Santé
En plus d'être douloureuses, les migraines sont handicapantes et difficiles à vivre au quotidien. CuisineAZ a fait le point, et nous donne 3 catégories d'aliments à éviter pour arrêter de se prendre la tête (haha) avec les migraines.
Migraine ou mal de tête ?
Que les choses soient claires : quand on parle de migraine, on ne parle en aucun cas d'un mal de tête un peu pénible. Car NON, ce n'est pas du tout (mais alors pas du tout) la même chose ! Un mal de tête (ou céphalée dans le jargon médical) survient de manière occasionnelle (quand on est fatiguée, après une gueule de bois, après un pic de stress, etc.), et l'intensité de la douleur est faible, ou moyenne. Un mal de tête se traduit par une sensation de pression au niveau des tempes et du front, avec parfois des pointes dans le cou. Pour le faire disparaître, on prend un analgésique, et hop, le tour est joué : car le truc avec le mal de tête, c'est qu'il est passager. Ce qui n'est malheureusement pas le cas de la migraine, qui elle, se caractérise par une douleur plus élevée et plus intense, et une durée plus longue (de 4 à 72 heures !). Mais ce n'est pas tout: quand une migraine survient, on a littéralement l'impression que notre cœur bat dans notre tête, et on devient très sensible à la lumière, et au bruit. Les migraines peuvent aussi être accompagnées de nausées, et de vomissements. Le pied total quoi. Moralité : dire à une personne migraineuse qu'on a « une migraine pas possible » quand on a juste mal au crâne, c'est un poil horripilant pour elle ! Les aliments qui causent des migraines On l'aura compris, les migraines sont loin d'être anodines et faciles à vivre au quotidien. Voici 3 catégories d'aliments à mettre moins souvent au menu pour les éviter, ou les espacer le plus possible: Les aliments riches en gluten (riz, pâtes, bière, etc.). La Fondation nationale de sensibilisation à la maladie cœliaque a effectué des études sur des personnes intolérantes au gluten, et a démontré qu'après avoir adopté un régime alimentaire gluten free, les individus sujets aux migraines voyaient leurs symptômes se réduire, voire disparaître ! Les plats préparés. Notamment les plats chinois, riches en sauce soja ou en sauce industrielle, car ils sont bourrés de glutamate monosodique, un additif alimentaire qui est aussi réputé pour ses qualités d'exhausteur de goût que pour sa tendance à déclencher des migraines... A déconseiller donc pour les personnes qui ont des céphalées à répétition ! La charcuterie. Encore un mauvais point pour la charcuterie et les viandes transformées: elles sont riches en nitrates, des substances qui une fois transformées en nitrites par la flore buccale, n'auraient pas leur pareil pour engendrer des migraines. Cuisineaz.com
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L’Etat dit avoir fait des progrès dans le secteur de la santé en scandant des chiffres à l’appui. Mais les Sénégalais attendent encore beaucoup des autorités pour avoir accès aux soins de qualité et à moindre coût car ils sont nombreux à espérer l’effectivité des mesures et projets mis en avant par l’Etat.
Beaucoup de Sénégalais rêvent de se faire soigner à moindre coût. L’Etat s’est dit résolu à concrétiser cela mais avec beaucoup de contraintes. Le Sénégal s’est engagé, à travers l’axe 2 du Plan Sénégal émergent (PSE) qui regroupe le capital humain, la protection sociale et le développement durable, à promouvoir la santé. La santé repose essentiellement sur des projets phares tels que le Couverture maladie universelle (Cmu), la construction des hôpitaux, ceux régionaux y compris…
Mais, il y a encore des défis à relever dans chacun de ces domaines. La Cmu par exemple, se base essentiellement sur l’accès aux soins gratuits pour les moins de cinq ans, le troisième âge, les césarisées… Plus célèbre dans la mémoire des Sénégalais, elle est peu connue dans son fonctionnement. Ils sont encore nombreux à ne pas savoir comment tirer profit des avantages de la Cmu pour accéder aux soins de qualité à moindre coût ; Le système d’assurances et de mutuelles qui doit accompagner la Cmu pour la rendre pérenne, fonctionne au ralenti, faute d’engouement des potentiels adhérents. Pis, des cas de « fraude » se sont invités dans la chaîne, selon la direction de l’Agence nationale de la Cmu. C’est en ce sens que des réflexions pour la mise en place d’une loi, destinée à légiférer le programme pour qu’il n’y ait pas de dérives autant chez les acteurs de la santé que chez les bénéficiaires, sont lancées. S’y ajoute que, dans le cadre de la Cmu, le système est grippé par des cas d’endettement, dû au non paiement des factures aux structures de santé prestataires. Ce qui a un impact sur les prestations. Il y a également le manque en personnels pour combler le déficit en sages-femmes, infirmiers, spécialistes … dans les structures de santé. Le ministre de la Santé a, d’ailleurs, récemment posé le problème lors de la Revue annuelle conjointe (Rac) du ministère de la Santé. Le gouvernement avait annoncé le recrutement d’un millier d’agents par an pour renforcer le système de santé et accompagner la Cmu qui vise à atteindre 75% de couverture de la population en 2017. Sur le volet des infrastructures, l’Etat a ouvert quelques chantiers mais le relèvement des plateaux techniques reste un défi pour la modernisation des hôpitaux et structures de santé, notamment dans le milieu rural où les populations utilisent parfois des moyens rudimentaires pour se soigner, à défaut de recourir à des postes de santé quasi dégarnis en matériels et personnels médicaux. La panne de l’appareil de radiothérapie de l’hôpital Aristide Le Dantec qui a contraint le Sénégal à recourir aux plateaux des pays de la sous-région, est venu rappeler aux Sénégalais que le besoin en équipements est encore criard. Par ailleurs, l’Etat a encore à faire dans l’application et la mise en œuvre des lois. Par exemple, la loi antitabac de 2014 est votée depuis 2014 mais la réalité fait penser que l’industrie du tabac ne semble pas être inquiétée avec les publicités, la cigarette, l’absence de fumoir, les produits dérivés de la cigarette… Il en va de même pour la loi sur la transplantation rénale, sur l’avortement médicalisé qui, jusque-là, sont restés en suspens… En outre, les efforts de l’Etat pour l’éradication de certaines pathologies, la prévalence de la tuberculose, du paludisme, du sida, des maladies chroniques telles que le diabète, l’insuffisance rénale chronique (Irc), le cancer et autres maladies reste encore insuffisants avec des cas confirmés et décès notamment dans certaines régions isolées du Sénégal. D’ailleurs, pour l’Irc, malgré les promesses du nouveau Président, beaucoup de régions peinent encore à disposer de centres d’hémodialyse pour prendre en charge leurs patients. Les cas de mortalité maternelle et infantile sont toujours relevés dans certaines parties du Sénégal où, en 2017, des femmes continuent d’accoucher sur des charrettes. L’Etat a également des efforts à faire en ce qui concerne la répartition de la carte sanitaire sur le territoire. Car les infrastructures et ressources humaines sont encore loin des zones rurales reculées. La sécurisation du marché des médicaments est aussi un défi que le Sénégal, qui n’est toujours pas à l’abri des trafics illicites de médicaments, doit relever. Walf Quotidien Deux hôpitaux de la ville de Lugano, dans le sud de la Suisse, testent depuis le début du mois de mars l'envoi d'échantillons de laboratoires par drones. Un système de fonctionnement qui devrait être généralisé d'ici 2018.Les drones font leurs preuves sur le terrain médical.Au Rwanda, ils transportent du sang et sauvent des vies. En Suisse, dans la ville de Lugano, ils embarquent désormais des petits flacons de verre, échantillons de laboratoires. Depuis la mi-mars, deux établissements du réseau hospitalier du Tessin EOC ont fait le pari de se faire parvenir les prélèvements de leurs patients par drone, en partenariat avec le service postal suisse Swiss Post. Un gain d'efficacité"Des collaborateurs des hôpitaux dûment formés pourront charger le drone avec un contenant de sécurité (renfermant les échantillons de laboratoire) et l’envoyer à l’aide d’une application sur smartphone", explique dans un communiqué de presse Swiss Post. "Le drone volera ensuite de manière autonome selon un itinéraire prédéfini jusqu’à sa destination, où le contenant sera réceptionné par un autre collaborateur." L'enjeu est de taille: en pleine ville, les risques d'accident sont multiplies. Pour les contrer, Swiss Post travaille en collaboration avec l'Office fédéral de l'aviation civile qui a examiné chacun des engins et leurs composants. La qualité, la sécurité des soins, la gouvernance des hôpitaux, bref toutes les questions relatives au bon fonctionnement des hôpitaux seront passées en revue pendant trois jours de défilés d'experts venus de divers horizons, à Dakar. En effet, l’Association sénégalaise des administrateurs des services de santé (ASASS) en collaboration avec l’Alliance francophone pour la qualité et la sécurité des soins , organise les 4es journées internationales francophones pour la qualité et la sécurité des soins à Dakar, du 06 au 08 avril 2017.
Des participants venant du Maroc, du Mali, du Cameroun, du Congo, de la Cote d’Ivoire, du Canada et du Sénégal vont échanger sur la démarche d’amélioration continue de la qualité des soins et des gestions des risques. Pour la première fois, l’Association sénégalais des administrateurs des services de santé (ASASS) organise un événement d’une envergure internationale, selon le président Moussa Same Daff.
Eu égard aux difficultés de la mise en œuvre des politiques publiques en matière de santé et le renforcement de la solidarité entre les membres de ladite association, le président de l’ASASS estime que « nous sommes obligés comme par le passé de jeter les base de la réflexion. Car nous sommes des cadres et nous sommes appelés à réfléchir pour notre pays mais particulièrement pour notre système de santé, a-t-il renseigné. Selon, M Daff « nous avons estimé qu’en dehors des thèmes que nous avions en son temps développés, notamment l’acte 3 et la territorialisation des politiques publiques, le financement de la santé, la gouvernance hospitalière, le partenariat, il faut revoir les autres secteurs », rappelle le président de l’ASSAS. A l’en croire, l’ASASS a jugé nécessaire de discuter sur la question de la qualité et de la gestion des risques hospitaliers, car c’est un aspect qui revient assez souvent dans les critiques portées aux hôpitaux. Et pour cela, il soutient que « nous nous sommes dits que nous devions faire une introspection et revisiter dans l’hôpital tous les secteurs qui sont susceptibles d’être de la non qualité et en discuter avec nos partenaires (l’Alliance francophone pour la qualité et la gestion des risques) et nous allons donc réfléchir dans ce cadre, échanger des expériences, renforcer ce que nous sommes en train de faire de bon et laisser ce que nous étions en train de faire de mauvais ». Pour sa part, le président du Comité scientifique; M.Wade estime que cette rencontre de partage qui se tiendra à Dakar, va être axée sur l’acuité et la pertinence sans commune mesure du thème « Qualité et sécurité des soins en Afrique : retour d’expériences, opportunités et perspectives ». A cela, M. Wade ajoute que "les professionnels de l’Alliance Francophone et des administrateurs de Services de Santé vont démontrer leur ancrage infaillible à la démarche qualité et la sécurité des soins délivrés aux populations de la communauté francophone". Cheikh Makhfou Diop Leral.net Au moins 269 personnes sont décédées au cours des cinq derniers mois lors d'une nouvelle épidémie de méningite qui frappe plusieurs Etats du Nigeria, ont annoncé mercredi des responsables du secteur de la santé.
''Pour le moment, nous avons recensé 1.828 cas (...) et enregistré 269 décès dans une quinzaine d'Etats", a annoncé Olubunmi Ojo, du Centre national de surveillance des maladies, sur une télévision locale.
Au moins cinq Etats du nord du pays -Sokoto, Zamfara, Katsina, Kebbi, Niger- et le Territoire fédéral de la capitale Abuja sont les plus sévèrement touchés par cette maladie mortelle et ont atteint le seuil épidémique, a ajouté ce responsable. Ces six états comptabilisent 1.090 personnes infectées et 154 décès, a précisé de son côté à l'AFP Nasir Sani Gwarzo, responsable du contrôle des maladies au ministère fédéral de la Santé à Abuja.
La vitamine D est une vitamine très importante dans notre organisme, car elle permet au calcium que l’on ingère de mieux se fixer sur les os. En plus de contribuer à la santé de notre squelette (os et dents), la vitamine D joue aussi un rôle sur la croissance osseuse des enfants, et aide à prévenir certaines pathologies (hypertension, obésité, cancers, diabète, etc). Mais ce qu’il y a de «compliqué» avec la vitamine D, c’est de l’apporter à notre corps. En effet, cette vitamine n’est pas naturellement présente dans notre organisme.
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