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Santé
Le sperme est bon pour la santé globale et aide à lutter contre la dépression chez les femmes !!

De bonnes nouvelles pour les hommes (et les femmes), les chercheurs ont découvert que le sexe par voie orale est littéralement bon pour la santé des femmes car il les fait sentir plus heureuses. « En fait, une large gamme de produits chimiques dans le sperme peut vraiment promouvoir le bien-être mental et les sentiments d’affection », disent les scientifiques.

La recherche montre que le sperme contient effectivement des produits chimiques qui augmentent littéralement l’humeur et l’affection et améliore le sommeil. Le sperme contient même au moins trois anti-dépresseurs! Les chercheurs affirment également que les femmes qui ont des rapports sexuels sur une base régulière sont moins déprimées et ont même eu de meilleurs résultats dans les tests cognitifs (évidemment il faut aussi prendre en compte les effets secondaires négatifs de cela).
 

 

Le sperme est bon pour la santé globale et aide à lutter contre la dépression chez les femmes !! 
 

Le sperme contient le cortisol qui augmente l’affection, l’estrone qui élève l’humeur et bien-être mental et l’ocytocine qui élève aussi l’humeur et améliore l’ensemble bien-être mental.

Mais ce n’est pas tout, il contient aussi la thyréostimuline qui est un autre antidépresseur, la mélatonine qui améliore également le sommeil et la sérotonine qui est probablement le plus connu de tous antidépresseur.
 

Infertilité précoce : les infections sexuelles mal traitées en cause
L’infertilité est devenue un problème de ménage. Au Sénégal beaucoup de couples peinent à donner naissance à un enfant. Pour le président de l’Association sénégalaise des gynécologues-obstétriciens (Asgo), le problème est lié, en grande partie, aux infections sexuellement transmises et qui ne sont pas bien prises en charge. C’est-à-dire qui ne sont pas diagnostiquées et traitées tôt, et de manière efficace et qui, au finish, vont laisser des séquelles.

La deuxième contrainte, selon le professeur Alassane Diouf, est le mode de vie, aussi bien chez les femmes que chez les hommes, avec l’obésité, le diabète, l’hypertension, l’exposition à la pollution du tabagisme qui entraîne la baisse de la fécondité. « En plus, il y a des baisses naturelles de la fécondité en rapport avec des pathologies qui révèlent d’une prise en charge particulière qui peut aller jusqu’à la procréation médicalement assistée. Cela interpelle les pouvoirs publics à mettre des moyens afin que ces personnes puissent avoir accès aux traitements qui sont parfois coûteux », a soutenu hier à Dakar, le Pr Diouf, au cours du 10e Congrès des gynécologues-obstétriciens, axé sous le thème l’infidélité et la procréation médicalement assistée.







Enquête

Urgence : il y a rupture de sang au Centre national de transfusion sanguine (CNRS). Chef de service "Promotion don de sang et activités sociales au Cnts", Diallo Dankhoumba Traoré, en explique les causes et appelle au secours.


Centre national de transfusion sanguine : Pourquoi la banque de sang est vide ?

Qu'est-ce qui explique la rupture de sang au Centre national de transfusion sanguine ?
Nous avons presque chaque année, les mêmes difficultés. Après le mois de Ramadan, le stock baisse. Avant, on a eu à constituer un bon stock. Ce qui fait que le mois s'est déroulé normalement. Après la rupture du jeûne, nous avons eu à organiser des collectes de sang auprès des associations musulmanes. Mais, la demande est très forte. C'est pourquoi, nous lançons un appel à la population à donner massivement de leur sang. Car, les patients en ont besoin.

Quelles sont les zones touchées par ce manque ?
À Dakar, nous avons suffisamment de dons. Parce que, chaque année, nous atteignons nos objectifs. C'est-à-dire qu'il faut, comme le recommande l'Organisation mondiale de la santé (Oms), 10 donneurs pour 1000 habitants. A Dakar, nous avons près de 3 millions d'habitants. Au Cnts, nous recevons, chaque année,  35 000 dons environs. Et ce nombre augmente chaque année.C'est au niveau national que nous avons un gap à combler. Si nous prenons la population sénégalaise qui se chiffre entre 14 et 15 millions d'habitants, il nous faudrait entre 140 000 à 150 000 dons, par an, pour couvrir les demandes de la population. Le stock a baissé. Et si on n'y prend garde, nous allons vers une pénurie.

Comment faire pour éviter pareille situation ?
Il faut que les Sénégalais aient la culture du don de sang. Il ne faut pas attendre d'avoir un proche ou une connaissance malade pour venir donner du sang. Les dons familiaux sont pris, mais, ce que nous préférons, ce sont les dons volontaires et bénévoles. Tous ceux qui peuvent faire un don et qui sont âgés entre 18 et 60 ans, peuvent passer au niveau du Cnts. Ceux qui sont diagnostiqués aptes, pourront donner une fois tous les 3 mois pour les hommes et une fois tous les 4 mois pour les femmes.

Dans quelles régions la demande est la plus forte ?
La demande est forte un peu partout. Dans les régions, la situation est encore plus compliquée.  Dans les régions, les dons familiaux sont les plus fréquents.  Les gens attendent  d'avoir des patients pour faire les dons. On a sur le plan national 86 000 dons. Il faut 140 000 à 150 000 dons par an. Nous avons un gap de 60 000 dons qu'il faut impérativement combler. La majeure partie de nos donneurs est constituée d'élèves, d'étudiants et des membres d'associations. Et comme le sang a une période de péremption (35 jours), si la demande augmente, il faut que l'offre aussi augmente.

Qui sont les principaux demandeurs ?
Ceux qui en ont besoin sont nombreux. Il y a les anémiés, les femmes qui accouchent, il y a les interventions chirurgicales, les personnes qui doivent faire la chimiothérapie ou l'hémodialyse. Ces gens-là quand ils sont anémiés, ils ne peuvent pas bénéficier de leurs traitements. On est obligé de transfuser ces patients pour qu'ils puissent, après, faire leur traitement. C'est pourquoi, on a tout le temps besoin que les gens viennent régulièrement donner de leur sang au bénéfice des malades.

 

Faire #DonDeSang au CNTS:
- C entre 8 & 13h
- être âgé au - de 18
-Peser au - 50 kilos
-Y aller à jeûn ou PAS
-Les femmes peuvent faire 1 don ts les 4 mois et 1 week après les règles
-Les hommes peuvent faire 1 don ts les 3 mois
NB : CNTS a besoin au - de 100 poches de sang/jr.

 

#Senegal C'est reparti pour le #GiveBloodChallenge.
Objectif : 500 dons d'ici le samedi 29 juin 2018.
Tous au Centre National de Transfusion Sanguine (Avenue Cheikh Anta Diop, face Agence Orange) #MayeDeret #kebetu

 

C'est reparti pour le #GiveBloodChallenge.
Objectif : 500 dons d'ici le samedi 29 juin 2018.
Tous au Centre National de Transfusion Sanguine (Avenue Cheikh Anta Diop, face Agence Orange)
RT en masse svp
#MayeDeret #kebetu

 

C'est reparti pour le #GiveBloodChallenge.
Objectif : 500 dons d'ici le samedi 29 juin 2018.

Tous au Centre National de Transfusion Sanguine (Avenue Cheikh Anta Diop, face Agence Orange)#MayeDerettChallenge #kebetu

 





Auteur: Youssoupha MINE - Seneweb.com

Le président de Prometra International a fait de graves révélations. Eric Gbodoussou de révéler que «l’Afrique est la poubelle du monde en ce qui concerne les médicaments. Et, il y a plus de 400 médicaments interdits de vente en Europe et aux Usa parce que ces médicaments contiennent du parabène (des conservateurs cancérigènes), qui sont en vente dans nos pharmacies. Et, ils sont en vente officiellement au Sénégal». 
  
Le Directeur de la Pharmacie et du médicament, Professeur Mamadou Makhtar Dièye qui rejette en bloc ces allégations, demande à Eric Gbodoussou d’apporter les preuves. 

«Impossible, impensable ! Car, le Sénégal dispose d’un système pharmacovigilance», s’exclame le Directeur de la pharmacie et du médicament, Pr Amadou Mokhtar Dièye, interrogé par la Rfm.







PressAfrik


 
Fruit 4 côtés : Vertus et mode d’utilisation

L’ésese, aussi appelé 4 côtés est le fruit du tetrapleura tetraptera. Très utilisé en médecine traditionnelle. Il est reconnu pour ses nombreux bienfaits dans le traitement de certaines maladies comme l’asthme, le diabète, l’hypertension, le mal de dos.

Il a également plusieurs vertus et traite les règles douloureuses, c’est aussi un contraceptif et un bon soin pour la peau. On l’utilise comme épice dans les sauces et d’autres préparations. Très efficace aussi contre les démangeaisons vaginales, il permet donner une bonne odeur intime à la femme grâce à son parfum mais aussi utilisé comme encens, il parfume la maison.

Pour la santé intime
Dans une casserole d’eau, ajoutez l’ésese et laissez bouillir entièrement. Faites son bain intime avec. Buvez-en, il nettoie de l’intérieur et favorise la fertilité. Il est aussi utilisé par certains peuples en Afrique pour traiter la stérilité chez les femmes.
Lutte contre les problèmes de règle douloureuse
Lutte contre le fibrome
Lutte contre le myome
Lutte contre le kyste
Ça nettoie le ventre de toute impureté
Les trompes bouchées
Les troubles de règle
Les règles noirâtres
Celles qui ont les problèmes d’enfantements.

Alors voilà comment utiliser:
Trempez le 4 côté dans 1 litre et demi d’eau et attendez 24 h buvez un demi verre le matin et soir, purgez-vous 1 jr/2. Dans 1 semaine, le faire 3 fois en espaçant d’un jour.

Au départ quand vous allez boire, ça peut vous faire vomir, ça peut vous donner mal au côté gauche, mais soyez fortes et continuez le traitement vous-même verrez la saleté qui sortira pendant la purge. Aussi lorsque vous allez faire la purge et que vos menstrues vont venir, ça peut venir abondamment, alors ne vous purgez pas étant indisposée.

Pour une belle peau
Après l’accouchement, pour prendre soin de la mère et de l’enfant. Mettez-en dans du beurre de karité. Laissez préparer quelques minutes. Lorsqu’il est froid, reversez votre préparation dans un pot et fermez. Utilisez la préparation après le bain comme crème de jour et nuit pour la mère et bébé. Il nettoie le teint et protège des nombreux problèmes de peau.

Pour attirer la chance
Lorsque l’ésese est brûlé dans la maison comme de l’encens, il chasse les mauvais esprits et attire la chance. Il aussi recommander de le mettre dans le sac à main.




femastuces.com
 
Sénégal : 41 000 cas de VIH sida dont 21 157 seulement sous traitement (Ministre)
41 000 personnes sont atteintes de VIH Sida. C’est ce qu’a informé le ministre de la Jeunesse, Pape Gorgui Ndong qui précise que 21 157 seulement sont sous traitement. 

 Selon lui, le taux de prévalence au sein de la population est passé de 0,7 à 0,5% ce, grâce à des efforts soutenus dans la prévention et le traitement par le Conseil national de lutte contre le sida (Cnls). 

Poursuivant, il ajoute que : «depuis 2010, il y a une baisse de 30% des nouvelles infections enregistrées, malgré les 1200 nouveaux cas détectés chaque année». 

 A l’en croire, la faible prévalence notée au niveau national cache des disparités comme l'a révélé le rapport de l'enquête démographique et sanitaire de 2010 et 2011. 

Parce que, souligne-t-il dans les colonnes de Les Echos : «Les régions les plus touchées sont celles du sud-est avec 2,4% pour Kolda, 1% pour Ziguinchor, et 1,7% pour Kédougou».
Pharmacie nationale : vers une rupture totale de médicaments
Si l’Etat tarde à éponger sa dette de 17 milliards de FCfa qu’il doit à la Pharmacie nationale d’approvisionnement (Pna), il y aura, dans les jours à venir, une rupture totale de médicaments sur l’ensemble du territoire national. Car, les fournisseurs étrangers qui livrent 90% des médicaments utilisés au Sénégal, ont décidé de mettre un terme à toute livraison de médicaments à la Pna, en attendant de percevoir leur dû.

17 milliards de FCfa. C’est l’ardoise que l’Etat du Sénégal doit payer à la Pharmacie nationale d’approvisionnement (Pna), dont 4 milliards de FCfa pour la Couverture maladie universelle (Cmu) à travers les mutuelles de santé. La Pna qui court derrière cette somme depuis plus d’une année, est prise au collet par les fournisseurs étrangers. Les uns négocient, les autres ont préféré mettre un terme à toute livraison de médicaments à destination du Sénégal. Et la situation risque de s’aggraver dans les jours à venir, avec l’épuisement du stock de médicaments. «Nous allons vers une rupture totale de médicaments dans toutes les structures sanitaires du pays. Les médicaments utilisés présentement proviennent de notre stock», avertissent des sources sanitaires.

Ces dernières de poursuivre : «Les autorités de la Pna avaient alerté l’Etat depuis longtemps. Mais, les nombreux courriers sont restés lettre morte dans les tiroirs des différents ministères.» D’ailleurs, le ministre de la Santé, Abdoulaye Diouf Sarr, avait reçu, le 12 décembre 2017, des responsables de la Pna, venus lui faire part de l’état des lieux. Il avait pris l’engagement d’intervenir auprès du Chef de l’Etat pour éviter toute rupture de médicaments. Malheureusement, l’Etat n’a toujours pas réagi aux alertes des membres du Conseil d’administration, qui s’étaient réunis pour débattre de la situation de la Pna.

En effet, la Pna a signé des conventions avec le ministère de la Santé pour la livraison de médicaments dans les établissements sanitaires du pays. Et la Pna qui ne reçoit pas de subvention de la part de l’Etat, achète des médicaments auprès des fournisseurs étrangers. Les 90% des médicaments de la Pna viennent de l’étranger, seuls les 10% sont achetés sur le marché local.






L'Observateur

Le docteur Valérie Quenum Ndiaye est spécialiste en nutrition. Dans cet entretien, elle donne quelques précieux conseils sur l’alimentation durant le mois de Ramadan, notamment le rythme alimentaire à adopter après la période de jeûne. Extrait.


Dr. Valérie Quenum Ndiaye: « Après le Ramadan, il faut réhabituer petit à petit le corps sans le surcharger »

Quel régime alimentaire doit-on adopter juste après la fin du mois de Ramadan ? 

 Il faut progressivement réhabituer le corps aux trois repas journaliers. L’estomac a perdu l’habitude  de recevoir la nourriture pendant la journée. Il faut le réhabituer petit à petit sans faire de la surcharge. 

Ceux qui sont tentés de prendre le poids qu’ils ont perdu durant la période de jeûne en mangeant n’importe comment, mettent le corps en danger. Privilégier évidemment les fruits et les légumes. Actuellement c’est la saison des mangues, il ne faut donc pas hésiter à en consommer. 





intelligences.info
Banane, miel et eau, pour guérir la toux chronique

La guérison de la toux chronique et de la bronchite a toujours été problématique, même pour la médecine traditionnelle.
Cependant, un remède à la maison contient certains des ingrédients les plus puissants qui calment la gorge et les poumons et peuvent guérir la toux et la bronchite dans les plus brefs délais!
Grâce aux caractéristiques du miel et des bananes, qui sont principalement composants de cette recette, vous pouvez donner ce médicament non seulement aux adultes mais aussi aux enfants.
En même temps, vous allez boire la potion et profiter de son goût! -
Avec l'aide de ce médicament, vous serez soulagé du mal de gorge, de la toux dure, même des problèmes intestinaux!
Ingrédients:
▪ 400 millilitres d'eau bouillante,
▪ 2 bananes de taille moyenne,
▪ 2 cuillères à soupe de miel
Préparation:
Placer les bananes en forme de bouchées, mettre dans des pots et ajouter de l'eau bouillante.
Mélangez et laissez reposer 30 minutes. Lorsque la composition est fraîche, ajoutez du miel.
Il est important d'ajouter du miel à la fin, afin de ne pas perdre toutes les qualités importantes qu'il a.
Dose:
Prendre 100 ml de ce médicament 4 fois par jour (400 ml par jour).
La quantité donnée dans la prescription est suffisante pour un jour et le lendemain matin, vous pouvez préparer la nouvelle dose.
Le soulagement sera ressenti dans les trois jours.

astucesdesfemmes.com

Certains aliments et certaines boissons peuvent réduire les effets des médicaments ou, au contraire, devenir dangereux pour le corps.


5 aliments qu`il ne faut jamais associer avec des médicaments
Le fromage ou la charcuterie avec des antibiotiques

Les effets de certains antibiotiques, notamment ceux contre la pneumonie, sont réduits à néant lorsque l'on mange de la charcuterie ou des vieux fromages.

Les boissons gazeuses avec de l'ibuprofène

Les boissons pétillantes comme le coca contiennent du dioxyde de carbone pour continuer à pétiller. Ce processus forme des acides qui viennent endommager la fine pellicule qui couvre le comprimé et qui régule la libération de son contenu dans l'estomac. Le médicament se désagrège donc avant d'avoir atteint sa cible.

L'alcool avec des antidouleurs ou des antihistaminiques

La réaction de ces médicaments à l'alcool peut être toxique pour le corps.

Le lait avec de l'ibuprofène ou des antibiotiques


Le calcium contenu dans le lait peut annuler les effets de certains de ces médicaments. Il est conseillé d'attendre deux à six heures avant de boire du lait, du yaourt ou du fromage.

Le thé ou le café avec des antipsychotiques

Les personnes qui souffrent de schizophrénie ou qui sont bipolaires consomment des antipsychotiques. Pour eux, la caféine peut être dangereuse car il y a un risque que leur pression artérielle ne devienne anormalement élevée.

http://afriquefemme.com
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