Santé
Et si le tant convoité secret de la jeunesse éternelle résidait tout simplement dans le fait d’être noir? Cette expérience a été vécue par tous au moins une fois : « ce moment où une connaissance ou un parent confesse son âge et que les yeux nous sortent de la tête tant il paraît plus jeune ». Cette pensée populaire voulant que les Noirs vieillissent moins vite a fait l’objet d’une étude menée par le Dr Alexa Kimbell du département de médecine dermatologique de la prestigieuse université de Harvard. Dix ans d’observation Initiée en 2012, cette étude américaine a, pour la première fois, allié les génotypes aux phénotypes. Le Dr Alexa Kimbell a ainsi observé le processus de vieillissement en sélectionnant plusieurs femmes issues de groupes ethniques différents : des africaines, des caucasiennes, des asiatiques et des hispaniques. Ces dernières étaient âgées de vingt à soixante-dix ans et ont été suivies pendant dix ans. Une molécule déterminante L’étude a ainsi révélé que le processus de vieillissement des femmes d’origine africaine est plus lent de dix ans comparé aux autres groupes ethniques. Il est déjà de notoriété publique que la forte concentration de mélanine dans les peaux noires favorise une protection naturelle et efficace contre les UV, qui contribuent au vieillissement de la peau. Cependant, ce qui est inédit dans la démarche du Dr Kimbell, c’est qu’elle a concentré son étude sur une molécule déterminante, jusque-là ignorée, quant à la cause du processus de vieillissement de la peau. Ainsi une nouvelle théorie voit le jour et met en lumière la jeunesse physique conservée par les femmes d’origine africaine même au-delà d’un certain âge. amina-mag.com
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La Journée africaine de lutte contre la drépanocytose a été célébrée hier, mercredi 10 mai 2017. Une date choisis par le centre Albert Royer de l’hôpital de Fann pour inaugurer son unité de soins ambulatoires pour enfants et adolescents atteints de cette maladie. A cette occasion, le Secrétaire général du ministère de la Santé M. Ibrahima Wane a laissé entendre que près de 10% de la population sénégalaise vit avec cette maladie et la plupart d’entre eux meurent.
La drépanocytose reste une des maladies compliquées au Sénégal. Selon le Secrétaire général du ministère de la Santé, M. Ibrahima Wane, c’est 10% de la population (1 400 000 personnes) qui vivent avec ce problème de santé dont 0.5% de forme majeure et la plupart d’entre eux meurent. « Le pire, dit-il, aujourd’hui, 1700 enfants nouveaux-nés sont porteurs. Au niveau du centre Albert Royer, la drépanocytose occupe la quatrième place de consultation et la troisième en hospitalisation ».
Une situation à remédier pour soulager ces personnes. Pour s’y faire, il pense que ce qu’il faudra faire présentement, c’est de mettre l’accent sur deux axes majeurs que sont la prévention primaire et la prise en charge précoce. Pour aider ces malades et relever le défi, il préconise aussi une amélioration de la qualité des soins. Ce, en renforçant davantage la formation des différents acteurs et des médecins. A l’en croire, il faudra mettre en œuvre les recommandations des organisations internationales en créant des réseaux de suivi et de sensibilisation auprès des populations. Il informe que depuis 16 ans, le gouvernement du Sénégal et le gouvernement Princier de la principauté de Monaco coopèrent afin d’améliorer les conditions de vie des groupes vulnérables. Le Directeur général de l’hôpital Albert Royer, M. Thierno Seydou Ndiaye rappelle que l’objectif principal visé à travers cette coopération, c’est entre autres, de soutenir les personnes atteintes par la maladie surtout celles qui n’ont pas assez de moyens pour la prise en charge de leurs soins médicaux mais également pour les soulager le maximum possible. Pour le financement d’un tel édifice, il avance que le montant du projet est de 1 149 600 Euros dont 484 225 supportés par la principauté de Monaco et le reste soit 605 375 Euros, par le Sénégal. De l’avis de la directrice des Relations extérieures et de la Coopération internationale, Mme Isabelle Rosabrunnetto, cette unité de soins a une capacité litière de 15 lits, 3 espaces d’attente d’une capacité de 40 places, 4 Salles de consultation ainsi qu’une unité de laboratoire équipée. Elle compte aussi un box de consultation pour les vacataires et des bureaux abritant le personnel technique et l’association sénégalaise de lutte contre la drépanocytose. Direct Info
Ce que l’on appelle « l’effet Angelina Jolie » a eu du bon dans le quotidien de certaines femmes. Il a permis entres autres de lever le tabou sur la mastectomie, cette ablation des seins que de plus en plus de femmes choisissent de faire, en prévention d’un cancer du sein. Mais il est parfois trop tard et le cancer s’installe. Un étudiant mexicain de 18 ans, Julian Rios Cantù, a créé avec 3 collègues de son entreprise Higia Technologies, « Eva », un soutien-gorge capable de détecter le cancer du sein.
L’idée lui est venu après les deux cancers du sein par lesquels sa mère est passée avant de subir une mastectomie. Ce sous-vêtement peu commun est équipé de 200 capteurs sensoriels qui évaluent la texture, la température et la couleur de la peau des seins. Porté entre 60 et 90 minutes par semaine, il permet d’obtenir des mesures régulières pour révéler d’éventuels changements sur la poitrine. Si la chaleur sur soutien-gorge augmente, c’est pour signifier que le débit sanguin est plus important, et qu’il est possible que les vaisseaux alimentent quelque chose comme des cellules cancéreuses. Les informations récoltées sont alors envoyées par bluetooth sur une application qui analyse les données grâce à un algorithme et les transmet au patient et à son oncologue. Le soutien-gorge Eva ne se veut pas comme une substitution de la mammographie, mais son créateur voit en lui un moyen supplémentaire pour détecter les cancers du sein. Selon Cynthia Villarreal, docteur au département d’oncologie de l’institut national de cancérologie de México, ce soutien-gorge est « un projet très innovant, qui permettra certainement une grande avancée dans le diagnostic du cancer du sein » et permettra ainsi aux femmes « de détecter des anomalies qui ne sont pas nécessairement faciles à détecter lors des palpations ». une avancée qui permettra de déceler plutôt ce type de cancer chez les femmes, le plus fréquent auprès des Françaises et qui cause près de 12 000 décès chaque année.
Le Sénégal enregistre chaque année plus de 2500 nouveaux cas de diabétiques, a révélé lundi le directeur du Centre de diabétologie Marc Sankalé, Professeur Saïd Nourou Diop.
"Chaque année, nous avons plus de 2500 nouveaux cas de diabète. Au centre Marc Sankalé, nous avons actuellement plus de 43 000 dossiers dont 60 à 70 % ont un niveau économique faible", a-t-il notamment dit, notant qu’il y a eu 422 millions de diabétiques dans le monde en 2016. Le Pr Diop s’exprimait au cours d’un point presse sur le thème : "Surmonter les challenges des patients diabétiques au Sénégal : rôle des acteurs publics et privés". Initiée par les laboratoires Sanofi, cette rencontre a suivi une visite de terrain effectuée dans deux cliniques de diabète et de l’hypertension artérielle, dans les centres de santé Philippe Maguilène Senghor de Yoff et Mame Abdoul Aziz Sy des Parcelles Assainies. "L’enquête STEPS de 2015 réalisée par le ministère de la Santé et de l’Action sociale et menée sur 6306 personnes de 18 à 69 ans au Sénégal a montré une prévalence du diabète de 3, 45 % au niveau de la population générale", a précisé Pr Saïd Nourou Diop. "Sur les personnes de plus de 40 ans, un adulte sur 20 est touché par le diabète", a encore expliqué le directeur du centre de référence de la prise en charge de la maladie Marc Sankalé, créé en 1965 sous le nom de Centre du diabète de Dakar. Revenant sur les facteurs de risque de cette maladie chronique caractérisée par une augmentation du taux de sucre dans le sang, il a indiqué que "l’hérédité est retrouvée dans 25 % des cas de diabète de type 2. Viennent ensuite l’hypertension artérielle à 24 %, l’obésité et le surpoids à 22 et l’augmentation du cholestérol à plus de 19 %". Concernant les efforts du gouvernement dans la lutte contre le diabète, le Pr Diop a affirmé que, "depuis quelques années, une subvention de 300 millions de francs CFA est dégagée pour l’achat de l’’insuline". Le Sénégal pourrait se voir accorder "plus de 15 milliards FCFA du Fonds mondial de lutte contre le sida, le paludisme et la tuberculose", annonce un communiqué de presse du ministère de la Santé et de l’Action sociale.
Ce financement, qui s’inscrit dans le cadre du prochain cycle d’allocations 2018-2020, devrait être acquis à l’issue du Conseil d’Administration du fonds, qui se tient à Kigali (Rwanda) les 3 et 4 mai 2017.
Selon ce communiqué, le ministre de la Santé et de l’Action sociale, Eva Marie Coll Seck, participe, en sa qualité de membre, à cette 37e réunion du Conseil d’administration du Fonds mondial. A la tête d’une "importante délégation", elle y "défend les intérêts des pays de l’Afrique de l’Est et du Centre", souligne le document. La rencontre, qui a été ouverte mercredi en présence de Paul Kagamé, président de la République du Rwanda, "se penche sur le système sanitaire" des pays de ces deux régions africaines. La première journée a été marquée par des décisions relatives entre autres, à la gouvernance, aux performances des programmes et aux performances financières, à la mobilisation des ressources, au taux d’absorption des fonds alloués aux pays... Un panel de haut niveau a été organisé avant la réunion, avec la participation du ministre de la Santé et de l’Action sociale, de son collègue des Finances du Rwanda, du Directeur exécutif du Fonds mondial, du secteur privé (Ecobank) et de plus de 200 autres participants. Les discussions ont "porté sur l’augmentation des ressources domestiques nationales pour la santé, à travers des stratégies et mécanismes innovants, tels que les taxes sur le tabac, les alcools et les boissons sucrées, les transactions financières ou les télécommunications". Le Quotidien Sucre, caféine, acides aminés, vitamines, extraits de plantes... La composition des boissons énergisantes est connue. Si il est évident que ce cocktail est nocif, voire très dangereux, une étude américaine a mis en lumière les effets concrets que ces boissons ont sur le corps.Une étude publiée par le Journal of the American Heart Association a mis à contribution 18 bénévoles sains. La moitié des participants à l'expérience ont bu un mélange de jus de fruit, de sirop et d'eau gazeuse et l'autre moitié, une boisson énergisante. Chacune des deux boissons contenait la même dose de caféine (320 mg). Six jours après, les cobayes ont échangé de boisson et les chercheurs ont réitéré leurs expériences. Les scientifiques concluent leur étude en faisant remarquer que de nouvelles recherches sont nécessaires pour évaluer les effets individuels de chacun des composants des boissons énergisantes. Chacun aimerait avoir un sourire séduisant, et les dents sont le point focal qu’il faut entretenir pour donner cette belle image aux autres. Vous aurez besoin d’un certain nombre d’ingrédients que vous pouvez trouver dans votre magasin à savoir du: bicarbonate de soude et du citron. Assurez-vous que ces deux ingrédients vous soient accessibles, puis suivez ces étapes si vous souhaitez utiliser correctement ce traitement à domicile:
Regardez dans le miroir et voyez comment vos dents sont devenues plus blanches. Vous ne devez pas répéter cette procédure trop souvent et abuser de ses avantages, car cela peut créer de l’usure sur votre émail dentaire. Utilisez notre astuce avec modération afin d’éviter les effets secondaires sur vos dents. Les raisins sont des fruits excellents pour la santé et qui sont utilisés dans plusieurs remèdes. Ils sont délicieux au goût et sont très rafraîchissants. De plus, leur jus a des effets bénéfiques sur la santé. C’est donc un fruit à ajouter à sa liste.
Le raisin est excellent pour combattre les allergies saisonnières et diminuer l’inflammation dans le corps. C’est un fruit qui est riche en fibre, en vitamine C, en vitamine A, en potassium, en fer et en folate.
Ingrédients: - 2 bols de raisins rouges, congelés pendant au moins 3 heures - 1 verre d’eau de noix de coco - Le jus d’un citron vert Méthode: - Mélangez tous les ingrédients - versez dans un verre - Ajoutez une ou deux feuilles de menthe sur le dessus. afriquefemme.com Certains fruits et légumes peuvent vous aider à combattre des petits maux de la grossesse : les nausées ou la constipation par exemple. Petit guide pour vous aider, enceinte, à composer votre assiette.
Le gingembre et les fruits, contre les nausées matinales
Son petit goût piquant peut en surprendre certaines, mais cette racine exotique constitue un traitement efficace et sans danger contre les nausées ou les vomissements du premier trimestre. Les futures mamans peuvent le consommer frais, tranché ou râpé, à raison de 10 g par jour (une tranche d'environ 6 mm de diamètre et 7 mm d'épaisseur) ou séché. Dans ce cas 2 g par jour suffisent. Mais aussi les fruits et légumes riches en vitamine B6 comme l’ail, le poivron, l’avocat. Sans oublier les bananes et les fruits secs (noix et noisettes). Les fruits secs, pour stopper la constipation Les légumes, riches en fibres, améliorent le transit intestinal et aident donc à lutter contre la constipation, mais aussi contre les hémorroïdes, fréquentes au cours de la grossesse. 25 à 30 g de fibres chaque jour sont recommandés. Vous les trouverez principalement dans les fruits secs (figue, noix de coco, noix de pécan, abricots ou raisin). Si vous préférez les fruits ou les légumes frais, faites le plein de baies rouges (framboise, cassis, groseille) ou de fruits exotiques (fruit de la passion ou goyave) mais également de petits pois, de poireaux ou de céleri-rave, ils en regorgent. Les épinards et la laitue, pour le système nerveux fœtal L’acide folique, aussi appelé vitamine B9, joue un rôle essentiel dans le développement du système nerveux du bébé. Dès que l’envie d’une grossesse se précise, précipitez-vous sur les fruits et légumes qui en contiennent le plus. Ce sont ceux à feuilles vertes comme les épinards, les choux de Bruxelles, les brocolis ou la laitue. Côté fruits, on en trouve dans le melon, la mangue, les framboises, les bananes ou les oranges. Contre l’anémie : les lentilles Les besoins en fer sont plus élevés lors de votre grossesse, et une carence en fer peut conduire à l’anémie. Heureusement, la nature est bien faite, et pour répondre à la diminution des réserves maternelles, les capacités de l’absorption intestinale du fer augmentent. C’est donc le moment de faire main basse sur tous les légumes qui en contiennent. Fèves, pois chiches, lentilles et épinards sont les champions de cette catégorie. Mais on trouve aussi cet oligo-élément dans les fruits secs, tels les noix de cajou, les amandes et les raisins. En revanche : évitez de boire du thé pendant les repas, il diminue l’absorption du fer. Abusez plutôt des végétaux, riches en vitamine C, qui permettent d’accroître par deux ou trois son absorption. Pour le tonus: les agrumes et herbes aromatiques La vitamine C joue un rôle primordial au niveau de votre immunité et lutte contre les infections. C’est aussi l’amie du fer et du collagène, substance qui assure la tenue des différents tissus du corps (peau, os, placenta). Un manque de vitamine C peut être évité si vous mangez suffisamment d’agrumes (orange, pamplemousse, mandarine…), de kiwi, de goyave, de cassis, mais aussi de poivrons ou de brocolis. Pensez à parsemer vos salades d’herbes aromatiques, qui en sont riches, comme le persil ou la coriandre ! Contre les crampes : les légumes verts et secs Les crampes musculaires au niveau des jambes sont fréquentes au cours de la grossesse, spécialement au cours des derniers mois. Une alimentation riche en magnésium permet d’améliorer ces désagréments et de combler une insuffisance, fréquente au cours de la grossesse. A vous les légumes verts, les légumes secs (haricots blancs, lentilles, pois cassés) et les noix, noisettes et amandes… afriquefemme.com Un psychiatre consulté par le gouvernement Couillard, l'a mis en garde contre les possibles dérives associées à la légalisation du cannabis.Les adolescents seraient particulièrement vulnérables, a affirmé le docteur Didier Jutras-Aswad, en entrevue avec La Presse canadienne, mercredi. M. Jutras-Aswad est médecin psychiatre, chercheur et directeur de l'Unité de psychiatrie des toxicomanies du Centre hospitalier de l'Université de Montréal. Il est également professeur au département de psychiatrie de l'Université de Montréal. «Il y a un consensus chez les scientifiques et les experts quant à cette association-là», a dit M. Jutras-Aswad. «L'autre grand champ, je dirais, c'est toute la question de l'effet du cannabis sur les fonctions cognitives, par exemple, l'attention, la mémoire, l'impulsivité, où on sait que le cannabis a cette propriété d'altérer, de diminuer les fonctions cognitives, d'avoir un impact négatif sur plusieurs fonctions du cerveau.» Mercredi, à la veille du dépôt très attendu d'un projet de loi fédéral qui légaliserait la marijuana, l'Association des psychiatres du Canada (APC) a recommandé de fixer à 21 ans, l'âge légal minimal pour la consommation de cannabis, plutôt que 18 ans, comme c'est le cas pour l'alcool. Elle a aussi demandé que des restrictions soient établies sur les quantités et la teneur en THC permises jusqu'à l'âge de 25 ans. Le THC, ou tétrahydrocannabinol, est l'ingrédient qui provoque les effets recherchés par les consommateurs de cannabis. La marijuana plus forte qu'avant Le docteur Jutras-Aswad a affirmé que la marijuana est de 300 à 400 % plus forte qu'elle l'était il y a 30 ans. Une personne sur dix qui consomme du cannabis va développer une dépendance à la substance ou un trouble lié à son usage, a-t-il dit, en ajoutant que les jeunes Canadiens sont parmi ceux qui consomment le plus de «pot» au monde. De plus, ces personnes ont plus de risques de consommer d'autres drogues illicites, comme la cocaïne, l'héroïne ou les amphétamines, a-t-il indiqué. Sans vouloir «démoniser» la marijuana, M. Jutras-Aswad a ajouté que son usage menait à l'initiation et au maintien du tabagisme. Le Québec devra travailler pour prévenir l'usage problématique du cannabis, a dit celui qui en a vu de toutes sortes à l'Unité de psychiatrie des toxicomanies du CHUM. «Il faut connaître les risques réels, mais en même temps, je pense qu'il ne faut pas les exagérer», a-t-il dit. «Si on dit à tous les jeunes que le cannabis cause la schizophrénie, les jeunes vont nous répondre:Ben, dans la cour d'école, j'ai plein d'amis qui prennent du cannabis, pis c'est pas vrai que tout le monde a développé une schizophrénie.» «Il faut arriver à donner des informations qui sont justes, qui sont assez nuancées, mais en même temps qui sont compréhensibles et assez vulgarisées, et ça je pense que ça va être le grand grand défi des gens qui sont responsables de la santé publique, notamment au Québec.» D'après lui, le gouvernement Couillard devra se pencher uniquement sur les enjeux de santé publique, et non penser «à faire de l'argent». Il recommande que le réseau de distribution de cannabis soit placé sous l'égide de l'État, mais non intégré aux succursales de la SAQ, car «on pourrait s'inquiéter de la consommation combinée des deux substances». |