] peuvent aussi augmenter aussi votre taux de cholestérol. Pourquoi faut-il craindre un taux de cholestérol élevé?Pour être en bonne santé, nous avons besoin de cholestérol mais trop de cholestérol dans le sang peut augmenter le risque d’une crise cardiaque ou d’un accident vasculaire cérébral (AVC). Le surplus de cholestérol dans votre sang se déposera dans vos artères (gros vaisseaux sanguins) et causera un rétrécissement. En s’accumulant, le cholestérol peut bloquer complètement une artère. Si une artère qui apporte le sang au cœur se bloque, il survient une crise cardiaque. Si une artère qui apporte le sang au cerveau se bloque, il survient alors un accident vasculaire cérébral (AVC). Le cholestérol circule dans le sang, sous diverses formes de véhicules nommés lipoprotéines. Les lipoprotéines de faible densité (LDL) transportent le cholestérol dans l’organisme et les lipoprotéines de haute densité (HDL) transportent le cholestérol en dehors de la circulation sanguine. Trop de cholestérol LDL est mauvais pour l’organisme parce qu’il se dépose sur la paroi interne des artères, alors que la forme HDL est bonne parce qu’elle entraîne le cholestérol en dehors de la circulation sanguine. C’est l’équilibre entre les différentes formes de cholestérol qui explique votre taux de cholestérol.
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On estime qu'à Paris, environ 20% des femmes d'origine africaine utilisent des crèmes dépigmentantes. Ces derniers renferment pourtant un composant nocif pour la santé en accélérant par exemple, le vieillissement de la peau.Sur la base d’informations délivrées par la Mairie de Paris, on estime qu’environ 20% des femmes d’origines africaine vivant au sein de la capitale ont recours à des crèmes dépigmentantes. Les noms ne sont pas les mêmes selon les pays mais dans tous les cas, un danger sanitaire est présent. En effet, ces produits contiennent de l’hydroquinone, un composant qui, au contact de la peau, contribue à son vieillissement prématuré en plus de provoquer un certain nombre de complications irréversibles. Ce n’est pas pour rien que l’hydroquinone est interdite en vente libre en France, soulignent nos confrères du Point. L’hydroquinone, le dangereux composant de crèmes dépigmentantesL’application de ce composant réduit le terrain d’action de la mélanine. Or, de cette façon, la peau se retrouve davantage exposée aux rayons du soleil et à plusieurs cancers. Parmi les autres effets indésirables de l’hydroquinone, on trouve un amincissement de la peau ainsi que l’apparition de tâches foncées, d’une pigmentation bleuâtre ou noirâtre ou encore de vergetures définitives. Des dangers énoncés par le dermatologue Pierre-Patrice Cabotin, qui ajoute que l’utilisation de l’hydroquinone doit s’observer de manière très encadrée : “On peut utiliser de l’hydroquinone, sur des durées limitées, à des concentrations définies, et sous surveillance médicale.” Certains commerçants peu informés en FranceDifficile toutefois, d’enrayer un marché de la dépigmentation qui devrait peser plus de 31,2 milliards de dollars en 2024, à l’échelle mondiale. D’autant plus qu’en France, des commerçants ignorent que la vente libre de l’hydroquinone y a été interdite, quand ils ne sont tout simplement pas au courant que leurs crèmes contiennent un tel composant. Une ancienne utilisatrice de ces crèmes dépigmentantes, a confié y avoir eu sévèrement recours pour mettre un terme à des remarques qui la heurtaient sur sa couleur de peau. Une pression sociale qui l’aura notamment amenée à consacrer à ces produits, un budget mensuel non négligeable d’environ 200 euros, et ce, pendant près de dix ans. L'Institut National du Cancer lance une nouvelle campagne sur l'importance du dépistage du cancer colorectal faisant la promotion d'un test simple à faire chez soi, rappelant que détecté tôt, il peut être guéri dans 90% des cas.S'il est détecté tôt, peut être guéri dans neuf cas sur dix selon l'Institut National du Cancer (INCa). Et pourtant, "avec près de 45 000 nouveaux cas et 18 000 décès par an, le cancer colorectal reste le 2e cancer le plus meurtrier", déplore l'INCa dans un communiqué. Pour une détection à un stade précoce, une seule solution : un dépistage régulier à savoir tous les deux ans. Il s'adresse aux hommes et aux femmes de 50 à 74 ans ne présentant aucun symptômes. Ces derniers sont invités par courrier à effectuer le test à la fréquence indiquée. UN TEST QUI DÉTECTE "2,4 FOIS PLUS DE CANCERS"Le test proposé par l'INCa a démontré son efficacité.Intégré en 2015 dans le programme national de dépistage organisé, il permet de détecter "2,4 fois plus de cancers et 3,7 plus d'adénomes avancés (lésions précancéreuses) que l'ancien test au Gaïac", indique l'INCa. Le test consiste en la recherche de "sang occulte" (caché) dans les selles. Le patient effectue le prélèvement à son domicile à l'aide d'un kit fourni par son médecin traitant, comprenant un bâtonnet, un tube hermétique, une fiche d'informations à compléter et une enveloppe T. Une fois le test effectué, il n'y a plus qu'à l'envoyer au laboratoire d'analyses médicales. Pourtant, selon Santé publique France, le taux de participation est bien insuffisant. Il s'élève à 33,5% sur la période 2016-2017. Au niveau européen, le taux jugé acceptable est estimé à 45%. Pour sensibiliser au dépistage, l'INCa lance une nouvelle campagne programmée à la télévision du 18 février au 11 mars et sur internet du 19 février au 31 mars. Il est recommandé de consommer cinq fruits et légumes par jour. Seulement est-ce que tous les fruits se valent? Un fruit moins sucré est-il forcément meilleur pour la santé? Qu'en est-il pour les diabétiques? Claire Lamboley, diététicienne-nutritionniste à Villeurbanne, nous répond.Le fructose, le sucre des fruitsLe fructose est le sucre présent dans les fruits. Sucre "simple", il se comporte cependant comme un sucre complexe. En temps normal, les sucres simples sont rapidement digérés par l'organisme et font augmenter de manière significative le taux de sucre dans le sang. Or le fructose "n'a pas un gros impact sur la glycémie, explique Claire Lamboley, diététicienne-nutritionniste. Il ne va pas provoquer de sécrétion d'insuline, mais il va être directement converti par le corps sous forme de triglycérides". Le fructose possède un index glycémique (IG) bas. On peut donc en consommer sans que cela soit nocif pour la santé. "Il faudrait manger plus de dix fruits par jour avant que le fructose soit mauvais", rassure Claire Lamboley. Cependant, son goût sucré peut "habituer le corps à recevoir du sucre simple, ce qui peut influencer les hormones de la satiété et peut créer de la résistance à l'insuline. De plus, il peut créer des désordres digestifs car il s'agit d'un sucre de la famille des Fodmaps et peut faire augmenter le taux de triglycérides." Ces lipides sont stockés dans notre tissu adipeux. Et quand il y en a trop, cela fait grossir. Cependant, le fructose en association avec les fibres présentes dans les fruits représente un duo gagnant. Car les fibres sont bonnes pour la santé, même si elles ne sont pas absorbées par l'organisme. "Elles sont bonnes pour les bactéries de notre colon, règlent le transit intestinal, et peuvent avoir un effet coupe-faim", énumère la spécialiste. Elles permettent aussi une digestion lente, et donc une glycémie contrôlée. Quels fruits choisir?Si vous souhaitez vous porter sur les fruits les plus faibles en sucre, choisissez les framboises, les fraises, les pommes (selon les variétés) ou encore les agrumes. Il est à noter que le goût sucré n'a pas de lien avec le taux de sucre d'un aliment. De quels fruits doit-on se méfier?"Il faut faire la différence entre glucides et sucre, commence Claire Lamboley. Les glucides englobent l'association 'sucre complexe+fibres' et non les sucres purs. Les fruits dont la proportion en sucre pur est plus élevée par rapport au sucre complexe sont les bananes, les dattes, les raisins et les litchis", énumère la spécialiste. La diététicienne nuance cependant la mauvaise réputation de la banane. "Elle fait effectivement partie des fruits les plus caloriques: autour des 100 kcals au 100 grammes. Et seulement moitié moins pour la pomme. Mais la banane est riche en potassium, fibres, magnésium, tryptophane." Ce dernier acide aminé participe à la lutte contre la dépression: "tout au long de la journée, l'acide aminé se transforme en sérotonine, l'hormone du bien-être." Et la règle est la même pour tout: il faut une diversification des aliments. "Car cela pourrait amener trop de minéraux semblables à chaque repas. Il faut donc miser sur plusieurs fruits." Les diabétiques peuvent-ils tous les consommer?Les fruits les moins sucrés ne sont pas forcément ceux vers lesquels se tourner. Le melon par exemple est peu sucré mais impacte fortement la glycémie. La diététicienne ménage cependant les craintes. "On parle désormais plutôt en charge glycémique qu'en index glycémique. La charge glycémique se calcule en multipliant l'IG par la quantité de glucides d'une portion de l'aliment que l'on va consommer. Par exemple, la cerise a un IG très haut, sauf qu'on en consomme seulement quelques-unes. L'incidence est donc moindre sur l'organisme". Cela fonctionne avec une part de melon. Et même si banane, mangue, fruits séchés sont à consommer avec modération, Claire Lamboley y voit des avantages. Notamment celui des fibres et leur apport en prébiotiques, qui peut avoir un effet sur le poids et sur le diabète: "les fibres diminuent l'index glycémique du bol alimentaire ingurgité. Les diabétiques peuvent donc consommer trois portions de fruits par jour." Des bienfaits dont il ne faut pas se passerD'après la diététicienne, tous les fruits sont bons pour la santé: vitamines, minéraux, fibres... "On sait qu'ils sont riches en antioxydants, en vitamines C pour l'immunité, et B9, en folates dont on a besoin surtout lors d'une grossesse. Mais aussi en potassium, magnésium (contre le stress), en fer dans certains fruits (les fruits secs, figues etc...)". D'autres fruits apportent des substances un peu moins connues, comme la bromélaïne, présente dans l'ananas. "C'est une substance anti-oedème. Elle ne fait pas fondre les graisses, mais elle fait dégonfler et, est diurétique". Dans le raisin, on trouve du resvératrol. "C'est un très puissant antioxydant que l'on donne en cure". Quant on trouve de la papaïne dans la papaye, favorisant la digestion des protéines. Les fruits très sucrés aussi ont des bienfaitsPour les sportifs, les fruits sont de bons compagnons pour réguler le taux de glycémie et éviter les coups de mou. Avant et pendant l'effort, ils permettent de faire une réserve d'énergie et de ne pas surcharger l'estomac avec une digestion: le corps concentre son énergie au niveau des muscles et non de l'intestin. Après, ils sont utiles pour refaire les réserves en glycogène et faire remonter un peu la glycémie si on est en hypoglycémie. Les fruits très sucrés sont également de bons coupe-faim, surtout ceux riches en pectine (pomme, raisin). "C'est une fibre soluble qui va créer un gel", détaille la nutritionniste. Et donc avoir un effet sur la satiété. "En plus, la pomme possède un IG assez bas, il n'y a donc pas de pics de glycémie." Les fruits séchés sont bénéfiques s'ils sont consommés avec modération. Malgré leur titre de champions au niveau du sucre (30 à 50g de sucre pour 100g), ils sont d'efficaces coupe-faim et sont bons pour le transit intestinal, grâce aux fibres qui les composent. De plus, ils possèdent trois à cinq fois plus de minéraux que les autres fruits. "Comme on enlève l'eau, tous les minéraux se concentrent dans les fruits séchés. Mais aussi le reste: le sucre, les glucides, les fibres... Du coup, les sucres sont très facilement assimilables. Et ils nécessitent moins d'efforts pour la digestion." Les femmes qui utilisent régulièrement des bronchodilatateurs pour soulager les crises d'asthme, ont 30 % de chances en moins de tomber enceinte avant un an de tentatives.
Une étude portant sur plus de 5000 femmes cherchant à tomber enceintes et utilisant un inhalateur pour soulager les symptômes de l'asthme, indique que ces femmes ont moins de chances de tomber enceintes lors de la première année de tentative.
Cette étude, publiée dans la revue European respiratory journal, explique que ce risque d'infertilité a essentiellement été rencontré chez les femmes utilisant l'inhalateur bleu (celui qui stoppe les crises d'asthme) et non chez celles qui utilisent l'inhalateur orange (les bronchodilatateurs à longue durée d'action qui préviennent les crises). LA PMA N'EST PAS FORCÉMENT NÉCESSAIRE Selon les chercheurs de l'Université d'Adélaïde (Australie) qui ont publié cette étude, leurs conclusions pourraient réduire le nombre de traitements pour infertilité. "Sachant que les femmes asthmatiques mettent plus longtemps à tomber enceintes, les gynécologues-obstétriciens attendront plus longtemps aussi avant de démarrer un traitement d'assistance médicale à la procréation". TopSanté
Face aux multiples promesses de l’Etat et aux engagements pris pour mettre les syndicats de la santé dans de bonnes conditions, le personnel de la santé dit vouloir patienter, du moins jusqu’au 28 février, pour voir ce qu'il en sera.
A l'issue de la réunion d’hier lundi avec le Premier ministre Mahammed Boun Abdallah Dionne, le secrétaire général du Sutsas Mballo Dia Thiam menace de faire du ‘Guesseum’’, au cas où les promesses ne seraient pas honorés. « C’est une rencontre décisive. Nous sommes sereins et attendons la rencontre du 28 février prochain. Si on met entre nos mains les actes qui ont été promis, il n'y aura pas de problème », a-t-il dit. Sur certains points concernant "Ande Guesseum", « on a eu des éléments de réponses mais aucun acte n'est encore sorti. On attend de voir les actes et rien que les actes, après on va décider. Sinon on va faire du "Geusseum" », menace M. Thiam. Thierno Malick Ndiaye Au moins 100 cas de décès enregistrés par an, en Allemagne est causé par la masturbation, a révélé une étude qui portait également sur les manières étranges dont les gens sont morts, en essayant de pratiquer l’auto-satisfaction. Un homme vêtu de collant, d’un imperméable et d’un scaphandre de plongée ainsi que d’un sac en plastique sur la tête, est mort à Hambourg, après s’être assis à côté d’un appareil de chauffage pour essayer de faire fondre des tranches de fromage sur son corps. Dans un autre incident, un autre homme originaire de Halle a été retrouvé mort avec des guirlandes sur ses tétons ayant apparemment essayé de se stimuler par électrocution. Selon le médecin-légiste, Harald Voß, cité par Dailymail, l’asphyxie est l’une des formes les plus courantes de mort par masturbation. Entre 80 et 100 personnes à travers le pays, meurent chaque année des suites de masturbation risquées, a révélé l’étude de Voß. Les résultats démontrent que pour chaque million de citoyens allemands, il y a « un ou deux » cas de décès par an causé par l’usage d’un accessoire ou d’un dispositif pour la stimulation sexuelle. La Médecine légale à Hambourg a enregistré 40 décès auto-érotiques accidentels entre 1983 et 2003, chez toutes les victimes âgées de 13 à 79 ans, rapporte The Local. Les victimes sont généralement des hommes, a souligné Voß, car les femmes sont « plus prudentes » quand il s’agit de pratiques auto-érotiques. Il a en outre noté que les risques impliqués dans l’activité auto-érotique, étaient sous-estimés. Selon cet expert, perdre la conscience peut arriver plus vite qu’on ne l'imagine.
Selon une étude, le corps s’habitue à un changement en 66 jours. Alors quand vous arrêtez de fumer, votre corps ne devrait pas prendre plus de deux mois pour se réadapter.
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