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Santé

L'Organisation mondiale de la santé (OMS) relève dans une étude rendue publique mercredi, que la fréquence des cancers chez les enfants a été 13% plus élevée dans les années 2000 que dans les années 1980.


Afrique: Les cancers ont augmenté chez les enfants, estime l'OMS

Attribuant cette hausse à une meilleure détection mais aussi aux facteurs environnementaux, le texte note qu'entre 2001 et 2010, l'incidence des cancers chez les enfants de moins de 14 ans a été de 140 cas pour 1 million d'enfants par an. « Une partie de cette augmentation peut être due à une détection meilleure ou plus précoce de ces cancers », relève l'analyse.

Selon cette étude coordonnée par le Centre international de recherches contre le cancer (CIRC), l'agence spécialisée de l'OMS, le cancer le plus répandu dans cette tranche d'âge est la leucémie (presque un tiers des cas), suivie par les tumeurs du système nerveux central (20%) et les lymphomes. Les auteurs du document sont parvenus à ce constat après avoir analysé environ 300.000 cas diagnostiqués dans 62 pays.

Pour ce qui est de l'augmentation de l'incidence des cancers pédiatriques, elle pourrait être influencée par « des facteurs extérieurs, tels que des infections ou certains polluants présents dans l'environnement », écrit l'agence de recherche.
 

S'agissant des adolescents de 15 à 19, l'étude signale que la fréquence des cancers est estimée à 185 cas pour 1 million de personnes chaque année. Le Lymphome est alors le plus fréquent (23% des cas), devant les carcinomes et les mélanomes (cancers de la peau, 21%).

Les chiffres observés sont probablement encore sous-estimés, en particulier dans les pays à faible revenu, du fait de la sous-déclaration des cas de cancer, et du manque d'équipements de diagnostic, selon l'analyse.

Le directeur du CIRC, Christopher Wild, espère que les données de cette étude aideront « à sensibiliser, mieux comprendre et mieux combattre ce domaine négligé de la santé au début de la vie ». « Le cancer est une cause significative de décès chez les enfants et les adolescents, en dépit de son occurrence relativement rare avant l'âge de 20 ans », souligne-t-il.

source: fr.allafrica.com

 
 

Une nouvelle étude suggère que pour entretenir une relation, le sexe a non seulement un effet satisfaisant à court terme, mais également des effets positifs à long terme.


Menée par des chercheurs de la Florida State University, l'étude se basait sur l'hypothèse selon laquelle si le sexe est essentiel à la reproduction, et bien sûr source de plaisir, il joue également un autre rôle, celui de raffermir les liens du couple.

La plupart des gens déclarant avoir des relations sexuelles à intervalle de quelques jours, et non pas tous les jours, les chercheurs ont cherché à savoir quel effet le sexe pouvait avoir à court terme en matière de satisfaction sexuelle, et comment il pouvait créer et maintenir le lien de couple entre deux actes sexuels.

Ils désiraient également savoir si les relations sexuelles pouvaient avoir un effet positif à plus long terme sur la relation de couple.

Pour tester leur hypothèse, les chercheurs ont examiné des données extraites de deux études longitudinales indépendantes, l'une portant sur 96 couples venant tout juste de se marier, et l'autre sur 118.

Un sentiment de satisfaction de 48 heures
Ces couples avaient tous rempli pendant au moins trois jours consécutifs un journal intime dans lequel, chaque nuit, avant de s'endormir, il leur était demandé d'indiquer s'ils avaient eu des relations sexuelles ce jour-là. Qu'ils aient eu des relations ou non, ils devaient aussi noter leur niveau de satisfaction par rapport à leur vie sexuelle, et par rapport à leur partenaire, leur relation et leur mariage.

La qualité de leur mariage était également mesurée au début de chaque étude puis quatre à six mois plus tard.
Les entrées des journaux intimes montrent qu'en moyenne, les participants déclaraient avoir eu des relations sexuelles au cours de quatre des 14 jours qu'avait duré chaque étude, les réponses étant très variables selon les couples.

Toutefois, quelle que soit la fréquence des relations sexuelles, les chercheurs ont constaté qu'avoir des relations sexuelles un jour donné, conduisait à une satisfaction sexuelle non seulement le jour même, mais également le lendemain et même deux jours après. Ainsi, un seul acte sexuel procurait au couple un "afterglow" (sentiment de satisfaction) de 48 heures).

Ce sentiment de satisfaction se retrouvait tant chez les hommes que chez les femmes, quel que soit leur âge, et après avoir éliminé les autres facteurs pouvant jouer un rôle, notamment les traits de caractère et la durée de la relation.

Des études qui concordent
Même si l'équipe de scientifiques a pu constater qu'en général, le niveau de satisfaction maritale avait décliné entre le début de l'étude et la session finale, quatre à six mois plus tard, les couples qui rapportaient un sentiment de satisfaction plus fort 48 heures après un acte sexuel, étaient également ceux dont le niveau de satisfaction maritale, au début de l'étude, était le plus élevé et qui avaient connu une baisse moins prononcée après quatre à six mois de mariage.

Les deux études examinées fournissant des résultats similaires, les chercheurs pensent qu'elles fournissent une indication forte soutenant la théorie selon laquelle le sexe et la satisfaction sexuelle sont liés à la qualité de la relation dans le temps, et servent à raffermir les liens de couple.

Les résultats sont publiés (en anglais) sur le site de la revue Psychological Science, éditée par l'Association for Psychological Science.


Relaxnews
 

Apres leur formation, les jeunes pharmaciens peinent à s’insérer dans le monde du travail. C’est dans ce cadre que l’Union des jeunes pharmaciens a organisé un panel, samedi dernier, orienté sur trois thématiques. S’exprimant en ce sens, Dr Annette Seck, directrice de la Pharmacie nationale d’approvisionnement, a invité des confrères à saisir l’opportunité de la reconstruction du schéma de distribution de médicaments essentiels.


Le cri de cœur des jeunes pharmaciens: l’officine ne recrute plus
L’Union des jeunes pharmaciens du Sénégal a organisé, samedi dernier, une rencontre à Dakar. Venue y assister, Dr Annette Seck, directrice de la Pharmacie nationale d’approvisionnement, a salué l’initiative des jeunes pharmaciens qui voudraient, à un moment donné, faire le bilan de la formation, mais aussi celui de l’insertion.

« Cette rencontre nous permet de réfléchir ensemble sur les innovations. Comment se présente aujourd’hui le secteur et quelles sont les nouvelles possibilités qui sont offertes au secteur et qui pourraient vraiment être développées ? C’est dans ce cadre que j’ai parlé à mes jeunes confrères en leur disant qu’aujourd’hui, des initiatives de distribution, en tout cas la reconstruction du schéma de distribution de médicaments essentiels, est une opportunité à saisir par les pharmaciens », a-t-elle dit. A l’en croire, les pharmaciens doivent s’atteler à sécuriser le médicament.

Et pour cela, dit-elle, "il faut que sur toute la chaîne d’approvisionnement, nous fassions de sorte que le médicament soit entre les mains d’experts". « Il faut qu’à tous les niveaux de la pyramide sanitaire, du niveau central au niveau régional, que nous ayons des pharmaciens qui soient dans les structure sanitaires pour pouvoir travailler ensemble à sécuriser le médicament et éviter que le médicament soit manipulé par des non professionnels », a-t-elle plaidé.

L’insertion des jeunes pharmacien est de plus en plus compliquée 
Pour sa part, le président de l’Union des jeunes pharmaciens du Sénégal est revenu sur les difficultés que rencontrent les jeunes pharmaciens. « On vient de clôturer une tournée de consultation et de concertation avec toutes les instances de la profession. Il y a des jeunes pharmaciens qui se retrouvent au chômage. Leur insertion est de plus en plus compliquée », a-t-il dit. Avant de poursuivre : « c’est la raison pour laquelle, nous nous sommes organisés en invitant tous les acteurs de la profession autour de trois thématiques qui nous permettent de formuler des recommandations afin d’accompagner tous les jeunes pharmaciens à s’insérer facilement, mais aussi que nous ayons une même vision dans l’interprétation des textes de la profession ».

C’est ainsi que le premier panel a porté sur « l’état des lieux sur la législation pharmaceutique » le second sur « les secteurs d’employabilité du pharmacien » et le troisième sur « les perspectives d’insertion professionnelle ». il faut dire que des recommandations ont été formulées au terme de cette journée pour mieux prendre en charge la question de l’insertion des jeunes pharmaciens.


Rewmi Quotidien

 

Pas moins de 123 000 personnes vivent avec le diabète en 2015. Et le ministère de la Santé et de l’Action sociale semble déterminé à prendre les devants. En effet, deux centres de diabétologie sont prévus bientôt à Kaolack et Diourbel.


Extension de l’offre de soins pour le diabète: deux centres prévus à Kaolack et Diourbel pour soulager les 123 000 diabétiques du Sénégal
Le ministère de la Santé et de l’Action sociale (MSAS) a signé, dans les locaux de ladite structure, un mémorandum qui débouchera à la matérialisation de deux centres de diabétologie à Kaolack et à Diourbel. Ces structures intègrent le projet « Base de Pyramide (BOP) » et le programme « Changing Diabète in Children ».

Parlant de cet engagement, Jean Paul Digy, vice-président de Corporate Novo Nordisk Région Afrique, a indiqué que ces initiatives offriront l’accès aux soins du diabète et à l’insuline gratuite pour les enfants atteints de diabète de type 1 enrôlés dans le projet jusqu’à l’âge de 18 ans et faciliteront l’accès aux soins du diabète pour les travailleur a faible revenu.

Cette coopération vise également l’atteinte des Objectifs de Développement Durable (ODD) au Sénégal. « Changing Diabètes in Children établira plusieurs cliniques du diabète et y formera des médecins. Le projet de la base de la Pyramide (BOP) en fera de même avec des centres d’excellence en dehors de Dakar, cette année », a dit Jean Paul Digy.

En 2040 le Sénégal devrait compter 300 000 diabétiques

"C’est une manière de décentraliser le traitement et de permettre de détecter non seulement la totalité des diabétiques, mais aussi de fournir des soins de qualité à l’ensemble des malades, en veillant en même temps au suivi", a-t-il ajouté, en annonçant que, « ce mémorandum aboutira aussi à la construction de centres de diabétologie à Kaolack et à Diourbel ».

Se réjouissant d’une telle opportunité, Mme Awa Marie Coll Seck, ministre de la Santé et de l’Action sociale a déclaré : « il existe des petites unités dans les différentes régions. Seulement, il faut des centres de référence dignes de ce nom pour mieux réussir la décentralisation du traitement du diabète ».

D’après elle, à travers ce programme, il s’agira de former d’avantage de médecins pour mieux booster les chances de dépistage précoce qui joue un rôle majeur dans la suivi et le traitement. Et de dire, « car plus la maladie est très tôt détectée ; plus le traitement est moins compliqué. D’où la nécessité d’intégrer la direction de l’Action sociale dans la lutte, comme le diabète a besoin de bénéficier de la Couverture maladie universelle ».

"Il faut que le diabète soit une maladie comme les autres pour qu'à l’image des autres pays, les diabétiques du Sénégal puissent avoir une espérance de vie égale à celle de tous les autres", préconise-t-elle.

Une posture qui va certainement rassurer les malades du diabète. Car d’après la Fédération internationale de diabétiques, en 2015, au Sénégal, pas moins de 123 000 personnes vivaient avec le diabète. Ce nombre, d’après la Fédération, devrait augmenter de 146% d’ici 2040, pour atteindre 300 000 personnes.

Vox Populi
Le tabac a tué plus de 6 millions de personnes…
Deuxième facteur de risque de mort précoce, le tabac a tué 6,4 millions de personnes dans le monde en 2015.
Un chiffre qui pourrait augmenter encore car les industriels du tabac visent désormais les pays en développement. Selon une étude publiée dans ‘’The Lancet’’, les décès liés au tabagisme ont augmenté de 4,7% dans le monde depuis la fin des années 1990 et 2015, et montrent que le tabagisme demeure un facteur de risque de décès et d’invalidité.

Dans le monde, un milliard de personnes fumaient quotidiennement en 2015 dont un homme sur quatre et une femme sur vingt. Un décès sur dix dans le monde (soit 6,4 millions de morts) est lié au tabagisme.

Bien que la politique de prévention commence à porter ses fruits, l’augmentation démographique a entraîné une augmentation du nombre de fumeurs dans le monde.

directinfo

Selon une source, le ministère de la Santé et de l'Action sociale a déclenché une alerte pour barrer la route à l’épidémie de méningite qui a fait des ravages au Nigéria. Mais, une visite effectuée dans quelques districts de santé à Dakar permet de savoir que cette mesure n'est pas encore effective à leur niveau.


Des moyens déployés pour contrecarrer la méningite
A l’hôpital Philippe Maguilène Senghor, l'entrée est libre. C'est un district de santé de Dakar qui accueille beaucoup de malades. A l'intérieur d'une salle, dans le couloir qui mène au bureau du médecin, une file d'attente de patients attire l'attention du visiteur. Il a fallu attendre plus d'une heure pour soutirer un mot au maître des lieux. Selon le médecin des urgences, Dr Alioune Diop, ils n'ont reçu aucune alerte du ministère de la Santé et de l'Action sociale par rapport à l'épidémie de méningite qui a été signalée au Nigéria. "A notre niveau, nous n'avons reçu aucune alerte concernant la méningite. On ne peut pas prendre des dispositions si on n'est pas informé. D'habitude, nous recevons des messages ou des mails s"il y a alerte. Mais, cette fois-ci, on n'a rien reçu", clarifie Dr Alioune Diop.

Le constat est le même à l’Hôpital général de Grand-Yoff. Le médecin-chef des urgences, Dr Sylva abonde dans le même sens. "Nous n'avons reçu aucune alerte. Il n'y a pas encore de cas au Sénégal", précise Dr Sylva qui poursuit: "Cette maladie de (souche C) n'est pourtant pas si contagieuse. Celle-ci était présente au Sénégal en 2012 et on l'a maîtrisée. Nous avons des méthode techniques pour l'anéantir donc il n'y a pas à s'alarmer."

Le chef du Service national de l'éducation et de l'information pour la santé, Dr Aloyse Diouf soutient qu'ils ne sont pas au courant de cette alerte. "Nous n'avons pas encore reçu une alerte car au niveau du ministère, avant d'alerter, ils vérifient d'abord pour ne pas effrayer la population. Mais heureusement aucun cas n'a été signalé au Sénégal. En termes de disposition ce n'est pas comme la maladie à virus Ebola qui n'était pas connue par les Sénégalais. Pour la méningite, nous avons les moyens techniques qui permettent de la vaincre", témoigne Dr Diouf. Selon lui, il faut néanmoins des mesures de prévention pour lutter contre épidémie.

"Ce n'est pas la première fois que l'espace Cedeao se trouve confronté à ce genre de pathologies. Et comme nous partageons la même communauté économique avec le Nigéria, il est évident que quand il y a une épidémie quelque part en Afrique de l'Ouest, nous n'avons plus de droit de rester les bras croisés. Toutefois, il nous faut garder la sérénité et savoir qu'il ne sert à rien de s'alarmer car la menace n'est pas si poussée. Donc, il n'y a pas encore de dispositif particulier", ajoute-t-il.

La méningite peut faire énormément de dégâts si des mesures préventives ne sont pas trouvées à l'avance. Dans ce cadre, une source informe que le ministère de la Santé et l'Action sociale est en train de déployer des moyens de prévention pour contrecarrer cette pandémie. Mais, le constat est qu'au niveau des hôpitaux, cette mesure n'est pas encore au rendez-vous.

Walf Quotidien
Reins : 10 habitudes mortelles qui nuisent à vos reins

Reins : 10 habitudes mortelles qui nuisent à vos reins


 

habitudes mortelles qui nuisent à vos reins

Nos reins sont super importants pour notre santé.

Ils filtrent le sang, produisent des hormones, absorbent les minéraux, éliminent les toxines, et neutralisent les acides. Vos reins étant l’un des organes les plus importants de votre corps, ils méritent bien un peu d’amour.

Les dégâts ou le déclin constant de vos reins peuvent souvent passer inaperçus pendant des années car vos reins peuvent fonctionner avec seulement 20% de leurs capacités. C’est pour cette raison qu’on appelle souvent les maladies rénales « les maladies silencieuses. » C’est pourquoi il est si important de prendre soin d’eux avant qu’il ne soit trop tard .

Voici une liste de 10 habitudes communes qui mettent beaucoup de pression sur vos reins et peuvent causer de sérieux dégâts au fil du temps.

1. Ne pas boire assez d’eau

La fonction la plus importante de vos reins est de filtrer le sang et d’éliminer les toxines et les déchets. Quand vous ne buvez pas assez d’eau pendant la journée, les toxines et les déchets commencent à s’accumuler et peuvent causer de graves dégâts sur votre corps.

2. Trop de sel dans l’alimentation

Votre corps a besoin de sodium ou de sel pour fonctionner correctement. Cependant, la plupart des gens consomment trop de sel qui peut élever la pression artérielle et mettre beaucoup de pression sur les reins. Il ne faut pas consommer plus de cinq grammes de sel par jour.

3. Souvent retarder l’appel de la nature

La plupart des gens ignorent le besoin d’y aller parce qu’ils sont trop occupés ou veulent éviter les toilettes publiques. Retenir l’urine sur une base régulière augmente la pression de l’urine et peut provoquer une insuffisance rénale, des calculs rénaux, et de l’incontinence. Alors, écoutez votre corps quand il y a l’appel de la nature.

4. Débarrassez-vous de l’habitude du sucre

Des études scientifiques prouvent que les personnes qui consomment 2 ou plusieurs boissons sucrées par jour sont plus susceptibles d’avoir des protéines dans leur urine. Avoir des protéines dans les urines est un signe précoce que vos reins ne fonctionnent pas correctement.

habitudes mortelles qui nuisent à vos reins

habitudes mortelles qui nuisent à vos reins

5. Des carences en vitamines et en minéraux

Avoir une alimentation saine et équilibrée avec des fruits et des légumes frais est important pour votre santé globale et une bonne fonction rénale. De nombreuses carences peuvent augmenter le risque de calculs rénaux ou d’insuffisance rénale. La vitamine B6 et le magnésium, par exemple, sont très importants pour réduire le risque de calculs rénaux.

6. Trop de protéines animales

La surconsommation de protéines, en particulier la viande rouge, augmente la charge métabolique sur vos reins. Donc plus de protéines dans votre alimentation signifie que vos reins doivent travailler davantage et cela peut conduire à des lésions rénales ou à un dysfonctionnement au fil du temps.

7. Le manque de sommeil

Nous avons tous déjà entendu combien il est important d’avoir une bonne nuit de repos. Le manque chronique de sommeil est lié à de nombreuses maladies et les maladies rénales font également partie de la liste. Pendant la nuit votre corps répare les tissus rénaux endommagés, alors donnez à votre corps le temps de guérir et de se réparer.

8. L’habitude du café

Tout comme le sel, la caféine peut élever la pression artérielle et mettre une pression supplémentaire sur vos reins. Au fil du temps, la consommation excessive de café peut endommager vos reins.

9. L’abus d’antalgiques

Beaucoup trop de gens prennent des antalgiques pour leurs petits maux, alors qu’il y a beaucoup de remèdes efficaces 100 % naturels qui sont disponibles. Une utilisation excessive ou abusive d’antalgiques peut gravement endommager le foie et les reins.

Habitudes mortelles qui nuisent à vos reins suite

10. La consommation d’alcool

Bien qu’il n’y ait rien de mal à déguster un verre de vin ou une bière de temps en temps, la plupart des gens ne s’arrêtent pas à un seul verre. L’alcool est en fait une toxine légale qui met beaucoup de pression sur les reins et le foie.

Pour rester en bonne santé et éviter les problèmes rénaux, il est important de manger beaucoup d’aliments frais, entiers et si vous gardez l’information ci-dessus à l’esprit et que vous évitez ces habitudes communes autant que possible, vos reins ne seront pas soumis à une pression constante et votre corps vous en sera reconnaissant.

À propos de Sandra Véringa auteure:

J’ai rejoint l’équipe ESM en 2014. Il y a beaucoup de choses qui se passent sur la planète qui vont à l’encontre de mes valeurs, j’ai voulu faire de mon mieux pour jouer un rôle dans la création de changements. Depuis que je travaille pour ESM, il y a eu de grands changements dans ma vie et j’espère pouvoir sensibiliser et faire changer la mentalité de notre société.

Alors restez à l’écoute

espritscie‌ncemetaphy‌sique@gmail

 

 

 

Deux verres de coca par jour, c'est deux fois plus de risques d'insuffisance rénale ! Eh oui, les dangers de cette boisson ne se cantonnent pas à sa teneur élevée en sucre, mais aussi à la quantité d'acide phosphorique qu'elle apporte.


Le cola est très mauvais pour les reins
Le cola mis en cause plusieurs fois
Le cola et le sucre...

Le cola reste très plébiscité malgré toutes les critiques formulées à son encontre. La principale vient de sa teneur excessive en sucre, ce qui est mauvais pour le poids et le diabète, dès lors que l'on en consomme beaucoup et régulièrement. C'est aussi le cas de tous les autres sodas et boissons fortement sucrés.

Et maintenant, le cola et l'acide phosphorique
Mais un autre danger se profile, associé cette fois-ci à l'acide phosphorique contenu dans le cola. Cette substance, que l'on trouve uniquement dans le cola, est responsable du goût acide. Les autres types de sodas utilisent l'acide citrique. Or des taux élevés d'acide phosphorique sont connus pour entraver le fonctionnement des reins et favoriser les calculs rénaux.

Pour illustrer ce phénomène, des chercheurs américains ont recruté 500 personnes pour lesquelles une insuffisance rénale a été récemment diagnostiquée. Les habitudes alimentaires et notamment les consommations en boissons ont été recueillies à l'aide de questionnaires et comparées à celles d'une population témoin. On constate de cette façon qu'à partir de deux verres de cola, le risque d'insuffisance rénale est multiplié par deux.

Il en est de même avec le cola "light".
En revanche, aucune association n'a été trouvée avec les autres sodas, ce qui renforce la suspicion à l'encontre de l'acide phosphorique.

L'insuffisance rénale, une maladie fréquente, grave et silencieuse
Les maladies rénales sont fréquentes : on estime à 3 millions le nombre de Français atteints d'une maladie rénale, parfois sans le savoir.

Elles sont difficiles à diagnostiquer précocement car elles sont très insidieuses.
Elles évoluent silencieusement durant des années, jusqu'à ce qu'elles se manifestent par une insuffisance rénale irréversible. D'où l'importance de se faire dépister (un simple test sanguin et/ou urinaire), et particulièrement les sujets à risque (diabétiques, hypertendus, au-delà de 60 ans, antécédent familial de maladie rénale génétique, traitements médicamenteux potentiellement toxiques pour les reins).

Si actuellement, il est déjà recommandé aux personnes atteintes d'une maladie rénale d'éviter le cola et les autres aliments riches en acide phosphorique comme la viande, il serait sans doute intéressant d'élargir ce conseil.

En attendant les résultats d'autres études sur ce sujet, les personnes à risque de maladie rénale doivent se méfier du cola et veiller à ne pas en consommer quotidiennement.

Et de façon plus générale, tous ceux qui consomment du cola tous les jours devraient le signaler à leur médecin et discuter de la pertinence d'un dépistage de l'insuffisance rénale.

 

Le cancer de la prostate est considéré comme le type de cancer le plus courant chez les hommes. Causant environ 10 000 morts par an, il est la 3e cause de décès par cancer chez les hommes, après le cancer du poumon et le cancer colorectal. Le cancer de la prostate se développe lentement et souvent silencieusement. Toutefois certains symptômes précis permettent de le détecter. Voici les 12 symptômes que les hommes ne doivent pas ignorer.


12 symptômes avant-coureurs du cancer de la prostate que tous les hommes doivent connaître ! Ne les ignorez pas.
La prostate est une glande faisant partie de l’appareil reproducteur masculin. Entourant l’urètre et localisée exactement sous la vessie, la prostate a pour rôle de produire le liquide séminal et de le stocker.

Quand les cellules normales de la prostate se transforment et commencent à se multiplier de façon totalement anarchique, on parle alors de cancer de la prostate. Ces cellules se développent anormalement et finissent par constituer une masse, une tumeur maligne.

Le cancer de la prostate est le cancer le plus fréquent chez les hommes de plus de 50 ans. Il est estimé qu’1 homme sur 7 sera affecté par cette maladie. En France, plus de 50 000 nouveaux cas ont été diagnostiqués en 2011.

Jusqu’à aujourd’hui, aucune cause précise du cancer de la prostate n’a été découverte, mais cette maladie serait favorisée par une prédisposition génétique. Il existe différentes formes de cancers de la prostate, l’adénocarcinome étant le type le plus courant. Il représente, en effet, plus de 90 % des cas diagnostiqués et se développe au niveau des cellules qui forment le tissu de revêtement de la prostate.

Personnes à risque et facteurs de risque :

Le cancer de la prostate touche surtout les hommes de plus de 50 ans, mais l’âge moyen du diagnostic de cette maladie est de 70 ans. Les hommes qui ont des antécédents familiaux ont plus de risques de développer ce type de cancer. En effet, le fait d’avoir, un frère ou un père ayant déjà souffert de cette maladie annonce une prédisposition génétique.

Enfin, l’origine ethnique peut elle aussi être impliquée dans la prévalence du cancer de la prostate. Les hommes africains présentent un risque plus accru que les Caucasiens et les Asiatiques. Les Indiens et les Chinois, ont quant à eux 50% moins de risques de développer un cancer de la prostate.

Concernant les facteurs de risque, deux points principaux sont évoqués par les professionnels de la santé. Il s’agit notamment du tabagisme et de la mauvaise alimentation. En effet, une alimentation riche en matières grasses, notamment en viandes rouges et transformées, augmente le risque de cancer de la prostate.

Symptômes du cancer de la prostate :

Pendant les premiers stades, le cancer de la prostate ne provoque pas de symptômes. Mais plus la tumeur s’étend, plus les symptômes deviennent distincts. Voici 12 symptômes qu’il ne faut pas ignorer :

Un besoin fréquent d’uriner, surtout pendant la nuit

Une difficulté à commencer la miction

Un flux d’urine plus faible

Une sensation de brûlure en urinant

Des douleurs au niveau des hanches, du bas du dos et en haut des cuisses

Des éjaculations douloureuses

Un engourdissement dans les pieds et les jambes

Des troubles érectiles

La présence de sang dans l’urine

La présence de sang dans le sperme

Un débit urinaire discontinu

Une difficulté à retenir l’urine

Prévention du cancer de la prostate :

Pour prévenir le cancer ou toute autre maladie, il est important d’adopter un mode de vie sain, soit avoir un régime alimentaire équilibré, faire du sport régulièrement et éviter le tabagisme, le stress ainsi que la consommation excessive d’alcool, entre autres.

Pour se prémunir contre le cancer de la prostate surtout, il est conseillé d’éviter de manger des viandes transformées et de limiter la consommation des viandes rouges. Les médecins recommandent un dépistage précoce, à partir de l’âge de 50 ans.

Enfin, une supplémentation en vitamine D est fortement conseillée pour prévenir ce type de cancer. En effet, différentes études ont prouvé l’efficacité de cette vitamine pour réduire les risques du cancer de la prostate et bien d’autres types de cancer.

Ainsi, prendre des suppléments de vitamine D serait bénéfique en hiver et en automne, des périodes où on s’expose le moins au soleil. Il est toutefois recommandé de consulter son médecin avant de prendre ces compléments.
Sommeil, impulsivité, mémoire… Découvrez les impacts néfastes de la technologie sur votre cerveau
Si les nouvelles technologies font partie de la vie humaine depuis quelques décennies, leurs impacts sur le cerveau sont encore loin d’être très bien identifiés. Pourtant, les scientifiques ont déjà déterminé quelques-uns de ces effets, que le DGS vous présente.

En 2011, la psychologue Betsy Sparrow, de l’université de Columbia, ainsi que ses collaborateurs, ont mené deux expériences. Dans la première, ils ont montré que lorsqu’un individu pense que l’information qu’il vient de recevoir ne sera plus disponible ensuite, il aura tendance à mieux la mémoriser que s’il sait qu’elle sera sauvegardée dans un ordinateur.

Au cours d’une autre expérimentation, les chercheurs ont montré qu’un individu retient plus facilement le lieu de stockage d’une information, comme un dossier, que l’information en elle-même.

Dès lors, les ordinateurs, Internet et les objets connectés sont devenus une sorte d’extension de notre mémoire sur laquelle nous nous reposons. C’est d’ailleurs ce qu’a constaté Betsy Sparrow, qui estime que « la mémoire humaine est en train de s’adapter aux nouvelles technologies de communication ».

D’autres études ont également été menées, cette fois-ci pour déterminer l’impact d’objets technologiques sur le sommeil. Ainsi, des chercheurs britanniques ont démontré que l’utilisation de smartphones, tablettes, ou de tout autre appareil émettant de la lumière, avait un impact direct sur la production de mélatonine du corps humain. Or, cette hormone qui est synthétisée la nuit, joue un rôle central dans la régulation des rythmes chrono-biologiques humains.

Plus précisément, une certaine longueur d’onde de la lumière, la bleue, bloque plus de mélatonine que les autres. Elle perturbe donc davantage les nuits d’un utilisateur d’objets connectés et le tient en alerte, l’empêchant ainsi de dormir. Dès lors, pour lutter contre une telle nuisance, il est conseillé de limiter son utilisation d’appareils émetteurs de lumière avant le coucher, ou encore d’utiliser des applications bloquant la lumière bleue.

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